Le petit choeur Animato, de Ste-Thérèse, dirigé par son chef Mathieu Bourret, commence sa prochaine saison en janvier. Il est composé de jeunes de 7 à 16 ans. La période d’inscriptions est présentement en cours.
Le chant choral est une étape importante dans le développement musical de l’enfant. Il permet à celui-ci de développer une conscience auditive à la fois mélodique, mais aussi harmonique et lui donne aussi une occasion unique d’unir sa voix à celle des autres.
Renseignements: 514 516-8589 ou lepetitchoeuranimato@gmail.com.

En 2012, on a pu apprécier ces jeunes universitaires chantant a cappella des succès populaires. Le second volet offrait un humour beaucoup plus débridé, grâce à Elizabeth Banks, qui avait signé le scénario. En vue de conclure cette trilogie, c’est Trish Sie (Dansez dans les rues 5), qui est derrière la caméra.
Au même moment que Beca démissionne de son emploi chez un producteur de disques, elle apprend que les Bellas participeront à une tournée des bases militaires, en Europe. Les filles du groupe ont quitté l’université depuis un bon moment et œuvrent maintenant sur le marché du travail. Cette tournée est pour elles une occasion unique de chanter ensemble à nouveau. Sur place, elles apprendront qu’elles devront affronter trois autres groupes, afin d’avoir la chance de faire la première partie du spectacle d’un artiste connu. Bien que tous les croient déjà perdantes, les Bellas se relèveront les manches et feront ce qu’elles savent le mieux faire: chanter leur vie.
<h3>Une histoire moins croustillante</h3>
L’histoire est beaucoup moins croustillante que le précédent opus. En fait, c’est un retour aux sources avec des filles beaucoup trop sages. Il y a évidemment de bons moments, mais pas suffisamment pour être satisfait.
Musicalement parlant, la réalisatrice a su, de par son expérience, présenter des séquences efficaces et des mash-up entraînants. C’est évident que cette bande de copines a un réel plaisir à chanter. Tout en étant agréables, leurs numéros ne parviennent pas à se démarquer de leurs anciennes prestations.
Anna Kendrick (Beca) émerge du lot. Elle explore de nouvelles émotions ainsi que son côté créatif. Rebel Wilson demeure dans le même registre. Sa vulgarité n’est pas aussi présente et fait place à des situations humoristiques exagérées.
Les nouveaux venus (Matt Lanter et Guy Burnet) ne réussissent pas à se créer une place, puisque leur rôle est trop secondaire, dommage! À propos de John Lithgow, qui interprète le père de la «grosse Amy» , son personnage s’avère superflu. C’est regrettable pour un homme si talentueux.
La promotion du long métrage a été axée sur une dernière tournée. Tout en misant sur l’importance des amitiés sincères, on constate que la boucle est bouclée. En espérant que la production ne réalisera pas un quatrième volet, ce qui serait de trop.
La semaine prochaine, il sera question du film Jumanji: Bienvenue dans la jungle.
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Une note pas aussi parfaite que prévu

Les participants étaient attroupés face aux portes du bâtiment où, il y a 180 ans, des patriotes participant à la fameuse bataille de Saint-Eustache ont été tués. Notons la présence du député fédéral de Mirabel, Simon Marcil, et de gens en costumes d’époque, tels des patriotes et des loyaux de la couronne britannique. Ils sont membres de la Société de reconstitution du Bas-Canada, d’ailleurs présents à quelques événements durant l’année 2017, à Saint-Eustache et ailleurs dans la région.
Cette fois-ci, ils étaient au rendez-vous pour le défilé se tenant le long de la rue Saint-Eustache, entre le lieu saint et le moulin Légaré. Le départ était donné au coup de 18 h 30, sous escorte policière.
Des hommages et une escarmouche
Le froid n’a arrêté personne. Les patriotes et les loyaux marchaient dans la rue en scandant des phrases, telles «Vivent les patriotes» et «Vive Chénier», attirant le regard des quelques passants. Au point d’arrivée, les convives ont eu droit à la reconstitution d’une conversation entre Jean-Olivier Chénier et le curé Paquin. Le premier est un personnage célèbre de la révolte, étant l’un des chefs d’importance du mouvement. Le deuxième, homme d’Église, s’opposait fermement à la cause des patriotes, étant loyal à la couronne britannique.
«Mais que faites-vous mon fils, pensez à votre âme! Depuis 1763, nous sommes des sujets britanniques. Mais qu’osez-vous faire? Avez-vous perdu la tête!» de mentionner le curé.
«Dans tous les comtés ici au nord, dans tous les comtés, les résolutions qui ont passé, nos 92 Résolutions qui ont été retournées. Aux armes, citoyens!» d’ajouter le chef patriote.
À la suite de cette démonstration historique, tous étaient conviés au cimetière, derrière le moulin Légaré, pour un hommage à Jean-Olivier Chénier, un dépôt de fleurs et un moment de silence, aux abords de sa pierre tombale. Une escarmouche a suivi, dans la neige, entre les patriotes et les loyaux. Le spectacle était précédé d’une allocution du curé Paquin, expliquant l’histoire, le rôle et le mode de vie des personnages impliqués dans cette bataille. Les coups de feu résonnaient et les étincelles s’échappaient des armes. «Nous allons réveiller les morts!» de dire l’un des spectateurs.
Enfin, notons que la soirée continuait au Centre d’art La petite église, où une conférence sur l’histoire des patriotes était donnée par Thérèse-Éva Boyer. On a également procédé au dévoilement du Patriote régional de l’année, soit Yves Saint-Denis.
Une fin de semaine d’activités
Au final, soulignons que ce défilé était suivi d’une fin de semaine complète d’activités liées à l’histoire des patriotes de Saint-Eustache. Parmi celles-ci, on retrouve des ateliers artisanaux, des conférences historiques de Jonathan Lemire et de Gilles Proulx, un circuit théâtral, une soirée d’improvisation. Ces rendez-vous culturels étaient tous présentés dans le Vieux-Saint-Eustache, les 16 et 17 décembre.
Pour plus d’informations: [https://www.facebook.com/pg/VieuxSaintEustache].

Chant choral: le Chœur Animato recrute des jeunes