Cette entreprise qui a requis un investissement de 86 000 $ de la part de ses promoteurs, Amira Ben Nasr et Yassine Gargouri, s’est prévalue d’une subvention de la Société de développement économique Thérèse-De Blainville (CLD), qui leur a versé une somme de 5 000 $. 
Provenant du fonds Jeunes Promoteurs, volet démarrage d’entreprise, la contribution financière de la SODET a servi aux améliorations locatives des lieux et à l’achat d’équipement et de mobilier adaptés. 
«Je tiens à remercier la SODET pour l’avancement de notre garderie, a souligné l’un des promoteurs, Amira ben Nasr. Moi-même parent de deux enfants, je suis heureuse de contribuer à l’évolution intellectuelle, physique et sociale des enfants. Plusieurs activités seront d’ailleurs proposées aux petits, telles qu’un coin lecture, de la psychomotricité fine, l’initiation à l’informatique, à l’anglais et aux mathématiques.»
Même si la garderie n’est pas subventionnée pour le moment, cette dernière demeure compétitive en raison des crédits d’impôt et des remboursements anticipés de frais de garde dont peuvent bénéficier les parents. 
«C’est un très beau succès que cette relève. Bravo pour l’emplacement choisi, car de plus en plus de jeunes familles viennent s’installer à Sainte-Thérèse» a apporté la mairesse de Sainte-Thérèse et présidente de la SODET, Sylvie Surprenant. Signe que la garderie répond à un véritable besoin, précisons que la liste d’attente s’est allongée jusqu’en 2010.

La Garderie éducative La Princesse ouvre ses portes

D’entrée de jeu, la vice-présidente de l’organisme, Christine Vachon, a lu le rapport annuel du président du conseil d’administration, absent pour l’occasion. «L’année 2008-2009 fut sans contredit celle des grands renouvellements. En commençant par le renouvellement de la Stratégie d’action jeunesse 2009-2014 qui a été lancée le 27 mars dernier, à Montréal, par le premier ministre», de dire Mme Vachon. 
Avec cette nouvelle Stratégie jeunesse, il semble que le gouvernement du Québec ait l’intention de maintenir plusieurs mesures mises de l’avant au cours des dernières années, et ce, en plus de fixer de nouveaux objectifs pour les années à venir. 
«C’est une année digne de mention. En plus de consolider nos activités, telles que Jeunes en action IDÉO 16/17 et Défi de l’entrepreneuriat jeunesse par le renouvellement de la Stratégie d’action jeunesse 2009-2014, nous avons maintenu et développé des projets locaux innovateurs», de poursuivre la directrice, Nathalie Lachance. 
Qu’est-ce que le Carrefour jeunesse-emploi? «Issu de la volonté et de la concertation des partenaires du milieu, la mission de l’organisme est d’améliorer les conditions de vie des jeunes adultes âgés entre 16 et 35 ans. Le CJE accompagne les jeunes dans leur démarche d’insertion sociale, professionnelle et économique», de résumer la vice-présidente. 
Au chapitre des statistiques, l’année 2009 aura permis à de nouveaux jeunes de connaître les différents services de l’organisme. Ainsi, il semble que plus de 1 048 jeunes aient utilisé les services offerts. Dans le même sens, le CJE a réalisé 585 placements d’intégration ou de réintégration en emploi pour une prévision de 550 dossiers. Les services les plus utilisés sont la rédaction et la mise en page du curriculum vitæ (621 bénéficiaires) ainsi que les techniques de recherche d’emploi (505 utilisateurs). 
«Soulignons notre participation aux Jeux du Québec d’hiver 2009, où 30 jeunes ont vécu une expérience enrichissante de travail dans un contexte sportif exaltant. La participation sans précédent des jeunes nous a rapidement enthousiasmés. C’est la preuve que tout est possible quand toutes les conditions de réussite sont réunies», de résumer la directrice. 
«Un autre grand évènement laurentien a aussi été organisé pour les jeunes, soit les Journées Réalité Travail et Avenir. Deux journées pour le développement de la jeunesse qui furent grandement appréciées des 150 participants. Un franc succès», d’expliquer Mme Lachance. 
Quant à la provenance de la clientèle, il semble que la majorité provient de Sainte-Thérèse, avec 29 %; Blainville suit, avec 28 %, et finalement, Boisbriand ferme la marche, avec 15 %. Pour ce qui est du sexe des utilisateurs, les données sont relativement comparables avec 51 % de femmes.

1 048 nouveaux dossiers en une année

Ce sympathique marché public tenu par six producteurs transformateurs sera donc ouvert tous les samedis, durant la saison estivale, entre 8 h et 14 h, afin de vous accueillir sous de petits chapiteaux pour vous faire déguster leurs produits originaux. 
Puisqu’il s’agit d’une vente directe et sans intermédiaire, les clients ont donc tout à loisir de questionner les gens qui cultivent ou transforment ces aliments, parfois les deux, ce qui rend l’endroit tout à fait convivial. Les parfums qui en émanent constituent la meilleure publicité du Marché de la Place et vous y rencontrerez des passionnés dont les compétences et les connaissances vous intéresseront assurément. 
C’est bien évidemment en compagnie de la mairesse Catherine Collin que l’on procédait à l’inauguration du petit marché en plein air du boulevard Sainte-Anne, où l’on offre des légumes et des fruits frais, aux consommateurs, mais aussi des produits du miel, également de la viande d’agneau et de la saucisse dans une variété de saveurs, voire du chocolat, tous des produits évidemment issus de la région immédiate. 
Un panier de provisions sera offert en tirage par les marchands, tous les samedis, et il faut savoir que le Marché de la Place, qui débutait plus tôt cette année, profite bien évidemment du soutien de la Municipalité, mais aussi de l’Union des Producteurs Agricoles des Plaines, ainsi que de la Caisse Populaire de l’Envolée, de même que du ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Pêcheries du Québec.