<p>Vous devinerez qu’il s’agit d’une invitation, notamment formulée par la présidente de l’organisme Récréoka, Jocelyne Clément, et Frédéric Plourde, l’un des administrateurs, qui ont annoncé la présence de deux groupes qui occuperont la scène aménagée à l’extérieur pour l’occasion. Il y aura Just Beatles, une formation qui rend hommage au célèbre quatuor britannique, et un groupe du nom de Matt Rock.</p>
<p><i>«C’est un événement qui nous permettra d’amasser des fonds pour financer nos activités» </i>, précise Mme Clément. Ainsi, l’accès au site sera gratuit (on accueillera les gens à compter de 15 h) et vers 17 h, on offrira maïs et hot-dogs à prix d’ami. On vendra également de la bière.</p>
<h3>Just Beatles</h3>
<p>À 19 h, le parc résonnera des grands succès du groupe mythique, rendus par des musiciens aguerris qui s’efforcent d’en reproduire le son et l’allure le plus fidèlement possible (pensez: Pierre Daoust, le bassiste qui incarne Paul McCartney, s’est entraîné à jouer de la gauche, bien qu’il soit droitier), plus spécifiquement la période couvrant les années 1964 à 1966.</p>
<h3>Matt Rock</h3>
<p>À 21 h, une fois qu’on aura fini de s’imprégner du répertoire des Fab Four, la scène appartiendra à Matt Rock, une formation qui fait dans le blues et le rockabilly et qui porte le nom de son chanteur et guitariste principal, un rocker à la voix rauque qui puise allègrement dans le vaste répertoire des années 1950, 1960 et 1970.</p>
<p><i>«Dans les deux cas, c’est de la musique agréable à écouter</i>, indique Frédéric Plourde, <i>qui souhaiterait par ailleurs que le festival serve un jour à faire connaître les musiciens et les groupes régionaux de la relève. C’est notre première année et c’est pour ça que nous faisons les choses modestement. Éventuellement, le festival tiendra sur deux journées.» </i></p>
<p>À noter que pour cette première édition, les organisateurs souhaitent accueillir autour de 350 personnes, qui auront tout le loisir de se masser devant la scène et de circuler dans le parc adjacent au Centre communautaire de la Pointe-aux-Anglais, au bout du chemin qui porte le même non, lui-même accessible via la route 344. On va jusqu’à souhaiter que cet événement devienne une activité récurrente de financement, pour l’organisme.</p>
<h3>Récréoka</h3>
<p>Établi depuis plusieurs années, Récréoka est un organisme dont la vocation est d’offrir à la population okoise des activités socio-culturelles, sportives et divertissantes. Djembé au marché, ateliers de cuisine, de dessin ou de peinture, yoga thérapeutique, Club de lecture, piano public, peu importe, Récréoka prend le pouls de la population et s’efforce de transformer ses désirs en activités publiques. L’organisme est aussi présent sur Facebook.</p>
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Récréoka vous convie à sa première Fête en musique

<p>Lors d’un bref point de presse tenu depuis la pergola du parc du Belvédère, situé en face de l’église locale, le maire de Saint-Joseph-du-Lac, Benoit Proulx, s’est bien sûr réjoui que l’événement se prolonge ainsi dans le temps, tout en souhaitant que dame Nature collabore en repoussant les nuages aussi loin que possible et que les artistes et le public aient droit à la plus belle fin de semaine de l’été (comme on est prévoyant, on a tout de même réservé la salle municipale du 1110, chemin Principal, en cas de pluie).</p>
<h3>Une vingtaine d’exposants</h3>
<p><i>«Tout événement qui atteint le cap des dix ans marque un accomplissement. Nous sommes tous fiers de vous» </i>, a-t-il indiqué en s’adressant aux participants et aux organisateurs de l’événement, en l’occurrence les employés du Service des loisirs et de la culture, qui confirment la présence d’une vingtaine d’artistes et artisans, c’est-à-dire des peintres, sculpteurs, photographes, chapeliers, artistes verriers, créateurs de bijoux, artistes du cuir, du vitrail, de la fourrure recyclée, bref, il y en a pour tous les goûts. La majorité provient de Saint-Joseph-du-Lac (certains depuis la première édition), mais il en vient également de l’extérieur.</p>
<p>Et leurs œuvres seront bien à la vue puisque les kiosques seront installés au parc du Belvédère et sur le terrain de l’église, entre 9 h et 16 h, de sorte que quiconque passera par-là, sur le chemin Principal, aura tout le loisir de s’y arrêter pour admirer le travail des artistes joséphois et ceux de l’extérieur.</p>
<p><i>«S’il fait beau, on bénéficiera d’un bon achalandage puisqu’on se trouve actuellement dans le meilleur de la saison agrotouristique» </i>, a rappelé le maire.</p>
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Le Symposium des arts visuels a 10 ans

<p>Ce dernier, président de Bâtimo et vice-président de l’entreprise EMD Construction, accueillait les organisateurs dans ses bureaux de Saint-Eustache, mardi dernier, où l’on pouvait également croiser la journaliste Jocelyne Cazin, de même que les comédiens Louise Deschâtelets et Yves Corbeil, un trio de personnalités parmi la soixantaine qui circuleront d’une table à l’autre, lors de cette soirée.</p>
<h3>Échanges et discussions</h3>
<p>La formule est consacrée et permet aux convives de rencontrer ces artistes et têtes d’affiche médiatiques afin de discuter avec elles des aspects du métier. Et ça va dans les deux sens, précise-t-on. On y fait véritablement connaissance. <i>«Le théâtre est un lieu de communication et de compréhension. Les comédiens sont là pour le plaisir de rencontrer des gens qui font un autre type de travail et d’apprendre à les connaître. Ça ne se fait pas souvent. La plupart du temps, nous sommes entre nous» </i>, faisait remarquer Louise Deschâtelets.</p>
<h3>Une activité-bénéfice</h3>
<p>Mais le véritable but de toute cette entreprise est d’amasser des fonds qui servent à développer les outils et le matériel pédagogiques qui permettent à la Comédie Humaine de mieux rejoindre la clientèle estudiantine qui assiste à ses spectacles aussi offerts au grand public.</p>
<p>De fait, la compagnie basée à Sainte-Marthe-sur-le-Lac et codirigée par le metteur en scène Martin Lavigne et Sylvie Longtin, parcourt régulièrement le Québec avec des productions de qualité, se consacrant aux œuvres marquantes du répertoire international qui touchent tous les publics. <i>«On essaye toujours de raccrocher les jeunes avant qu’ils ne décrochent, de leur donner une passion, de les allumer» </i>, résume Martin Lavigne, ajoutant que, lorsque l’on creuse, par exemple, la vie d’un auteur, qu’on analyse une pièce et qu’on la situe dans son époque avant d’assister à la représentation, on devient un spectateur plus attentif et avisé.</p>
<p>Bien souvent, le théâtre nous aide à comprendre le monde dans lequel on vit, à demeurer ouvert à tous ceux qui l’habitent. <i>«Nous avons un cahier pédagogique de 24 pages, qui met les élèves au défi d’aller plus loin» </i>, poursuit Martin Lavigne, qui compare cette quête à un pèlerinage auprès des adolescents, lesquels seront mis en contact, cette année, avec l’univers de George Bernard Shaw et son <i>Pygmalion</i>, dans une adaptation du metteur en scène, qui transpose l’action dans un quartier populaire de Montréal, en 1938.</p>
<h3>Objectif: 40 000 $</h3>
<p>Mais avant toute chose, vous êtes conviés à cette soirée-bénéfice qui se déroulera à la cabane à sucre Constantin. On prévoit un souper animé par le sommelier Patrick Blondin, qui sera entrecoupé d’extraits théâtraux et de prestations musicales. On espère y accueillir 300 convives (pour des profits tournant autour de 40 000 $) et l’on signale qu’il reste des places. Les personnes intéressées doivent remplir le formulaire prévu à cet effet sur le site Web de la compagnie, à l’adresse [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://lacomediehumaine.ca" target="_blank" rel="noopener">http://lacomediehumaine.ca</a>]. Le prix du billet est de 150 $ et vous y trouverez également différentes formules de commandites.</p>
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