L&#8217;équipe juvénile locale atteignait la finale de la Classique Marcel Tremblay, disputée la semaine dernière au Club de Curling Rosemère. Objectif: une participation aux Jeux du Canada.

La formation féminine AA des Nordiques devrait connaître une meilleure saison que celle jouée à l’extérieur, cet automne. Après quatre matchs, le collège Lionel-Groulx occupe le deuxième rang de la division 1, avec trois victoires (dont deux par blanchissage) et une défaite. 
Selon l’entraîneur Claude Clément, le cœur de l’équipe est formé des joueuses de la formation extérieure. Les Emmanuelle Castilloux, Kim Chapdelaine, Marie-Ève Lamarre et Camille Carpentier se sont fait des cuisses d’enfer, compte tenu du peu de joueuses formant l’équipe de la saison extérieure. Elles pourront les mettre à profit au cours des prochains matchs. Elles seront appuyées de trois joueuses de niveau AAA qui ne reviennent pas au collège l’an prochain, dont Lisa-Marie Pelletier. 
Malgré le fait que les Nordiques ne peuvent compter sur la présence d’une gardienne, elles visent le plus haut possible, mais Claude Clément convient que la situation diffère des années passées. «Notre équipe dépend des joueuses rejetées de la formation AAA», rappelle-t-il. 
Ayant marqué 23 buts face aux autres équipes et encaissé 7 buts dans leur filet, les Nordiques ont dominé sur le terrain. Ahuntsic est sans contredit l’équipe à battre. Au premier match de la saison, les Térésiennes se sont inclinées 4 à 2 contre celle-ci. 
Elles joueront leurs prochains matchs le 31 janvier tandis qu’elles affronteront les formations de Joliette et d’Ahuntsic, au Complexe multisport Saint-Eustache, dès 11 h 30. 
Soccer intérieur masculin AA
Leurs collègues masculins occupent quant à eux la quatrième position de la division 1, avec deux victoires et deux défaites en quatre matchs. Ils se trouvent derrière les collèges de Saint-Jérôme, Gérald-Godin et de l’Abitibi-Témiscamingue. 
Ces matchs, ils les ont disputés avec trois joueurs de niveau AAA qui les quitteront pour la formation d’Armando Melo pour le reste de la saison. 
Selon l’entraîneur Georges Costa, ce sera une saison difficile. Il espère l’arrivée de nouveaux joueurs pour appuyer son équipe existante. L’objectif reste toutefois de se rendre aux séries éliminatoires. 
Ils joueront également leurs prochains matchs le 31 janvier, au Complexe multisport Saint-Eustache, contre les collèges de Marie-Victorin et de l’Abitibi-Témiscamingue, dès 12 h 30. 
Soccer intérieur AAA
Les Nordiques AAA d’Armando Melo entameront la saison ce 30 janvier, sans trois joueurs clés: Sébastien Émond, Maxime Lecompte et Zachary Guilbert, une situation qu’on ressentira évidemment sur le terrain. Malgré cela, l’entraîneur vise les séries éliminatoires. Il souligne que la formation compte sur le gardien Raphaël Bélanger-Vaillancourt et le milieu de terrain Karim Asharim, des éléments qui pourront alimenter l’équipe. Les premiers matchs seront disputés au Complexe multisport Saint-Eustache, dès 11 h, contre l’Université du Québec de l’Outaouais et du collège Champlain-Saint-Lambert. 
L’équipe féminine commencera également sa saison le 30 janvier, à la même heure. Elle fera la rencontre de l’Université du Québec de l’Outaouais et du collège Champlain-Saint-Lambert.

La saison s’annonce difficile pour les Nordiques

C’est ainsi que cinq policiers de la Régie intermunicipale de police de Thérèse-De Blainville, Sylvain Desjean, Antony Baillargeon, Michel Décarie, Stéphane Riccio et Patrick Palardy seront à Vancouver pour assurer une présence policière francophone. Frédéric Savoie et Alexis Robitaille, du Service de police de Blainville, feront également le voyage. 
«C’est vraiment l’expérience à vivre qui nous a poussés à poser notre candidature», a expliqué Frédéric Savoie. «On s’est embarqué dans quelque chose qui nous est totalement inconnu. On s’en va vraiment là-bas pour l’aventure», a ajouté Sylvain Desjean. 
La sécurité est un aspect très important de l’organisation des Jeux olympiques, pour ne pas dire que c’est un point chaud. Déjà sur place, 6 000 policiers de la GRC (Gendarmerie royale du Canada) recevront le support de 1 675 policiers provenant de 118 corps policiers, de 4 000 personnes des Forces de l’armée canadienne et 5 000 personnes du secteur de la sécurité privée. 
À la Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville, 22 policiers avaient posé leur candidature, alors qu’à Blainville, huit agents avaient manifesté leur intérêt. 
«Il y a eu des examens d’anglais pour tous les candidats, parce que la maîtrise de l’anglais, tant écrit que parlé, était importante, a expliqué Desjean. Ensuite, c’était une question d’ancienneté.»
C’est un séjour de près de 40 jours qui attend ces policiers. Déjà, le samedi 23 janvier, trois d’entre eux s’envoleront pour la Colombie-Britannique. «Ils veulent qu’on se familiarise avec l’environnement, étant donné que les sites de compétitions sont déjà prêts et que certains athlètes arrivent plus tôt», a indiqué Alexis Robitaille. 
C’est à raison de 72 heures de travail et une journée de congé par semaine que les policiers vivront leur expérience olympique. Ils seront hébergés sur un bateau de croisière, étant donné que les chambres d’hôtel se font plutôt rares. 
Robitaille, Savoie et Riccio seront assignés au Village olympique, tandis que Desjean et Palardy seront au centre des médias. Décarie fera la sécurité au match de curling pendant qu’Antony Baillargeon sera à l’anneau de glace pour le patinage de vitesse longue piste. 
Si, dans leur journée de congé, ils veulent assister à des compétitions, ils doivent se procurer un billet comme tout bon citoyen. Afin d’assurer une présence francophone dans chaque groupe de travail, les Québécois ne devraient pas travailler ensemble; ils pourront donc fraterniser avec les policiers des autres provinces. 
Un dernier contrat avant la retraite
Pour Michel Décarie, les Jeux olympiques auront pour lui une saveur bien particulière. C’est qu’après un peu plus de 40 ans de carrière, il prendra sa retraite sous peu. En fait, son dernier jour de travail est prévu pour le 30 mars. «Je trouvais que c’était une belle façon de clore ma carrière dans la police. C’est une opportunité qui n’arrive pas souvent et il fallait en profiter», a-t-il indiqué. 
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La Classique Marcel Tremblay