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Un accès instantané aux volets nationaux pour six récipiendaires

Un accès instantané aux volets nationaux pour six récipiendaires

Publié le 09/04/2010

Les candidatures de six des sept étudiantes méritoires du volet Laval-Laurentides-Lanaudière du concours Chapeau, les filles! et issues des MRC de Thérèse-De Blainville, Deux-Montagnes et Mirabel, seront automatiquement recommandées dans des catégories spécifiques pour les volets nationaux.

La remise des distinctions honorifiques nationales s’effectuera lors d’un grand gala qui aura lieu le 3 mai prochain à Montréal. Les finalistes de toutes les régions du Québec se donneront rendez-vous pour cet évènement où des bourses allant de 2 000 $ à 5 000 $ ou des séjours professionnels en France ou en Belgique seront distribués parmi les gagnantes.

Catégories nationales des représentantes régionales

Karine Girard, de Mirabel, sera inscrite dans les volets Esprit d’entreprise, Continuité et Prix du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS).

Marie-Soleil Bergeron Turcot, de Bois-des-Filion, tentera sa chance dans les volets Équité, Fédération des cégeps et Prix du MELS.

Marie-Louise De Wever, de Saint-Eustache, se risquera dans les volets Persévérance, Santé et sécurité au travail et Métiers de la construction.

Guylaine Tremblay, de Saint-Eustache, sera concurrente au sein du volet Fédération des commissions scolaires du Québec.

Marie-Ève Tremblay, de Sainte-Thérèse, rivalisera dans le volet Technologies de pointe.

L’Anneplainoise Martine Piché convoitera des prix dans les volets Agriculture, pêcheries et alimentation ainsi qu’Esprit d’entreprise.

La chasse aux lieux communs ghettoïsants

Contrer les stéréotypes qui confinent les femmes dans des ghettos d’emplois, voilà l’esprit dans lequel le MELS promeut le concours Chapeau, les filles!

Selon les artisans du concours, celui-ci valorise une situation qui n’est pas assez répandue. Les femmes, disent-ils, sont largement sous-représentées dans la plupart des programmes de formation menant à l’exercice de professions ou de métiers traditionnellement masculins. Ils sont d’avis que les femmes ont une place à prendre dans les domaines les plus rentables de l’économie québécoise.

Le concours se déroule dans les commissions scolaires, les cégeps et les établissements d’enseignement privés de toutes les régions du Québec.

En s’associant au réseau scolaire et à des partenaires socioéconomiques, le MELS désire aussi miser sur une diversification des choix en procurant des modèles de réussite.