«L3 MAS est honorée que l’Aviation royale canadienne l’ait sélectionnée pour offrir des solutions en sciences aéronautiques techniquement supérieures, innovatrices et économiques pour ses flottes aériennes», a affirmé Jacques Comtois, vice-président et directeur général de L3 MAS.
«Pendant près de 15 ans, a-t-il ajouté, dans le cadre de ce contrat hautement spécialisé, L3 MAS a offert avec succès une multitude de services techniques de FS TIES à l’ARC.»
L3 MAS
L3 MAS réunit un éventail exceptionnel de compétences en ingénierie, de fournisseurs stratégiques et d’expérience en gestion de projets complexes, incluant des FS TIES, dans un environnement de collaboration. Avec plus de 200 ingénieurs et techniciens, L3 MAS propose des solutions innovatrices et économiques à ses clients.
L3 MAS, une division du segment d&#8217;affaires L3 ISR Systems, est le plus important intégrateur canadien de soutien en service (SES). L’entreprise fournit des solutions intégrées et novatrices incluant la gestion de flottes et du cycle de vie, les applications d&#8217;environnement d&#8217;information électronique (EIE), l’ingénierie de systèmes, la maintenance, la gestion du matériel, la gestion de données, les publications électroniques, ainsi qu&#8217;un large éventail de solutions de SES pour maximiser l’efficacité des flottes de ses clients.
L3 MAS offre aussi différentes solutions clés en main pour la conception, le prototypage, la fabrication, la réparation et révision ainsi que la certification de composants aéronautiques. L3 MAS est le fournisseur de SES pour les flottes canadiennes des chasseurs CF-18 Hornet, des transporteurs CC-150 Polaris, des hélicoptères maritimes CH-148 Cyclone et des avions de voltige CT-114 Tutor.
Le siège social de l&#8217;entreprise est situé à Mirabel. Plus de 800 personnes sont employées dans les divers centres d&#8217;exploitation à travers le Canada. Pour en apprendre davantage sur L3 MAS, visitez le site Internet de l’entreprise au [<a href="http://www.l3t.com/MAS">www.L3T.com/MAS</a>].

C’est en présence de plusieurs chefs d’entreprises et de dignitaires, tels le préfet de la MRC de Thérèse-De Blainville, Richard Perreault, et le président d’honneur de l’événement, Alexandre Vincent, cofondateur de l’entreprise Groupe Ricochet, que se donnait le coup d’envoi de la 21e édition du Défi OSEntreprendre de la MRC de Thérèse-De Blainville, à l’occasion d’une conférence de presse organisée par la MRC.
Rappelons que le Défi OSEntreprendre est un grand mouvement québécois qui a pour objectif de faire rayonner les initiatives entrepreneuriales des jeunes du primaire jusqu’à l’université avec son volet Entrepreneuriat étudiant, les nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise, et les parcours inspirants avec son volet Réussite inc. 
Le Défi se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, on note que plus de 350 agents responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu. 
«En somme, il s’agit d’une compétition de grande envergure qui met en valeur la créativité et les projets d’entrepreneuriat d’ici. Chaque année, c’est plus de 40 000 personnes qui relèvent le Défi OSEntreprendre» , de mentionner le maire de Blainville et préfet, Richard Perreault. 
<h3>Critères, étapes et distinctions</h3>
Pour une deuxième année consécutive, la direction du développement économique de la MRC de Thérèse-De Blainville agit à titre de coordonnatrice du volet Création d’entreprise. 
Pour être admissible, un entrepreneur doit mettre sur pied une entreprise qui n’a pas généré de revenus avant le 1er avril 2018, mais qui doit être en opération avant le 31 décembre 2019. 
Les entreprises seront classifiées selon les sept catégories suivantes: Bioalimentaire; Économie sociale; Innovation technologique et technique; Commerce; Services aux individus; Services aux entreprises; et Exploitation, transformation, production. 
Les entrepreneurs seront évalués à trois niveaux, soit local (MRC de Thérèse-De Blainville), les gagnants se rendront ensuite au niveau régional (les Laurentides), puis ceux ayant été primés auront la chance de représenter leur région administrative à l’échelle de la province. Les critères d’évaluation sont la qualité du plan d’affaires, l’originalité et l’innovation, le profil entrepreneurial, l’impact social du projet, la rentabilité, la pérennité, etc. 
«En tant que cofondateur du Groupe Ricochet, qui existe depuis maintenant une douzaine d’années dans la région, je me reconnais lorsque je vois tous ces gens qui souhaitent mettre sur pied leurs projets, aujourd’hui. Je me reconnais lorsque je vous vois avec vos rêves, vos ambitions et vos aspirations. De pouvoir participer à ce défi, d’encourager l’entrepreneuriat, c’est quelque chose d’important pour moi et ça me rend très fier!» , lance le président d’honneur, M. Vincent, aux invités de la conférence de presse, dont une dizaine d’entrepreneurs. 
<h3>Pour s’inscrire</h3>
Deux dates sont importantes à retenir: celle du mardi 12 mars 2019 à 16 h au plus tard pour l’inscription des projets et celle du jeudi 4 avril 2019 alors qu’aura lieu le gala local du Défi OSEntreprendre à l’hôtel de ville de Blainville. Soulignons d’ailleurs que le rendez-vous de la prochaine étape, le volet régional, aura ensuite lieu à Mirabel. 
Pour s’inscrire dès maintenant et obtenir davantage d’informations, veuillez consulter le [<a href="http://www.osentreprendre.quebec" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">http://www.osentreprendre.quebec</a>].

La 21e édition du Défi OSEntreprendre est maintenant lancée

Organisé en collaboration avec la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Jérôme Métropolitain (CCISJM), la Chambre de commerce et d’industrie MRC de Deux-Montagnes (CCI2M) et Laurentides International, cette rencontre a donc permis à Brigitte Labelle, vice-présidente, développement des affaires et stratégies à Shockform Aéronautique, une entreprise de Boisbriand spécialisée dans la conception de produits et d’équipements innovants pour le grenaillage et le roto-grenaillage, et à Patrick Gharzani, président-directeur général de SBB, une entreprise de Blainville fabriquant des structures industrielles en aluminium destinées principalement au secteur du transport électrique et terrestre, de partager avec leur auditoire les bons coups et les embûches vécus dans le domaine de l’exportation.
Persévérance, patience, prudence et ouverture d’esprit
Pour une, Mme Labelle a fait valoir que c’est en commercialisant des produits novateurs que Shockform Aéronautique, fondée en 2006, a été en mesure de se tailler une place de choix sur les marchés étrangers. Pour ce faire, son entreprise mise sur la relation client, choisit soigneusement ses distributeurs à l’international et doit faire preuve de persévérance.
Pour sa part, M. Gharzani a indiqué que l’ouverture aux marchés internationaux a permis à l’entreprise blainvilloise, récipiendaire régionale du MercadOr 2018, dans la catégorie «Leader à l’exportation», de décupler son potentiel de développement. Il a aussi invité les entrepreneurs à la patience, à la prudence et à l’ouverture d’esprit pour être en mesure de connaître du succès à l’échelle mondiale.
Animé par le chroniqueur économique à la radio de Radio-Canada, René Vézina, l’échange a été suivi d’une présentation de deux experts sur les changements qui découlent de l’accord conclu entre les États-Unis, le Mexique et le Canada, appelé l’AEUMC.
L’envie d’oser
«Aujourd’hui, les entreprises évoluent dans une économie mondiale; nos activités d’exportation constituent près de la moitié du PIB du Québec. Il apparaît par conséquent essentiel qu’elles se tournent vers des marchés extérieurs pour soutenir leur croissance. Nous voulons donner aux entrepreneurs l’envie d’oser, de multiplier les occasions d’affaires et de partir à la conquête de nouveaux marchés», a notamment indiqué Stéphane Forget, président-directeur général de la FCCQ. Au sujet de cette série «Les Grands exportateurs COREX», qui se poursuivra dans d’autres régions du Québec au cours des prochains mois.
«Un événement comme celui d’aujourd’hui met en lumière le potentiel des entreprises de la région. Il est important de les aider à identifier les occasions d’exportation et à développer, consolider ou diversifier leurs marchés hors Québec en proposant des solutions qui leur permettront d’atteindre leurs objectifs de croissance», a, enfin, souligné Pierre Fortier, président de Laurentides international qui a justement pour mission de fournir des conseils ainsi qu’un appui aux PME de la région intéressées par une démarche d’exportation.

L3 MAS décroche un important contrat en sciences aéronautiques