Madame Arseneault a fait ses débuts en développement économique en 1991, dans la région du Bas-Saint-Laurent. Depuis, elle a oeuvré dans quatre régions du Québec. Forte d’une expérience en gestion administrative de près de 15 ans et de quelques années dédiées à l’enseignement, elle a occupé des fonctions telles que conseillère aux entreprises, conseillère stratégique en performance PME, analyste financier et directrice de comptes.
Son parcours lui a permis de se bâtir un vaste réseau d’affaires et de s’impliquer dans des projets d’entreprises à différentes phases de développement: lancement, croissance, transfert d’entreprise ou consolidation en plus de participer à différents projets de développement local.
Son expertise, jumelée à un intérêt marqué pour le développement des PME, l’a amenée au cours des dernières années à concevoir et à mettre en oeuvre un programme de coaching dédié aux dirigeants d’entreprises désireux de planifier leur croissance et de structurer leur PME pour y faire face.
Mandat
La nouvelle directrice de développement économique aura notamment pour mandat de développer l’offre de services s’adressant aux entreprises, particulièrement au niveau de leur démarrage, de leur expansion et de leur financement, via la gestion des programmes FLI (Fonds local d’investissement) et les autres programmes de soutien qu’offre la MRC.
La communication systémique, l’image de marque de la direction de développement économique, l’innovation et la synergie avec les forces vives économiques du territoire, etc. constituent, entre autres, la trame de fonds de sa devise en matière de gestion de la direction économique de la MRC.
Madame Arseneault sera assistée par Steve Mitchell et Amélie Morel, conseillers en développement économique et entrepreneuriat de la MRC depuis 2017. Le préfet, Richard Perreault, le directeur général, Dr Kamal El-Batal, tout comme le conseil de la MRC, accueillent avec joie la venue de Nathalie Arseneault qui pourra compter sur leur appui stratégique.

Après une autre année de forte croissance, SPI Santé Sécurité continue de nourrir des plans ambitieux et réitère que l’atteinte des résultats passe, entre autres, par l’engagement et l’expertise de ses gens.
Kim Levesque travaille pour SPI Santé Sécurité depuis plusieurs années et est un membre inestimable de l’équipe de direction. Elle a su instaurer un haut niveau de responsabilisation et a joué un rôle prépondérant dans l’orientation de la stratégie de commercialisation de SPI.
De par son engagement exemplaire en tant que leader et l’achèvement de plusieurs projets majeurs, Mme Levesque  a su démontrer ses aptitudes à prendre les rênes des opérations quotidiennes ainsi que diriger l’équipe de direction.
L’entreprise
Fondée en 1972, SPI Santé Sécurité, dont le siège social est à Blainville, est le chef de file canadien en matière de produits et de services liés à la santé et à la sécurité au travail. SPI Santé Sécurité propose des solutions à la fois complètes et spécialisées qui englobent les équipements et services techniques, les services de protection incendie, les services-conseils et les formations.

SPI Santé Sécurité:  Nomination de Kim Levesque à titre de chef d’exploitation

De passage devant les gens d’affaires afin de présenter les grandes lignes du budget 2019 de la Ville, le mercredi 16 janvier, le maire de Rosemère, Eric Westram, en a profité pour leur tendre la main, faisant valoir l’importance de leur contribution au développement économique et social du territoire rosemèrois. 
«Au-delà de l’encadrement règlementaire que nous apportons comme Ville, nous voulons être dans l’action avec vous pour mettre en place un cadre propice aux affaires. On veut vous épauler dans votre prospérité qui, en bout de piste, deviendra la prospérité de l’ensemble de la communauté» , a-t-il affirmé. 
Une soixantaine de personnes ont pris part à ce dîner qui a permis de préciser l’incidence des prévisions budgétaires de la Ville pour le secteur commercial. M. Westram a d’entrée de jeu expliqué que les investissements records effectués et engagés en 2017, avant son arrivée à la tête du conseil municipal, représentent un poids financier de 900 000 $ à supporter annuellement. Cela se traduit par une augmentation du taux de la taxe foncière qui, pour les entreprises et commerces, est fixé à 1,68 $ du 100 $ d’évaluation. 
«L’impact pour le secteur non résidentiel est différent pour chacun des commerces selon la variation des valeurs au rôle d’évaluation» , a souligné le premier magistrat. 
Cela dit, M. Westram s’est engagé à mettre en place des conditions favorables au développement des affaires sur le territoire. «Nous sommes très sensibles à vos défis, qui deviennent les nôtres. Nous devons penser autrement afin de mettre en place des solutions innovantes.» 
<h3>Consultations publiques sur la vision urbanistique de la Ville</h3>
Suivant cette volonté de collaboration, M. Westram a invité les gens d’affaires à prendre part aux consultations citoyennes prévues en mars, lesquelles visent à définir la vision urbanistique de Rosemère. 
«Cela nous permettra d’imaginer le redéveloppement et le développement de nos trois secteurs commerciaux que sont la Place Rosemère, le boulevard Labelle et le chemin de la Grande-Côte. Saisissons ensemble cette opportunité de redynamiser notre secteur économique afin de le positionner avantageusement sur l’échiquier régional et national» , a-t-il fait valoir. 
De son côté, le président de l’Aile des gens d’affaires de Rosemère (AGAR), Pierre Paquin, se réjouit de l’ouverture manifestée par Rosemère à l’égard de la communauté d’affaires. La Ville a notamment renouvelé son appui financier à l’association, ce qui permet un dialogue entre toutes les parties.

Une nouvelle directrice de développement économique et entrepreneuriat