L’Aile des gens d’affaires de Rosemère (AGAR), filiale de la CCITB, invitait ses membres, élus locaux et autres convives au lancement de la campagne Rosemère, c’est mon affaire! le 22 janvier dernier, aux locaux de Frank &#038; Sullivan situés sur le boulevard Curé-Labelle. 
Étaient présents le maire de la Ville, Eric Westram, la députée fédérale de Rivière-des-Mille-Îles, Linda Lapointe, le député provincial de Groulx, Claude Surprenant, la chargée de projet de la Chambre de commerce et d’industrie Thérèse-de Blainville, Maria Duculescu, et le président de l’AGAR, Pierre Paquin. Les deux derniers expliquaient le projet devant la trentaine d’invités au deuxième étage du commerce. 
«Derrière chaque commerce, il y a un individu, un rêve, il y a des convictions et une volonté de contribuer à sa communauté, chacun à sa façon. C’est ce volet souvent moins exploité sur lequel mise la campagne, mentionne M. Paquin. En visitant les entreprises de Rosemère, vous participez à la vitalité économique de votre ville et profitez d’un service de proximité tout en contribuant au développement d’entreprises québécoises ainsi qu’à la création d’emplois pour les gens de la région. Plus les commerces sont prospères, plus les citoyens en bénéficient.» 
<h3>Une mise en valeur des acteurs locaux</h3>
La chargée de projet Maria Duculescu dévoilait, à l’aide d’une diapositive, les différents outils de promotion qui sont utilisés pour faire briller les commerces d’ici: affiches sur les autobus et sur le grand boulevard, les réseaux sociaux, le Web et ainsi de suite. 
«Je suis très heureux d’être parmi vous afin de donner le coup d’envoi de cette belle campagne. Vous savez, celle-ci a comme mission de nous faire découvrir les commerçants de chez nous et de mettre de l’avant notre vitalité économique, mais surtout les individus et leur implication dans notre communauté. En ce sens, la campagne de l’AGAR nous rejoint. La Ville de Rosemère est très fière de collaborer avec vous, et ce, au service de nos concitoyens» , lance le premier magistrat. 
Pour plus d’informations, il suffit de visiter le site [<a href="http://www.rosemerecestmonaffaire.com" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" rel="noopener">http://www.rosemerecestmonaffaire.com</a>]. Vous y trouverez la liste des commerces associés et une explication détaillée de la présente campagne.

Une campagne mettant en vedette les entreprises d’ici

L’actuel député provincial de la circonscription de Blainville, Mario Laframboise, est devenu la 25e Personnalité de l’année de la Chambre de commerce de Bois-des-Filion–Lorraine.
C’est à l’occasion du déjeuner du mois de janvier dernier que la Chambre de commerce, par l’entremise de Michel Bourgeois, membre du conseil d’administration qui agissait alors à titre de maître de cérémonie, a fait connaître son choix.
M. Laframboise succède donc à l’ex-mairesse de Lorraine, Lynn Dionne, qui avait reçu pareil honneur l’an dernier. Il devient aussi le troisième député à être désigné Personnalité de l’année, après le député provincial Daniel Ratthé, en 2012, et la députée fédérale Diane Bourgeois, en 2003.
<h3>Une carrière politique fort remplie</h3>
Père de deux enfants et grand-père de quatre petits-enfants, notaire de formation, M. Laframboise, 60 ans, a été maire de la Municipalité de Notre-Dame-de-la-Paix de 1983 à 2000, donc pendant 17 ans, et de 1997 à 2000, président de l’Union des municipalités du Québec (UMQ).
En l’an 2000, il se lance dans l’arène politique fédérale et est élu, à titre de candidat du Bloc québécois (BQ), député de la circonscription d’Argenteuil-Papineau-Mirabel, qu’il a représentée pendant 11 ans, soit jusqu’en 2011, à la Chambre des communes.
En 2014, le 7 avril, cette fois sur la scène provinciale, il est élu à titre de candidat de la Coalition Avenir Québec (CAQ), député de la circonscription de Blainville. En plus de ses tâches comme député, il est aussi responsable pour la CAQ des affaires municipales et de l’occupation du territoire, responsable de la métropole, en plus d’être responsable de la région de l’Outaouais.
<h3>Un «ex-motard»</h3>
On a aussi révélé, ce que peu de gens savent, que M. Laframboise a aussi déjà été portier de bar, un excellent disc-jockey et tombeur de ces dames, et même un passionné de motocyclette, puisqu’il a été propriétaire d’un Harley-Davidson. «C’est donc un ex-motard!» n’a pu s’empêcher de lancer M. Bourgeois, ajoutant que la nouvelle Personnalité de l’année est également un passionné de chasse, un excellent guide et un «calleur» d’orignal hors pair!
«C’est un privilège pour moi d’avoir été nommé Personnalité de l’année 2017 à la Chambre de commerce de Bois-des-Filion–Lorraine. Merci beaucoup pour cette prestigieuse reconnaissance!» a commenté le lauréat, avant de recevoir sa marque de reconnaissance des mains du président de la Chambre de commerce, Guy Barbe.

Le député Mario Laframboise nommé Personnalité de l’année

Le 15 février 2011, à Saint-Jérôme, sur le lot 4 345 756 du Cadastre du Québec, Syscomax inc. a entrepris l’exercice d’une activité, soit des travaux d’excavation sur un ancien site industriel, susceptible de résulter en une émission, un dépôt, un dégagement ou un rejet de contaminants dans l’environnement ou une modification de la qualité de l’environnement, sans avoir préalablement obtenu un certificat d’autorisation, en contravention avec l’article 22, 1er alinéa, de la Loi sur la qualité de l’environnement.
Par la suite, les 16 et 17 février 2011, l’entreprise a poursuivi l’exercice d’une activité susceptible de résulter en une émission, un dépôt, un dégagement ou un rejet de contaminants dans l’environnement ou une modification de la qualité de l’environnement, sans détenir le certificat d’autorisation requis, en contravention avec l’article 110 de la Loi sur la qualité de l’environnement.
Syscomax inc. a donc été condamnée à verser une amende totalisant 5 400 $ et doit, en plus de payer des frais judiciaires, rembourser les frais de poursuite engagés par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, soit une somme de 1 421 $.
Liens connexes
Les citoyennes et les citoyens peuvent signaler tout acte ou geste pouvant affecter la qualité de l’environnement en personne au bureau du Centre de contrôle environnemental du Québec le plus près, par Internet à l’adresse [<a href="http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/ministere/plaintes/plaintes-env.htm">www.mddelcc.gouv.qc.ca/ministere/plaintes/plaintes-env.htm</a>] ou par téléphone, à Urgence-Environnement, au 1 866 694-5454.
On peut consulter le registre des déclarations de culpabilité à des infractions à la Loi sur la qualité de l’environnement ou à ses règlements à l’adresse suivante: [<a href="http://www.registres.mddelcc.gouv.qc.ca/condamnations/recherche.asp">www.registres.mddelcc.gouv.qc.ca/condamnations/recherche.asp</a>].