«Le cas de Blainville est une affaire d’ordre administratif qui n’est pas souvent portée à l’intention du ministre», a-t-il indiqué.
Occupé à travailler sur l’élaboration d’un code d’éthique pour les élus municipaux, l’attaché de presse a mentionné que le dossier de Blainville justifie la démarche du gouvernement. «Avec un code d’éthique pour les élus municipaux, ce que des gens en comité sont en train de travailler, le cas de Montréal et Blainville pourraient être mieux répondus», a-t-il avoué, précisant que la Loi actuelle ne permet pas de poser des gestes significatifs. «Est-ce qu’il faudrait amender la loi? Il y a une équipe qui réfléchit à cette question», de conclure M. Bourassa.