En outre, rappelons que la CCITB s’est démarquée au cours de la dernière année, notamment en méritant les distinctions suivantes: Lauréate – Aile jeunesse de l’année 2013, prix remis par le Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec; Lauréate – Projet novateur de l’année 2013 pour son projet Conciliation travail-famille, prix remis au gala du Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec; Finaliste – Chambre de commerce de l’année 2013 remis par la Fédération des chambres de commerce du Québec; Mention d’excellence du prix Gaston-Miron pour son projet Français en affaires; Accréditation avec distinction du Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec.
Les réalisations
Au chapitre des réalisations, soulignons, entre autres, la mise sur pied du programme Explorateurs d’affaires, l’application Android Français en affaires et la création de deux cellules entrepreneuriales formées de 20 entrepreneurs de 40 ans et moins. Mentionnons également que la CCITB a innové dans ses méthodologies de travail, en favorisant le paiement en ligne, l’envoi de factures électroniques et en proposant une nouvelle plateforme Web améliorant l’expérience des membres. Des opportunités de visibilité revisitées ont aussi été proposées, telles que le magazine Espace Réseau, maintenant distribué aux 3 500 entreprises de la MRC, Les bonnes nouvelles Cogeco diffusés notamment sur les ondes de 98,5 FM, La nouvelle économique des Laurentides, diffusée sur les ondes de Cime FM et un canal YouTube avec les vidéos de la CCITB et des membres. Sans oublier qu’elle s’est dotée d’une nouvelle image crédible, tant au niveau de la CCITB que de son gala Stellar.
La Chambre de commerce a également misé sur sa présence active au sein de différents enjeux reliés au développement économique, soit la rareté de la main-d’œuvre qualifiée, la persévérance scolaire, la relève et la formation. La CCITB s’est également positionnée en lien avec différents dossiers, comme le dépôt du mémoire de l’Aile jeunesse lors de la consultation de Léo Bureau‑Blouin et sa présence au sein des 16 organismes ou conseils d’administration, notamment à la direction de la Régionale des chambres de commerce des Laurentides.

Effectivement, le mardi 7 janvier 2014, elle annonçait, devant quelques administrateurs, la tenue du 3e Forum sur les enjeux économiques qui se déroulera le 19 février, de 8 h à 13 h 30, au Centre culturel et communautaire Thérèse de Blainville.
Cette demi-journée, qui sera divisée en deux ateliers, sera précédée d’une conférence animée par Marie Grégoire, vice-présidente et associée principale chez TACT Intelligence-conseil, et ce, de 8 h 15 à 8 h 45.
Ateliers
Puis, à compter de 8 h 45, le premier atelier débutera avec ce premier questionnement: L’arrivée de nouvelles grandes sociétés dans la MRC de Thérèse-De Blainville forcera les détaillants à s’adapter rapidement à cette nouvelle réalité. Comment peuvent‑ils trouver des façons de développer davantage leur marché et demeurer compétitifs?
Pour ce premier segment, les panélistes invités seront Pierre-Marc Tremblay, président et chef de la direction de Pacini, Jacques Nantel, professeur titulaire de HEC Montréal, et François Charron, chroniqueur Web et président de Synonyme média.
Suivra, à 10 h 15, le second atelier intitulé Le départ à la retraite des baby-boomers ainsi que les préretraites vont certainement créer un choc démographique sur le marché du travail. Comment les entreprises de la région pourront‑elles contrer les effets de ce choc démographique?
Le panel de cette deuxième portion sera animé par Florent Francœur, PDG à l’Ordre des conseillers en ressources humaines, Alban D’Amours, président du comité d’experts sur l’avenir du système de retraite québécois, et Stephan Robitaille, FCPA, FCGA, président du conseil de l’Ordre des CPA du Québec.
Notons que le tout sera suivi du Midi d’affaires de la CCITB avec Blaise Renaud, président-directeur général de Renaud‑Bray.
Il en coûtera 69 $ plus taxes pour les membres et 89 $ plus taxes pour les non‑membres. Inscription au [www.ccitb.ca].

Le 19 février: un 3e Forum sur les enjeux économiques

Pomme d’amour, c’est le nom qu’ont donné à cette garderie éducative Mélanie Gouveia et Soula Roubos, deux ex‑enseignantes qui souhaitaient prendre un nouveau virage professionnel en lien avec leur expertise commune. L’idée d’ouvrir une garderie en y intégrant un programme éducatif leur est apparue comme une voie toute désignée.
Au cours des deux dernières années, elles ont donc élaboré leur concept de garderie éducative tout en prenant soin de penser aux moindres détails dans l’aménagement des pièces où séjourneront quotidiennement les petits bouts de chou.
Vendredi soir dernier, c’était la coupe officielle du ruban. Après quoi, membres de la famille et personnalités publiques, dont le maire de Bois-des-Filion, Paul Larocque, ont pu découvrir cette garderie un peu spéciale. Le lendemain, Mmes Gouveia et Roubos devaient accueillir des parents curieux d’en savoir un peu plus sur l’endroit.
Mais attention, il n’y a plus de places disponibles et 600 noms figurent déjà sur la liste d’attente. Comme il s’agit d’une garderie privée subventionnée, toutes les places sont à 7 $ par jour. «Des places à 7 $, c’est rare maintenant», indique Mélanie Gouveia.
La construction de cette garderie a nécessité un investissement de 1,4 million de dollars. Les éducatrices s’occuperont des bambins dans des pièces réservées par tranche d’âge, à l’exception des aires communes comme l’espace bibliothèque, la salle à manger et le terrain de jeu extérieur.
Dans chacune des pièces, les nouvelles propriétaires ont pensé à des éléments amusants pour les enfants, mais aussi aux aspects pratiques. Toutes les pièces disposent d’un écran qui permettra aux éducatrices de voir toute personne à la porte d’entrée et d’un bouton pour l’ouvrir sans avoir à laisser les enfants sans surveillance.
Dans la pouponnière, les propriétaires ont eu l’idée de fixer les chaises hautes au mur et à la hauteur des éducatrices chargées de faire manger les bébés. Juste en dessous se trouve une tablette longeant le mur qui permettra de nettoyer facilement les éclaboussures.
Les petits détails de ce genre tenaient à cœur à Mme Gouveia et Mme Roubos. «Ça a été construit avec des cœurs de mères et des cerveaux d’enseignantes», souligne Mélanie Gouveia.
Quant au programme éducatif, il servira évidemment à stimuler l’éveil des enfants et à les préparer aux étapes ultérieures de développement. Les enfants de deux ans y apprendront à interagir avec les copains et à partager. Ceux de quatre ans seront préparés à leur entrée à l’école régulière et, de ce fait, à suivre des consignes. Les propriétaires se disent fières de leur programme soigneusement élaboré. «Notre expertise est aussi dans l’académique», fait remarquer Soula Roubos.
Mélanie Gouveia et Soula Roubos se sont aussi assurées d’établir des partenariats, question de ne laisser aucun problème sans solution. Elles se sont notamment entendues avec Servirplus pour recevoir les services d’orthophonistes ou de psychologues au besoin.

Une année faste pour la CCITB