Proposant un  dialogue artistique entre le karaté-do, le théâtre et la musique, Créatures nous entraîne dans l’univers mystérieux et fantastique des légendes québécoises, là où les nuits sont peuplées de feux-follets, de loups garous, de passants aux allures étranges qui cognent à la porte un soir d’hiver, de dangereux pactes avec le diable pour aller danser jusqu’au matin ou courir la chasse-galerie…
Les créateurs de ce spectacle ont tenté de réveiller ces légendes qui dormaient au creux de nos mémoires, celles qui ont marqué notre imaginaire collectif depuis des siècles, qui ont assurément contribué à construire notre identité, mais qui trainent sur les rayons poussiéreux de nos bibliothèques depuis peut-être, un peu trop longtemps…  Ils avaient le sentiment que notre passé, nos aïeux, nos ancêtres, ceux qui sont venus avant nous pouvaient nous en apprendre sur notre avenir&#8230;
Si vous croyez avoir le courage d’affronter toutes ces créatures, jusqu’à celle qui sommeille au cœur de vous, rendez-vous à l&#8217;école Lucille-Teasdale, le samedi 8 juin prochain à 9h30.
Admission : 5 $ par spectateur ou 10 $ par famille, incluant une collation.
Renseignements : Sensei Marie-Lou Crête, 450-530-9580

Classé au septième échelon par le Centre de soutien au recrutement de la LHJMQ, il a dû patienter jusqu’au 15e rang pour finalement se présenter sur la scène pour enfiler chandail et casquette.
«C’est sûr que je commençais à stresser et je me demandais ce qui se passait, mais une fois que tu as un chandail sur le dos, tu n’y penses plus», a indiqué Meloche lors d’un entretien téléphonique.
Le Rosemèrois entre très bien dans le moule du Drakkar en tant que défenseur physique et c’est ce qu’il déclarait en entrevue: «J’ai souvent vu le Drakkar à l’œuvre contre l’Armada et c’est un style de jeu qui me convient bien. Je n’aurai pas à modifier mon style pour m’intégrer à l’équipe.»
C’est la deuxième fois en deux ans que le Drakkar vient piger dans la cour des Vikings pour son choix de premier tour. L’an passé, Loïk Léveillé, un autre défenseur, avait été leur choix.
Ce fut ensuite au tour d’Alexandre Fortin, de Blainville, de descendre les escaliers du centre Georges-Vézina, après avoir entendu son nom au 27e rang.
Il a été un choix des Huskies de Rouyn-Noranda en milieu de deuxième ronde. Cette saison, Fortin jouait avec les Phénix d’Esther‑Blondin.
En quatrième ronde, le Drakkar a de nouveau arrêté son choix sur un défenseur des Vikings de St‑Eustache, le Rosemèrois Tobie Paquette‑Bisson.
Au cinquième tour, les Saguenéens de Chicoutimi ont sélectionné le Blainvillois Éric Léger. L’attaquant des Phénix d’Esther-Blondin a eu l’honneur d’être choisi par l’équipe hôtesse de la séance de sélection.
Après Léger, le Boisbriannais Charlie Roy s’est rendu à la table de l’Armada de Blainville-Boisbriand qui en a fait son choix de cinquième tour, le 89e au total.
Finalement, le Rosemèrois Jonathan Desbiens a été sélectionné par les Remparts de Québec en 10e ronde. Il serait surprenant que Desbiens fasse le saut dans la LHJMQ puisqu’il n’était pas présent à Chicoutimi, préférant prendre part au camp d’entraînement d’un prep school.

Nicolas Meloche, le premier de classe

Les hommes de David O’Neill encaissaient ainsi un premier revers depuis le début de la campagne, après avoir remporté leurs deux premiers duels.
Maxime Cérat a entamé la rencontre sur la butte. Après avoir donné un point en première manche, il a vu les frappeurs de Saint-Jérôme s’adapter à ses lancers et profiter de son manque de contrôle et des largesses de sa défensive.
En quatre manches, Cérat a octroyé un total de huit coups sûrs, neuf points, dont sept mérités, et cinq buts sur balles.
En deuxième et troisième manches, les visiteurs ont croisé la plaque à huit occasions pour se forger une confortable avance de 9 à 1.
Les Térésiens ont marqué trois points en sixième, mais les Jérômiens ont répondu avec quatre, en début de septième, aux dépens de Pascal Chabot.
Chabot, un grand droitier de 6 pi 7 po, n’a pas accordé de points à ses deux premières manches en relève, avant d’en octroyer quatre en début de septième manche.
En trois manches, Chabot a accordé quatre points, tous mérités, sur six coups sûrs et cinq buts sur balles. Il a passé cinq frappeurs dans la mitaine.
Au bâton, Guillaume Beaudoin et Ludovic Fortier ont été les meilleurs des locaux, avec deux coups sûrs chacun. Beaudoin, une recrue au niveau senior, a mal paru à sa première présence contre Martin Johnson, auteur d’un match sans point ni coup sûr en début de saison, mais s’est bien repris lors de ses deux apparitions suivantes.
Johnson a accordé quatre points, dont un mérité, en six manches de travail sur six coups sûrs. Il n’a donné aucune passe gratuite et il a retiré six frappeurs au bâton.
Donald Toro (3 en 4) et Jonathan Lussier (4 en 4) ont été les meilleurs au bâton pour les vainqueurs.
Autre match complet de O’Neill
La veille, les Brewers avaient disposé des Orioles de Montréal par la marque de 3 à 2, grâce entre autres à la solide performance de leur as David O’Neill. En sept manches, il n’a concédé que deux points sur quatre coups sûrs et trois buts sur balle.
C’est en cinquième manche que l’offensive des Brewers s’est mise en marche. Elle a marqué un point à chacune des manches subséquentes pour mériter la victoire.
Du renfort
Philippe Delisle, le joueur d’arrêt‑court des Brewers la saison dernière, avait tenté sa chance avec les Aigles de Trois-Rivières, dans la Ligue CanAm, mais il a été victime du couperet lors de la dernière semaine. Il se joindra aux Brewers au cours des prochains jours.
Prochains matchs
À leur tour, les Brewers rendaient visite à Saint-Jérôme, mardi, mais au moment d’écrire ses lignes, le résultat n’était pas connu.
Ils rendront visite à Acton Vale jeudi, avant de revenir au parc Ducharme, dimanche à 14 h, pour recevoir une fois de plus leur voisin du Nord.

Brewers: Saint‑Jérôme vient gâcher le match d’ouverture

L’École martiale présente: Créatures, sur les traces des légendes du Québec