Les Laurentiens sont invités, dès maintenant, à faire parvenir leur création littéraire sous la forme d’un poème d’au maximum 300 mots, qu’il soit de nature classique, engagée, rythmique. Le choix de la thématique est celui de l’auteur.



Deux catégories d’âge sont ciblées. Les jeunes de 12 ans et plus et les adultes de 21 ans et plus.



Un jury composé de quatre personnes, extérieur aux deux organismes parrains, sélectionnera les trois meilleurs textes soumis par les jeunes ainsi que les trois meilleurs textes soumis par les adultes.&nbsp; Les prix de participation seront d’une valeur de 500 $ pour le premier prix, 300 $ pour le deuxième prix et 200 $ pour le troisième prix, et ce, dans chacune des catégories.



La date limite de réception des textes est le 16 février 2024. Les règlements ainsi que le formulaire d’inscription sont disponibles sur le <a href="http://www.snq-laurentides.quebec" target="_blank" rel="noreferrer noopener">site Internet de la SNQL</a>.



Les Prix d’excellence en français Gaston-Miron seront remis le dimanche 17 mars 2024, à 13 h 30, dans le cadre du mois de la Francophonie, au STUDIO A, École secondaire des Studios, sise à Saint-Jérôme.&nbsp;



<h2>Qui est Gaston Miron?</h2>



Né à Sainte-Agathe-des-Monts en 1928, Gaston Miron est l&#8217;un des grands poètes contemporains du Québec. Son amour du livre l&#8217;amène à jouer un rôle de premier plan dans l&#8217;édition québécoise, en étant cofondateur des éditions de l&#8217;Hexagone, qu&#8217;il a dirigées de 1953 à 1983.



La délégation du Québec à Paris s&#8217;est souvenue de cette passion du livre en inaugurant la bibliothèque Gaston-Miron à Paris, et l&#8217;Université de Montréal a créé le Centre des archives Gaston-Miron, pour contribuer à la mise en valeur des archives de la littérature québécoise et du discours culturel.



Ce poète national s&#8217;est employé à faire connaître la littérature québécoise par des tournées de conférences dans les universités d&#8217;Europe et des Amériques, par des lectures de poèmes et des prestations dans nombre de pays lors de colloques ou de rencontres littéraires avec divers publics.

Gaston Miron au micro, photo en noir et blanc

« Je suis très contente, je voulais tellement être choisie », confie la jeune ballerine, qui a passé ses auditions en plein été alors que les autres enfants de son âge profitaient de leurs vacances estivales sans contrainte.&nbsp;&nbsp;



C’était la deuxième année que la jeune Blainvilloise entrait dans l’univers de Casse-Noisette pour ainsi prendre part au célèbre ballet de Noël sur les notes musicales de Tchaïkovsky. Après dix spectacles sur la scène de la salle Wilfrid-Pelletier et six au Grand Théâtre de Québec tenus en décembre, Clara Esteves a raccroché ses chaussons de ballet.



Tout un défi!



Participer au traditionnel et réputé spectacle Casse-Noisette Grands Ballets canadiens représentait un beau défi pour Clara, qui fait partie de la troupe de l’École supérieure de ballet du Québec depuis ses six ans.&nbsp;



Tout comme sa maman Patricia avant elle, Clara a été attirée jeune par la danse pour laquelle elle met tout son cœur et son énergie. C’est que la fillette doit aussi se montrer disciplinée pour parvenir à suivre en parallèle ses études à L’Académie Ste-Thérèse.



La passion étant la meilleure des motivations, Clara s’y consacre sans relâche, encouragée par maman et ses deux grands frères. Pour offrir son plein potentiel, Clara pratique son marchepied et sa flexibilité quotidiennement et consacre pas moins de sept heures à ses cours et pratiques sur une base hebdomadaire avec un horaire d’études aménagé pour elle.&nbsp;



« Je travaille dans le métro, dans le bus et à la maison pour rattraper mes cours », assure la ballerine, qui doit se déplacer jusqu’à Montréal pour sa formation de ballet.



La chance d’être recrutée



C’est que l’École supérieure de ballet du Québec est une institution. Affiliée aux Grands Ballets canadiens, cet établissement est le seul où l’on recrute les jeunes danseurs pour le ballet Casse-Noisette, dont les représentations se tiennent en décembre à Montréal ainsi qu’à Québec.&nbsp;



L’équipe de production des Grands Ballets canadiens intègre de jeunes enfants à cette super production dès l’âge de 7 ans.&nbsp;



En 2022, les spectateurs ont ainsi pu voir Clara en petite souris sur la scène. Cette année, elle occupait le rôle d’un enfant de la fête, les jeunes danseurs de la fête de Noël autour du sapin et des cadeaux.&nbsp;



Réelle opportunité



Il faut dire que Clara fait preuve d’une maturité surprenante. Elle s’est aussi rendue seule à Québec pour y rejoindre sa troupe. Très autonome, elle s’habille seule, se maquille seule.



Mais Clara sait qu’en participant à ce spectacle d’envergure, elle bénéficie d’une opportunité incroyable pour sa future carrière de ballerine.



Et simplement pour le plaisir. « J’aime ça faire Casse-Noisette. On a beaucoup d’expressions faciales. »



Il lui a tout de même dépasser le choc de la première scène. « 3000 personnes dans la salle, c’est impressionnant! Quand je suis entrée sur scène, la première fois, je me suis dit&nbsp;:&nbsp;&nbsp;My God, comment je vais m’en sortir ?&nbsp;&nbsp;J’étais fébrile. »



Après ce bref épisode de stress, la prestation s’est déroulée avec naturel et aisance, comme elle l’avait fait lors de son tout premier spectacle devant invités alors qu’elle avait à peine 5-6 ans.&nbsp;&nbsp;



Elle aimerait bien camper Colombine, personnage de Casse-Noisette pour lequel on fait appel à une ballerine adulte et professionnelle.&nbsp;



Son rêve ? Faire partie de la troupe des Grands Ballets canadiens, bien sûr!&nbsp;

Casse-Noisette, l’expérience inoubliable de Clara

Célestine à Paris. Un titre tout simple pour ce premier bouquin jeunesse écrit par Ginette Lévesque, une Blainvilloise qui s’est fait connaître grâce à ses publications antérieures&nbsp;: la trilogie&nbsp;Petit pot de biscuits, le recueil de poésie&nbsp;Juste la vie&nbsp;et son (seul) roman&nbsp;La racine de l’être.&nbsp;



Littérature jeunesse



Avec la complicité de Célestine, Mme Lévesque explore pour la première fois la littérature jeunesse.&nbsp;



Elle s’est projetée dans l’univers de l’enfance alors que sa petite protégée dont elle était Grande Sœur exprimait son intérêt pour les belles histoires. « Sachant que j’écrivais des livres, ma petite protégée m’a demandé de lui écrire un livre, juste pour elle. Comme on voulait un conte un peu fantastique, Célestine est arrivée comme ça », confie Mme Lévesque, lors du lancement publique son livre, à Blainville.



Alors, Célestine est une petite licorne qui rêve d’aller à Paris. Le jour de ses 9 ans, sa maman lui offre de partir en voyage en compagnie de sa sœur Célestina lors d’un arc-en-ciel lunaire, phénomène qui n&#8217;arrive presque jamais et qui la relie à sa grand-mère Céleste, laquelle vit justement à Paris.&nbsp;&nbsp;



Célestine va ainsi faire découvrir Paris à ses jeunes lecteurs, incluant bien sûr la Tour Eiffel, avec le parcours de ses visites figurant en dernière page du livre.



Cette belle histoire en compagnie de Céleste, Célestine et Célestina transportera-t-elle son jeune lectorat vers les étoiles dans sa finalité ? Qui sait !



Jeune lectorat



Ce livre cible les enfants de 6 à 9 ans. Il comporte un volet pédagogique et un lexique de mots à la toute fin des pages, souligne celle qui a jadis été directrice d’école. D’ailleurs, afin de rendre son histoire encore plus attrayante et vivante, elle a fait modifier le caractère d’impression à certains passages.



« Le milieu de l’éducation a toujours été super important pour moi », prend-t-elle soin de souligner.&nbsp;



Le lecteur ou la lectrice découvrira aussi Paris à travers les dessins magnifiés de l’illustratrice Bénédicte Delachanal, qui a accompagné Célestine à chacune de ses aventures.&nbsp;



Célestine à Paris&nbsp;attend ses jeunes acheteurs à la librairie Carcajou de Sainte-Thérèse ainsi que dans toutes les librairies, au coût de 15 $, ou encore auprès de la page Facebook, Les Libraires.&nbsp;



L’autrice Ginette Lévesque profitait du lancement pour amasser l’argent des ventes de son bouquin au profit des Grands Frères – Grandes Sœurs de la Porte du Nord, cueillette qui complétera les dons offerts lors de son anniversaire.

Prix d’excellence en français Gaston-Miron : l’appel de candidatures est lancé

Qui est Gaston Miron?