Parmi celles‑ci, la conférence sur le thème La lecture et les garçons qui s’est déroulée à l’hôtel Impéria de Saint-Eustache, en compagnie de plusieurs auteurs, dont Bryan Perro, auteur de la série Amos Daragon, et de plusieurs panélistes, soit Alex A., auteur de la série L’Agent Jean, Karine Gottot, auteure la série Les Dragouilles, et Olivier Hamel, bibliothécaire et initiateur de Soirée de gars et Génies en BD, qui ont échangé leurs connaissances et leurs suggestions.
Soyez un modèle aussi pour la lecture
Priorité retenue parmi les recommandations du PREL dans le cadre de son plan de développement 2011‑2014, la campagne sur la promotion de la lecture a d’ailleurs été lancée pendant le Colloque. Intitulée Soyez un modèle aussi pour la lecture, elle s’adresse particulièrement aux papas de ce monde en les invitant à faire preuve de modèle en matière de lecture chez leur garçon. À ce chapitre, les recherches sont unanimes, plus un parent lit régulièrement et plus l’impact sera marquant sur l’enfant.
«Plus tôt l’enfant développera son goût pour la lecture, plus il aura de la facilité à aborder la lecture à l’école. L’habitude qu’ont les enfants d’imiter leurs parents s’applique aussi à la lecture», souligne‑t‑on au PREL.
Finalement, soulignons quedes affiches et des panneaux seront diffusés ou érigés devant des écoles, des restaurants familiaux, ainsi que des centres de santé et de services sociaux.

Persévérance scolaire: soyez un modèle pour la lecture

Lors de cette annonce, faite vendredi dernier à l’Hôpital de Saint-Eustache, le ministre Hébert était accompagné du directeur général du CSSS, Roch Martel, du député de Deux-Montagnes, Daniel Goyer, et du président-directeur général de l’Agence de santé et des services sociaux des Laurentides, Marc Fortin.
«Étant donné le nombre croissant de personnes dans la région qui ont besoin de ce service, il s&#8217;agit sans contredit d&#8217;une excellente nouvelle pour les gens d&#8217;ici. Ce nouveau centre fera en sorte que les patients n&#8217;auront plus à quitter famille et amis pour aller recevoir ces services ailleurs, et favorisera par la même occasion le maintien de leur autonomie», a déclaré le ministre Hébert.
D’autres investissements totalisant 1 093 000 $ ont été annoncés par le ministre, lesquels permettront la réalisation de travaux d&#8217;agrandissement et de réaménagement à l&#8217;Hôpital Saint-Eustache. Quelque 358 000 $ serviront à la chirurgie d&#8217;un jour pour ajouter jusqu&#8217;à 15 civières supplémentaires pour répondre à l&#8217;augmentation des activités en chirurgie. Quelque 300 000 $ serviront à rendre les locaux plus spacieux pour l&#8217;inhalothérapie au service de pneumologie et d&#8217;inhalothérapie. Des investissements de 222 000 $ sont effectués au service de radiologie pour un nouvel appareil d&#8217;échographie. Enfin, l’unité de naissance comptera une nouvelle salle d&#8217;accouchement et deux lits post-partum additionnels grâce à un montant de 213 000 $ octroyé par Québec. Une nouvelle unité de médecine familiale verra aussi le jour, en affiliation avec l’Université de Montréal, dans des locaux externes à l’hôpital.
«En diminuant les déplacements de ces personnes, nous contribuons directement à l&#8217;amélioration de leur qualité de vie, ainsi qu&#8217;à celle des membres de leur entourage. Je me réjouis donc grandement de cette annonce, qui témoigne une fois de plus de la volonté de notre gouvernement d&#8217;améliorer l&#8217;accessibilité des soins dans notre région», a pour sa part indiqué le député Goyer, affirmant que l’annonce de ces investissements était prévue depuis longtemps et qu’elle ne doit pas être interprétée comme une annonce politique à la veille des élections.
«Nous poursuivons nos efforts pour renforcer l&#8217;offre de service dans les Laurentides, tant sur le plan des services proprement dits que des infrastructures, afin de répondre au souhait de la population d&#8217;avoir accès à des soins et à des services de qualité le plus près possible de chez elle. Les établissements de la région ont su développer, au cours des dernières années, une solide expertise dans plusieurs soins spécialisés. Il importe de mettre cette expertise à profit, d&#8217;autant plus qu&#8217;elle permettra à plusieurs personnes dont l&#8217;état de santé est fragilisé de ne pas devoir effectuer de longs déplacements», a conclu le ministre Hébert.
On estime que plusieurs dizaines de milliers de traitements et de tests supplémentaires pourront être faits localement grâce à ces ajouts de services.

Hôpital de Saint-Eustache: des investissements de 2

Hôpital de Saint-Eustache: des investissements de 2,6 M$ en hémodialyse

Ce mouvement, décrit comme historique dans l’évolution de l’humanité, est devenu un véritable phénomène de société. Caricaturé à l’extrême, le célibat est même devenu le sujet par excellence de plusieurs séries télévisées.
À propos de l’espérance de vie, des chiffres provenant de l’INSEE (l&#8217;Institut national de la statistique et des études économiques) indiquent que le taux de mortalité serait trois fois plus élevé chez les 40 à 50 ans vivant seuls que pour les personnes du même âge vivant en couple. Plus on vieillit et plus l’écart se creuse, puisqu’un homme âgé entre 80 et 90 et vivant seul aurait une probabilité de décès de 100 % comparativement à 88 % pour une personne en couple.
Fort heureusement, l’inverse existe aussi. Effectivement, une personne n’ayant jamais été en couple dans sa vie aurait un taux de mortalité plus faible à l’âge de 80 ans. L’habitude de se débrouiller seule lui aurait été bénéfique.
Au Québec
L’Institut de la statistique du Québec a noté que depuis les 30 dernières années, les Québécois vivant en couple avaient chuté de façon significative, surtout chez les jeunes. En 2011, le pourcentage d’hommes en couple était passé de 63 % en 1981 à 44 % en 2011. Du côté des femmes, elles étaient à 71 % en 1981 et à 59 % en 2011.
Chez les 40 à 44 ans, le pourcentage pour les hommes est passé de 82 % à 69 % et de 77 % à 70 % pour les femmes.
À plus petite échelle, notons que la Ville de Montréal est la championne du célibat avec 36,5 % de célibataires, alors que la moyenne nationale est de 28 %.

Dossier: 100 millions de célibataires dans le monde