«Le programme d’achat local de Metro vise à offrir le plus de produits régionaux possible sur les tablettes des magasins de son réseau et à augmenter leur visibilité, afin de répondre à la demande des clients, de plus en plus à la recherche de produits du Québec et de leur région», écrit Geneviève Grégoire, conseillère aux communications de Metro, dans un communiqué de presse acheminé aux membres des médias.
Elle a en outre précisé que «cette initiative vise aussi à accompagner les fournisseurs dans leurs efforts de commercialisation auprès de la population québécoise au sein d’une grande chaîne.»
Grâce à la collaboration de la Table agroalimentaire des Laurentides, une tournée régionale a été organisée. Au cours de celle-ci, les fournisseurs intéressés ont eu l’opportunité de rencontrer les représentants des achats des supermarchés Métro de la région.
«Je tiens à souligner les efforts que Metro a réalisés afin de faciliter l’entrée des produits de la région sur les tablettes de ses magasins et de les faire rayonner, notamment en leur attribuant une place de choix en magasin et en en faisant la promotion sur différentes plateformes», a d’ailleurs commenté Aline Mondou, coordonnatrice de la Table agroalimentaire des Laurentides.
«Notre objectif, a quant a lui souligné Christian Bourbonnière, vice-président principal, division Québec de Metro, est d’augmenter la présence en magasin d’une sélection distinctive des produits qui sont fabriqués dans une région, à un prix compétitif pour notre clientèle. Pour ce faire, nous n’hésitons pas à offrir un appui personnalisé à chacun de ces fournisseurs partenaires».
Lancée en mai 2013, la politique d’achat local de Metro est maintenant implantée dans plusieurs régions du Québec dont Lanaudière, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, l’Estrie, le Bas-St-Laurent, l’Outaouais et, bien sûr, les Laurentides. En un peu plus de deux ans, ce programme a permis à plus de 733 nouveaux produits frais et d’épicerie provenant de 114 fournisseurs de faire leur entrée dans les magasins Metro de leur région.
Dans les Basses-Laurentides, notons que le Domaine du Petit Saint-Joseph de Saint-Joseph-du-Lac, le Moulin Légaré de Saint-Eustache, la Société Torréfaction de Blainville et les Sucreries Jetté de Mirabel font partie de la douzaine de fournisseurs dont les produits sont aujourd’hui en vente dans les supermarchés Metro des Laurentides.

Metro ouvre ses comptoirs aux produits locaux

Sur place, Caroline Lachance, directrice de l’AVÉQ des Laurentides a expliqué que les gens sont souvent mal informés sur les avantages de posséder une voiture électrique et que cet événement représentait une belle occasion d’obtenir des réponses à leurs questions. «Il y a beaucoup de désinformation qui circule, encore aujourd’hui, sur les véhicules électriques. C’est une des principales raisons qui m’ont poussé à offrir mon temps bénévolement pour promouvoir l’électromobilité», a-t-elle confié.
Conduite agréable et économies bien réelles
Selon elle, la conduite de ce genre de véhicule est agréable, les économies bien réelles, tout comme les bienfaits pour l&#8217;environnement. «Quand je rentre à la maison, je branche ma voiture comme d&#8217;autres branchent leur téléphone cellulaire», compare-t-elle.
Elle-même propriétaire d&#8217;une Nissan Leaf, Mme Lachance indique que sa voiture possède une autonomie de 160 km. Elle estime également que plus les gens vont s&#8217;intéresser à ce type de véhicule, plus l&#8217;offre se bonifiera. «Déjà la technologie a beaucoup évolué», note-t-elle, avançant que 95 % des gens qui font l&#8217;essai d&#8217;une voiture électrique vont finir par en acheter une. «Au bout de quatre ou cinq ans, si on tient compte des économies d&#8217;essence et d&#8217;entretien, ça coûte moins cher de rouler électrique».
De plus en plus populaires en Europe et aux États-Unis, particulièrement en Californie, les voitures électriques trouvent leur chemin jusqu&#8217;ici, alors qu&#8217;on répertorie à ce jour quelque 6 000 voitures du genre au Québec (11 000 au total circulent au Canada).
On compte, au Québec seulement, près de 750 bornes de recharges électriques, dont plus de 450 sont inclus dans le circuit électrique [www.lecircuitelectrique.com]. Une quinzaine d&#8217;emplacements se trouvent dans les Basses-Laurentides.
L&#8217;AVÉQ compte actuellement 2 500 membres actifs. Pour en savoir davantage, visitez le [www.aveq.ca].

Les Québécois sont friands des voitures électriques

«J’ai fabriqué une première balle anti-stress que j’ai donnée à ma tante. C’est elle qui m’a dit que je devrais lancer ma propre entreprise», a raconté Ashley pour expliquer les débuts de kidZavenue. Elle a en ensuite parlé avec Emma qui a décidé de joindre l’aventure.
«À chaque mercredi, nous nous voyons pour fabriquer nos balles, a ajouté Emma. Ashley s’occupe de la conception des balles tandis que de mon côté je fabrique les pompons que l’on fixe sur le dessus de chacune d’elles. Nous faisons tout nous-mêmes.»
Présentations sur power-point  sur les lieux de travail de leurs parents et devant leurs camarades de classe de l’école Le Tournesol de Lorraine, qu’elles fréquentent toutes les deux, de même que la création d’un site Internet font partie des stratégies de marketing qu’elles ont imaginées pour mousser leurs ventes, des actions qui ont porté leurs fruits. Les balles anti-stress, vendues entre 0,50 $ et 1,25 $, dépendamment du modèle choisi, trouvent en effet preneurs, à coup de commandes d’une quarantaine à la fois, à l’occasion.
«On a fait beaucoup d’argent , a lancé Ashley. Tous les pourboires que nous recevons, nous les remettrons à la Société canadienne du cancer dans le temps des fêtes», a renchéri Emma, qui estime à 25 $ la somme déjà amassée pour cette cause qui leur est chère.
Quant aux profits réalisés, les jeunes entrepreneures veulent les utiliser pour éventuellement partir en voyage.
Billes de gel ou farine ?
Les balles anti-stress que fabriquent Ashley et Emma sont faites de billes de gel ou de farine et sont extrêmement résistantes, assurent-elles.
«Au départ, les balles éclataient après deux jours. Pour régler ce problème, on a donc décidé de doubler le sac qui contient la farine ou les billes de gel», ont affirmé les jeunes filles qui offrent à leurs clients, par le biais du site Internet [kidZavenue.ca], la possibilité de choisir, au moment de la commande, la couleur de leur balle, l’expression du visage qui l’ornera (à titre d’exemples, celle-ci pourrait être coquine, souriante ou surprise) et bien sûr la texture de la balle. Billes de gel ou farine?
«Les billes de gel vous offrent une sensation différente de celle des autres balles anti-stress [tandis que] la farine est le modèle le plus commun. Elle t’assurera une relaxation certaine lorsque tu étudieras pour ton examen ou dans toute autre situation stressante», peut-on lire sur le descriptif accompagnant chacun des types de balles.
Les Lorraines ont par ailleurs fait fureur lors de la Grande journée des petits entrepreneurs qui se déroulait partout au Québec, le 27 juin dernier, et à laquelle elles ont participé. Elles peuvent même se targuer d’avoir servi, cette journée-là, le boxeur Jean Pascal, lui aussi résidant de Lorraine. Il semblerait que depuis ce temps, avant chacun de ses combats, celui-ci n’hésite pas à tâter sa balle anti-stress !