Louise Courtemanche, de Bois-des-Filion, Yvette Lusignan et Joanne Roger, de Laval, et Mireille Terrault-Varin, de Boisbriand, ont opté pour le marais Tylee de Rosemère. Yeux à l’affût et jumelles en main, ces membres du Club d&#8217;ornithologie de la région des Moulins (CORDEM) seront sur place dès 18 h, le vendredi 11 mai, beau temps, mauvais temps.
«C’est notre première participation à ce défi, indique Mireille Terrault-Varin, chef de cette équipe. Pour s’y être promenées à plusieurs reprises, nous avons choisi le marais Tylee afin d’évaluer son potentiel ornithologique à cette période de l’année. Notre point fixe, autour duquel nous graviterons pendant 24 heures, sera situé au bout de la passerelle, tout près du gazebo.»
Plus de 40 équipes à travers le Québec participent à ce défi amical coordonné par le Regroupement Québec-Oiseaux, un organisme à but non lucratif regroupant près de 35 associations ornithologiques ainsi que des membres individuels.
Le but principal de la troisième édition de cette manifestation est de sensibiliser la population à l&#8217;observation et à la conservation des oiseaux tout en recueillant des fonds destinés à la conservation des habitats de la faune ailée.
Les personnes intéressées par le respect de la nature peuvent appuyer l’équipe du marais Tylee en se rendant sur place ou en contribuant financièrement à la cause.
Infos: 1 888 647-3289, info@quebecoiseaux.org, ou [www.quebecoiseaux.org].

Au marais Tylee de Rosemère: Le Grand Défi Québec-Oiseaux

D’abord celle de Bois-des-Filion, ce vendredi 11 mai, de 15 h à 20 h, puis le samedi 12 mai, de 10 h à 16 h, et ensuite celle de Fontainebleau, les 18 et 19 mai, de 10 h à 17 h. «Nous proposons des massages sur chaise d’environ 10 minutes chacun. La contribution des gens est volontaire», indique Mme Lehoux.
Rappelons que le voyage de Mmes Lehoux et Lefebvre s’inscrit dans la cadre de Massothérapeutes sans frontières, un projet visant à améliorer, par la massothérapie, les conditions ou l&#8217;état de santé de populations vulnérables. Leur destination? Cork, une communauté située au sud de l’Irlande. C’est là que les deux femmes travailleront, durant leur séjour de six semaines, plus précisément à L’Arche, un refuge où sont accueillies des personnes atteintes de déficience intellectuelle, sans foyer, sans ressource et sans famille.
Tout l’argent amassé dans le cadre de cette activité de massage sur chaise servira au financement de leur voyage.

Massothérapeutes sans frontières: activité de financement

«C’est avec plaisir qu’on peut vous dire que pour l’année 2011, il y a un surplus de 711 483 $. Ça faisait un certain temps que nous n’avions pas vu des surplus de cet ordre-là», a souligné la mairesse, en déposant, le mardi 1er mai, le rapport financier 2011.
Ce rapport indique que la Municipalité, à l’intérieur des réalisations 2011 de 52 164 402 $, a reçu plus de revenus que ce qu’elle avait prévu, pour une somme de 1 259 671 $. Même chose du côté dépenses avec une hausse de 548 188 $ par rapport à la prévision de ses activités financières de fonctionnement. «Malgré cette hausse, le conseil a décidé, cet automne, de rembourser le fonds de roulement pour une somme de 843 553 $», a-t-elle souligné.
Après avoir dégagé un surplus budgétaire deux années de suite, la mairesse croit que les Boisbriannais ont tout pour être fiers de leur ville. «Elle (la ville) est belle, vous profitez de bons services, en plus du fait que l’administration municipale est capable d’avoir une gestion équilibrée des finances. C’est grâce au travail d’équipe du conseil et des services municipaux», a-t-elle souligné.
La dette
Par rapport à la dette municipale, la mairesse a rappelé que deux projets majeurs représentent 35 % de celle-ci, soit l’usine d’épuration des eaux, à hauteur de 34 millions de dollars, et l’échangeur de la 640 et de la 15, pour une somme de 25 millions de dollars.
«Je peux vous dire que parmi les villes du Québec, même si certaines contribuent financièrement à l’aménagement de sorties d’autoroute, il n’y en a aucune qui paie une somme de 25 millions de dollars pour un échangeur», estime Mme Cordato. Selon elle, si les municipalités entourant Boisbriand avaient contribué à l’aménagement de l’échangeur, «le visage de la dette serait bien différent».
La dette municipale nette à long terme s’élève à tout près de 117 millions de dollars, une diminution de plus de deux millions de dollars. La proportion du budget servant au financement du service de la dette connaît également une légère baisse, passant de 28,29 %, à 27,04 % pour l’exercice financier se terminant le 31 décembre 2011. Ainsi, la dette représente 4,26 % de la richesse foncière uniformisée, bien que trois ans auparavant, elle correspondait à 5,30 %. Depuis, elle a toujours connu une diminution, ce qui, selon Mme Cordato, démontre une stabilisation, voire une amélioration de la situation.

Rapport financier 2011 à Boisbriand: un surplus de 711 483 $