logo journal nord-info
icon journal
Partenariat entre le CDESL et l’école Saint-Gabriel

Des jeunes athlètes du programme Sports-études à l’entraînement dans la petite salle de préparation physique de l’école Saint-Gabriel.

Partenariat entre le CDESL et l’école Saint-Gabriel

Publié le 07/06/2019

L’école Saint-Gabriel située à Sainte-Thérèse, établissement scolaire de la CSSMI offrant le programme Sport-études dans les Basses-Laurentides, et le Conseil de Développement de l’Excellence Sportive Laurentides (CDESL) dont la mission est de soutenir les athlètes de la région des Laurentides, sont heureux d’annoncer la signature d’un partenariat pour la livraison des services périphériques aux élèves-athlètes de l’école.

Cette entente débutera dès la prochaine rentrée scolaire 2019-2020. Cette nouvelle collaboration permettra aux élèves-athlètes de l’école Saint-Gabriel, le plus important programme Sport-études en nombre d’athlètes au Québec, de bénificier de l’expertise des professionnels du CDESL.

Accrédités selon des critères mis en place par l’Institut National du Sport du Québec, dont le CDESL est un centre régional reconnu, les spécialistes offriront principalement de la kinésiologie, nutrition, préparation mentale, ainsi que les services médicosportifs

(physiothérapie, chiropractie, etc.), une nouveauté à l’école.

Rencontre déterminante

C’est à la suite d’une rencontre entre l’équipe de coordination de l’école Saint-Gabriel et Christian Côté, directeur général du CDESL, que l’idée d’un partenariat a émergé: «En discutant avec le CDESL, on a réalisé que nos organisations poursuivent les mêmes objectifs et que souvent, on dessert déjà la même clientèle. Il était tout naturel de maximiser nos ressources mutuelles et conjuguer nos efforts pour le bien-être de nos élèves-athlètes», mentionne Mathieu Brisebois, coordonnateur du programme Sport-études de l’école Saint-Gabriel.

Pour le président du CDESL, François Cantin, c’est aussi une excellente nouvelle pour l’organisation: «Le CDESL existe pour les jeunes et c’est l’idéal pour notre organisation d’aller les rejoindre à l’école, où ils passent le plus clair de leur temps. De plus, l’ensemble des intervenants qui encadrent les athlètes pourront communiquer plus facilement entre eux, ce qui créera une meilleure cohésion autour des élèves-athlètes.»