<a href="https://app.cyberimpact.com/click-tracking?ct=jC5ucik6me6FE1FPHhNZ0-NBlncCQssrvOefW-s7-M5x4grexE6ox0Z5RLvyoIVgbffnS1DH1OCtfLLfhCKvz52fH3ICwjI2y2jfyf8eiSY~">Foreign Diplomats</a> se singularise par son pop-rock énergique et mélodique, dont les orchestrations et les envolées vocales ne sont pas sans évoquer Wolf Parade ou Arcade Fire. L’influence de Talking Heads est également présente, tant au niveau des lignes de basse que de la voix du chanteur.
Avec son premier album Princess Flash, la formation prend une autre dimension en se produisant sur des scènes prestigieuses (Osheaga, Festival d’été de Québec, Festival international de Jazz…) et dans de nombreux pays (Allemagne, Argentine, Brésil, Chili, France, Mexique, Suisse). Les spectacles de Foreign Diplomats sont réputés pour leur énergie contagieuse à laquelle vous n’échapperez pas. 
Depuis 2012, le groupe <a href="https://app.cyberimpact.com/click-tracking?ct=STJI910jpHw-mGuLVmVBBtK5MOKhFNisD9pmB5EILWNrYWHQKykv0m_r4veEZ9WHexuryIGOx3AqeSN3wKrsuYXT7tK9yJdkbql3HvDGc9g~">Choses sauvages</a> hante les nuits du Plateau-Mont-Royal. Les bars, les dérives, l’amour, la mort entraînent la formation bien loin d’Hendrix, qui avait inspiré son nom à ses débuts. Le groupe préfère aujourd’hui le new-wave et le funk comme en atteste son premier album éponyme lancé à la fin de l’été 2018. Un album qui séduit autant les mélomanes par ses influences nichées, du R ‘n’ B à la French touch, que le grand public par ses rythmes dansants.
Les billets sont au coût de 20 $ et en vente à la Coopsco des Laurentides et en ligne [<a href="https://app.cyberimpact.com/click-tracking?ct=GyFz_voxw9objv93ZBkGyb8zV4jXcXPFyYbDHGAe9yQotl8kfiA4NXGfVTeYB0gl-VP2Pme9cv2yxTTC5JYH7sIAExLeXeNLDBVSQdINZBA~">https://lepointdevente.com/billets/clg181123001</a>].

Ce chœur à quatre voix mixtes dirigé par Sandra Penner anime résolument la vie culturelle des Lorrains et se fait aussi l’ambassadeur de cette municipalité (et même du Québec) bien au-delà de nos frontières, puisque les Français et les Italiens voient ponctuellement débarquer chez eux cette entité musicale qui porte en elle la simple joie de chanter, une émotion qui structure, à proprement parler, l’ADN de cet organisme à but non lucratif qui a commencé à naître au début des années 1980, alors qu’on avait formé une petite chorale paroissiale pour enjoliver la messe de Noël.
Carburant à l’enthousiasme, ce petit ensemble devait se transformer peu à peu, versant dans l’opérette en épousant le répertoire d’Offenbach, jusqu’à s’essouffler un peu, pour ne pas dire se dégonfler. «C’était très exigeant et, il faut bien le dire, ce n’était pas pour tout le monde. Beaucoup abandonnaient en cours de route» , résume Sandra Penner qui a fait ses débuts avec le chœur à la fin des années 1980 et qui en a vu fondre les effectifs pendant toute une décennie. «À un moment donné, il ne restait que 13 choristes et nous n’avions plus personne pour diriger. Nous étions placés devant un choix: arrêter ou trouver quelqu’un d’autre. Ce quelqu’un d’autre, c’était moi» , poursuit la directrice.
<h3>Une fierté pour la communauté</h3>
Nous sommes en 2001 et, dès lors, les Chanteurs de Lorraine entreprennent une lente restructuration (avec l’aide de choristes venus de l’extérieur, à l’invitation de la nouvelle directrice) et s’emploient à forger cette identité qu’ils cultivent aujourd’hui, toujours avec encore plus de Lorrains dans leurs rangs. «Nous avons une nouvelle soprano, cette année, une dame qui est venue s’établir à Lorraine parce qu’elle savait qu’il y avait un chœur» , souligne Sandra Penner.
«Un chœur apporte beaucoup à sa communauté, enchaîne la présidente de l’organisme, Claire Michaud. Quand nous faisons nos concerts, il y a beaucoup de gens, dans le public, qui viennent de l’extérieur. La Ville nous aide beaucoup et en retire une véritable fierté. Quand il faut déléguer un artiste local à un événement régional, on fait appel à nous plus souvent qu’autrement.»
Il va sans dire que, si la notoriété des Chanteurs de Lorraine rejaillit sur la communauté, les individus qui le composent en retirent aussi quelques bénéfices. «Chacun y vient pour ses propres raisons, mais en ce qui me concerne, c’est pour y trouver le bonheur de chanter, chose que je ne ferais jamais toute seule» , indique Claire Michaud, soulignant par ailleurs la dimension sociale de l’exercice. «On s’aime beaucoup. On développe des amitiés» , dit-elle.
«Quand on chante en groupe, renchérit Sandra Penner, on est heureux. On oublie tous les problèmes qui peuvent exister au travail, à la maison ou ailleurs.» Chanter pour chasser le stress, s’évader du quotidien, tiens donc.
«Et pour transmettre notre passion, ajoute Claire Michaud. Pour partager avec les gens et leur faire connaître certaines musiques qu’ils n’ont jamais entendues. Et c’est aussi vrai pour nous. Je n’avais pas une grande culture de la musique classique, avant de joindre le chœur. J’apprends toujours.»
<h3>Concert de Noël</h3>
Tout ça, conviennent la directrice et sa présidente, demande tout de même un engagement certain, puisque la préparation d’un concert revêt sa part d’exigences, la première étant que tout le monde y mette le même effort. «Mais tout ça se fait dans le plaisir» , insiste Mme Penner qui en profite pour pointer l’affiche du concert de Noël des Chanteurs de Lorraine, qui sera présenté au centre culturel Laurent-G.-Belley, le samedi 15 décembre, puis à l’église Saint-Maurice de Bois-des-Filion, le lendemain à 14 h 30.
On y entendra deux Magnificat, ceux de Bach et Durante, en plus d’une sélection de chants de Noël à la fois connus et méconnus, tous porteurs d’une variété d’émotions à transmettre. Vous trouverez toutes les informations d’usage sur le site [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://leschanteursdelorraine.ca" target="_blank" rel="noopener">http://leschanteursdelorraine.ca</a>]. Une fois rendu, et si le cœur vous en dit, pourquoi ne pas cliquer sur l’onglet «Inscription», puisqu’une période de recrutement est prévue dès janvier 2019.
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On ne peut pas empêcher un chœur d’aimer!

En effet, l’entente de principe soumise à l’assemblée générale syndicale a reçu l’aval de 97% des membres présents. Par ce soutien massif, les quelque 6 350 employés représentés par le STTLSSS-CSN reconnaissent les efforts déployés par les représentants syndicaux et l’établissement, qui ont convenu de dispositions améliorant les conditions de travail des employés tout en favorisant la dispensation de soins et de services de qualité à la population.
Rappelons que le STTLSSS-CSN représente le personnel paratechnique, services auxiliaires et de métiers, ainsi que le personnel de bureau, techniciens et professionnels de l’administration.
Dans le cadre de l’entente négociée, les parties ont notamment convenu d’une notion de service et de port d’attache, qui a su concilier les besoins de l’employeur pour une plus grande mobilité des équipes et la définition d’un territoire de desserte qui convient aux membres du personnel. La création de plusieurs postes en autosuffisance est également un gain, tant pour les employés qui y trouvent une meilleure stabilité d’emploi, que pour l’établissement qui vient ainsi sécuriser une offre de service de qualité pour les usagers des 80 installations du CISSS des Laurentides.
«Le CISSS des Laurentides, avec ses quelque 14 000 employés, est de loin le plus grand employeur de la région. Nous sommes heureux de pouvoir compter sur une organisation syndicale comme le STTLSSS-CSN, qui travaille en partenariat et qui a à coeur tant la qualité des services à la population que le mieux-être de ses membres», a déclaré Jean-François Foisy, président-directeur général du CISSS des Laurentides.
Dominic Presseault, président de la STTLSSS-CSN, a ajouté : «Que 97 % de nos membres s’expriment en faveur de l’entente démontre que nous avons, nous aussi, atteint des objectifs très importants. C’est une excellente nouvelle non seulement pour les instances et les personnes concernées, mais ce l&#8217;est aussi pour la qualité des soins et services à la population.»

Vendredi spectacle présente Foreign Diplomats avec Choses sauvages