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Eduardo Gonzalo sur le terrain

Photo Pierre Latour Eduardo Gonzalo, candidat libéral dans le comté de Marc-Aurèle-Fortin.

Eduardo Gonzalo sur le terrain

Publié le 08/04/2011

On connaît désormais le nom du candidat qui représentera le Parti libéral du Canada dans le comté de Marc-Aurèle-Fortin pour l’élection fédérale. Il s’agit d’Eduardo Gonzalo, citoyen de Laval et membre de la famille libérale depuis de nombreuses années.

«Je veux faire ma campagne en mettant de l’avant une approche de proximité. Je ne veux pas faire de la politique comme les autres», dit-il, visiblement prêt à faire campagne pour les semaines à venir.

D’origine catalane et de nationalité péruvienne, Eduardo Gonzalo s’implique en politique avec la motivation de changer les choses, une idée ambitieuse qu’il désire pouvoir réaliser en prônant une plus grande utilisation des médias sociaux afin de faciliter la communication entre les élus/candidats et les électeurs.

«Si on veut changer les choses, il faut s’impliquer. Moi, je m’implique au sein du Parti libéral à titre de candidat, entre autres, pour dénoncer les dérives de Stephen Harper à l’égard de la démocratie canadienne et du Parlement», explique-t-il.

Informaticien de métier possédant sa propre entreprise dans le domaine, Eduardo Gonzalo n’économise pas ses mots pour dénoncer ce qu’il appelle l’attitude autoritaire du premier ministre du Canada. «Je crois qu’il faut être volontaire pour faire de la politique et s’impliquer auprès des citoyens. L’éthique et la transparence dans les décisions sont mes grandes priorités», évoque-t-il.

Pour sa première semaine de campagne électorale, le candidat libéral a déjà commencé à sillonner le comté de Marc-Aurèle-Fortin afin de rencontrer les électeurs. Au cours de la dernière fin de semaine, Eduardo Gonzalo dit avoir visité 900 portes en douze heures. «Je suis un gars de terrain. Je ne vais pas avoir d’organisation ni de grosse équipe avec moi. Je vais aller à la rencontre des gens pour les écouter et leur parler», précise-t-il.

Dans son porte-à-porte, le candidat libéral a indiqué que la question de l’autorité de Stephen Harper revenait souvent parmi les points négatifs, de même que le manque d’action et d’influence du Bloc québécois à la Chambre des communes. «Les électeurs bloquistes, je leur tends la main pour que nous puissions travailler tous ensemble», a-t-il conclu.