Le 14 avril dernier, <a href="https://jeanguyayotte.com/team/jean-guy-ayotte/">M. Ayotte </a>a vendu sa firme de courtage à Éric Bilodeau, dirigeant-propriétaire de Royal LePage des Moulins. Sont aussi inclus dans la transaction les 18 courtiers œuvrant sous sa bannière. «C’était le temps pour moi», a‑t‑il commenté au lendemain de la transaction.
Et pourquoi cette bannière plutôt qu’une autre? «Parce que c’est la plus vieille bannière du Québec et parce qu’elle offre un très beau site commercial», mentionne M. Ayotte. Qui plus est, M. Ayotte se trouve désormais lié à Royal LePage par une clause, et ce, pour les trois prochaines années. «Je continuerai donc de travailler et de servir mes clients. Mais je ferai juste des transactions, ce que j’aime le plus. Je laisse tomber tout le volet administration», a‑t‑il indiqué.
Royal LePage Habitations
Royal LePage des Moulins gère déjà deux bureaux, l’un à Mascouche, l’autre à Blainville, sur le boulevard du Curé-Labelle. Or, avec l’acquisition de la firme Abitations Services Immobiliers vient aussi un changement de nom. C’est ainsi que depuis le 14 avril dernier, l’entreprise opère désormais sous le vocable Royal LePage Habitations.
Dans les prochains jours, le bureau du boulevard du Curé-Labelle et ses 22 courtiers déménageront à l’adresse occupée par Jean-Guy Ayotte depuis les sept dernières années, à l’intersection du boulevard de la Seigneurie et de la rue Jacques-Saint-André. «Le déménagement sera complété d’ici les 30 prochains jours», assure M. Bilodeau.
Selon ce dernier, cette transaction est tout à fait en ligne avec les objectifs de croissance de son entreprise et fera en sorte d’augmenter sa présence dans la région. «Avec cette acquisition, on double nos parts de marché», se réjouit‑il.
Au total, 69 courtiers répartis dans les deux bureaux travailleront pour l’entreprise et desserviront les régions de Mascouche et Blainville, incluant les secteurs de Lorraine, Rosemère, Terrebonne, Lachenaie et Repentigny.

Transaction: Jean-Guy Ayotte passe la main à Royal LePage

Réalisé en deux phases, le projet s’inscrit dans une habitation de prestige alliant luxe et détente. «Voilà 18 ans que je vis dans le secteur et la morphologie du site m’a toujours charmé», a mentionné le président de Cosoltec Construction, Michel Grennan, lors d’une conférence de presse rassemblant plusieurs personnalités de la région.
Situé sur une érablière, à quelques pas du domaine Fontainebleau, soit l’endroit même où sera érigé le projet haut de gamme, Le Monroe arbore la signature de luxe du milieu urbain en banlieue. Intégrant des matériaux comme le bois, la pierre et le verre, on vise ici le design épuré avant tout. Les unités se veulent ensoleillées, grâce à une fenestration d’envergure, et dotées d’une insonorisation supérieure.
Les deux bâtiments seront reliés par une cour arrière commune et offriront, de leurs quatrième et septième étages, une vue incroyable sur la nature des Basses-Laurentides, indique‑t‑on.
Notons qu’un service de conciergerie à la carte sera offert à tous les résidents, ainsi qu’une salle d’entraînement, une piscine, un espace pour un lave-auto intérieur, des caméras de surveillance, de la domotique, etc.
Le Monroe vise une clientèle entre 45 et 60 ans ainsi que des jeunes couples trentenaires ou encore séparés.
À propos du Fonds immobilier de solidarité FTQ
Créé en 1991 par le Fonds de solidarité FTQ, le Fonds immobilier de solidarité FTQ forme des partenariats stratégiques avec des promoteurs et des constructeurs, en vue d’investir dans des projets d’immeubles où il fait bon vivre ou travailler, et dont les retombées profitent à l’ensemble de la société québécoise. En agissant comme levier économique, le Fonds immobilier favorise le démarrage de projets structurants de toutes tailles, dans les secteurs résidentiel, de bureaux, commercial, industriel et institutionnel.

Un projet de plus de 47 millions: Le Monroe arrive à Blainville

Animée par le conseiller municipal Érik Rémy, la soirée s’est déroulée dans une ambiance conviviale, bien qu’il faille souligner l’allure glamour des invités qui avaient revêtu leurs plus beaux atours et le repas gastronomique soigneusement concocté par le restaurant traiteur Chez Milot, qui les attendaient.
Sélectionnée avec la garderie Des petits apprentis, de Boisbriand, et La Zone musicale, c’est Alysé &#038; Collections qui a été choisie comme entreprise gagnante dans la catégorie Achat local. La boutique, qui est située sur la rue de la Rivière Cachée, offre des vêtements de toutes les tailles et dans la lingerie fine. Tous les articles sont conçus par des créatrices québécoises, dont la principale designer, Lisa Jobin, qui est par ailleurs la présidente du groupe.
Dans la catégorie Création et maintien d’emploi, IGA Daigle du Faubourg, dirigé par Charles Daigle, s’est distinguée de ses concurrents Pro Gestion et Voyages Vasco de Boisbriand, pour le nombre d’emplois généré dans son supermarché. En incluant la succursale de Sainte-Thérèse, les deux supermarchés de la famille Daigle permettent à 600 personnes de travailler.
C’est l’entreprise manufacturière de produits alimentaires O’Sole Mio qui a remporté le prix de l’entreprise de l’année dans la catégorie Investissements. En pleine expansion, O’Sole Mio ouvrira sous peu une nouvelle usine de 185 000 pieds carrés de surface d’ici juillet, et compte de nouveaux produits à compter du mois de juillet. Une centaine d’emplois seront créés.
Pour Alfredo Napolitano, qui vient d’investir 60 millions de dollars dans ces travaux, le prix du RGAB est une belle récompense. Celui qui a pris la relève du restaurant familial ouvert en 1961 dans le secteur de la Petite Italie, à Montréal, se félicite aujourd’hui d’avoir développé l’aspect commercial des produits qui y étaient cuisinés. «On a travaillé très fort», a-t-il confié à l’assistance.
Puis, la conseillère municipale Lori Doucet a dévoilé le prix Coup de cœur, qui a été décerné à La Zone musicale, l’entreprise spécialisée en instruments de musique, ouverte en 2007, par Vincent Ricard et David Donaldson. L’entreprise située sur la Grande-Allée offre également des cours de musique.
Enfin, la soirée ne pouvait prendre fin sans rendre hommage à un bâtisseur. Cet honneur est allé à la famille Dion, dont les frères Wilfrid et Guy Dion qui ont ouvert, en 1950, Entreprise de pavage Dion et le centre du jardin Dion. Sylvie, Sylvianne, Serge et Robert Dion ont depuis pris la relève pour faire de cette entreprise, un fleuron de Boisbriand. Quelque 150 personnes travaillent dans ce commerce qui injecte pas moins de 6 M$ dans la communauté boisbriannaise. Serge Dion n’a d’ailleurs pas manqué de souligner la fibre entrepreneuriale transmise entre la première et la seconde génération.

Au Gala du RGAB: la famille Dion nommée Bâtisseur de l’année