Cinq jeunes patineuses du club Patinage Rosemère ont obtenu une médaille lors de cette compétition interrégionale: Juliette Gauvreau, médaille d’argent, dans la catégorie «Gold Women Free Program»; Jennifer Kabenian, médaille d’or, dans la catégorie «Star 7 Women Short Program»; Camille Labelle, médaille d’argent, dans la catégorie «Star 6 Woman Free Program»; Isabella Kabenian, médaille d’or, dans la catégorie «Star l5 Women Free Program»; Tessa Zucco, médaille d’argent, dans la catégorie «Star 6 Women Free Program».
Eric Westram, maire de Rosemère, souligne le mérite de toutes les personnes, sur la glace comme dans les coulisses, ayant participé à l’édition 2018: «Au nom de la Ville, je félicite les 714 jeunes patineurs des quatre coins du Québec, qui ont participé à la compétition et qui nous ont permis de découvrir leur talent. La discipline et la détermination dont ils font preuve sont exemplaires et nous les encourageons dans la poursuite de leur rêve. Et derrière le succès d’un tel événement, une équipe dévouée travaille en amont, formée, entre autres, de bénévoles du club Patinage Rosemère, dont des parents et des membres du conseil d’administration, ainsi que la présidente bénévole de la compétition, Patricia Labelle. Merci donc à la quarantaine de bénévoles qui ont donné de leur temps et de leur énergie pour assurer la réussite de cette compétition.»
C’est en 1990 que Pierrette Vaillant-Pierre crée cette compétition annuelle interrégionale éponyme, pour améliorer le financement du club Patinage Rosemère. D’autre part, les surplus engendrés de la compétition contribuent, entre autres, à financer le spectacle de fin de saison du club.
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Le 32e Tournoi de ringuette de Blainville se tenait du 25 au 28 janvier à l’aréna de Blainville et les amateurs du sport ont eu droit à des prestations de haut niveau de 36 équipes féminines, soit plus de 400 joueuses de tous âges accompagnées de leurs familles.
En plus des parties présentées en continu sur les deux glaces des installations blainvilloises, les gens ont eu droit à deux rencontres opposant deux équipes de la Ligue nationale de ringuette. Il s’agissait en effet d’une rare occasion de voir des athlètes professionnelles à l’œuvre, et ce, gratuitement.
Le 27 janvier, l’aréna était occupé en vue de matchs intéressants. Au coup de 18 h 15, des convives et dignitaires étaient dans la salle Alexandre-Poce pour un léger goûter et une courte séance de réseautage. Une heure plus tard, des élus de la Ville et les membres du comité organisateur étaient présentés au public au centre de la glace. Une cérémonie protocolaire était organisée. On pouvait d’ailleurs compter sur la présence des conseillers blainvillois Serge Paquette et Stéphane Bertrand, du président sortant de l’Association de ringuette de Blainville, Florent Gravel, et de la présidente du tournoi, Émilie Plouffe.
Cette dernière a adressé quelques mots lors du coquetel afin de souligner l’effort des athlètes, des bénévoles et des membres du comité organisateur du rendez-vous.
«La ringuette, un sport de plus en plus populaire. Bienvenue à cette édition de notre beau tournoi. Pendant la fin de semaine, il y a 36 équipes de jeunes filles et de femmes, de 8 à 50 ans, qui s’affrontent ici, à Blainville. Nous avons d’ailleurs 7 équipes représentant la ville hôte. Le tournoi cherche à faire la promotion de ringuette, permettant également à des filles et des femmes de pratiquer leur sport préféré, de déclarer la présidente, devant ses convives. Nous aimerions remercier la Ville de Blainville et nos nombreux commanditaires, car sans eux, l’événement n’aurait pas lieu d’être. Merci à tous!»
Enfin, pour plus d’informations concernant la LNR, il suffit de visiter le [https://www.nationalringetteleague.ca].
Pour ce qui est de l’Association de ringuette de Blainville: [http://ringuetteblainville.com].
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32e édition du Tournoi de ringuette: Des athlètes de tous âges brillent à Blainville

Avec six victoires et une deuxième position en sept départs en Coupe du monde cette saison, le Deux-Montagnais estime être là où il voulait être en prévision de ces Jeux olympiques où il espère, cette fois, mettre la main sur cette fameuse médaille d’or qui lui a échappée, il y a quatre ans, à Sotchi.
On s’en souvient encore, Mikaël avait terminé deuxième, derrière son bon ami Alexandre Bilodeau qui a depuis pris sa retraite. Dernier à prendre le départ, le Deux-Montagnais avait commis ce jour-là quelques petites fautes techniques ici et là, devant se «contenter» de la médaille d’argent.
<h3>Meilleur qu’en début de saison</h3>
«Il y a des côtés positifs et négatifs à connaître un bon début de saison. Ce que je vois d’important là-dedans, c’est que je me sens meilleur maintenant, qu’en début de saison. J’ai aussi bien performé devant les juges, à Deer Valley, qui seront là en Corée du Sud. Ça aussi, c’était important pour moi. C’est sûr que ça peut créer beaucoup de pression, mais c’est là où je voulais être; je voulais arriver comme étant le favori, avoir le dossard numéro 1» , de confier le skieur de 25 ans, alors qu’il en était à ses derniers préparatifs, à la résidence familiale de Deux-Montagnes, quelques heures à peine avant de se diriger au Mont Tremblant pour une dernière compétition avant la pause olympique. Immédiatement après, il devait prendre la direction de la Colombie-Britannique, puis de la Corée du Sud, là où il est en ce moment à s’entraîner.
Celui-ci estime aussi que sa première participation aux Jeux olympiques lui sera profitable. «Je sais plus où je m’en vais; c’est moins de l’inconnu. Ça me met déjà plus en confiance. Ce sera plus facile pour moi de performer à mon meilleur» , de relever Kingsbury, qui ajoute à cela l’appui qu’il a de son équipe d’entraîneurs, qui l’entoure très bien, dit-il, de sa famille et de ses amis.
Plus vieux, plus mature qu’il y a quatre ans, Mikaël devra cependant avoir à l’œil ses principaux poursuivants en Coupe du monde, à savoir Kazakh Dmitriy Reiherd et l’Australien Matt Graham, deuxième et troisième au classement. Mais, d’autres skieurs peuvent aussi causer la surprise et sortir un lapin de leur chapeau, comme l’a fait le Japonais Ikum Horishima, à Tremblant, lequel a mis fin à la séquence de 13 victoires de Kingsbury.
<h3>Un tee-shirt porte-bonheur</h3>
Mais, difficile d’ébranler le skieur. «Je veux continuer à faire ce que je fais de bien depuis le début de la saison. Je me sens bien en haut du parcours, je garde cela simple et j’ai du plaisir. Avec tout ça, cela devrait bien aller» , d’indiquer Mikaël qui portera cependant son tee-shirt noir fétiche, sur lequel est inscrit en lettres blanches: «It’s Good to Be the King» . 
«J’ai certaines petites superstitions. J’ai mes petites routines en compétition. Mais, sinon, avant chaque course, je porte toujours ce fameux tee-shirt. Je l’ai porté la première fois lors de mon premier podium en Coupe du monde. Je l’ai toujours depuis, avec moi» , de confier le skieur qui, bien sûr, a mis son chandail dans ses bagages.
Pour le skieur de Deux-Montagnes, tout semble donc en place pour que celui-ci performe à la hauteur de ses aspirations. Chose certaine, ils seront plusieurs à le suivre, même si les courses seront disputées, à l’heure du Québec, en pleine nuit.
Ils sont surtout plusieurs à lui souhaiter la meilleure des chances… et la victoire!

700 athlètes ont participé à la compétition Pierrette Vaillant-Pierre