Des nouvelles technologies à essayer 
Petits et grands pourront dorénavant assister à des ateliers formateurs composés de séances d’initiation aux nouvelles technologies. Expériences exploratoires en 360 degrés, techniques de photographie, logiciels de design graphique professionnel, confection d’objets en trois dimensions et encore plus.
Des formations seront également offertes sur l’utilisation de la tablette, le traitement de texte, le prêt numérique et le catalogue bibliothèque. Une équipe complète enrichie de professionnels et de techniciens spécialisés est à votre disposition, pour une expérience éducative hors du commun.
Des conférencières passionnées 
Plusieurs spécialistes viendront vous faire part de leur passion, ainsi que de leur expertise: Josée Séguin, éducatrice canin et comportementaliste certifiée, Maude Marcaurelle, herboriste-thérapeute accréditée, Christine Landry, semencière et auteure horticole et Valérie Dussault, diététiste-nutritionniste professionnelle.
Des activités pour les jeunes 
Tournois de jeux vidéo, soirées cinéma, journées de jeux de société, ateliers scientifiques et autres à découvrir. Les tout-petits seront transportés dans le monde de l’imaginaire par des livres qui prennent vie lors de l’heure du conte. L’artiste peintre Charlem Lepeintre réalisera une oeuvre d’art en direct alors que les jeunes participeront à l’évolution d’un tableau selon les différentes techniques.
Un lieu d’échange et de partage 
Qu’il s’agisse des réunions «Coup de coeur mensuel» qui permettent d’échanger avec d’autres lecteurs, ou bien de la série d’ateliers de tricot en compagnie de quatre membres du Cercle des fermières de Bois-des-Filion, votre nouvelle bibliothèque vous offre l’occasion de partager avec votre communauté.
Benoît Archambault 
La Ville de Bois-des-Filion tient à remercier chaleureusement Benoît Archambault, qui était de passage les 9 et 10 mars derniers, à la bibliothèque. Membre du groupe Mes Aieux, mais également reconnu pour ses livres-disques «Les pourquoi» 1 et 2, Monsieur Archambault est non seulement compositeur, auteur et illustrateur jeunesse, mais aussi animateurs de spectacles enfants depuis près de vingt ans. Il a publié en 2017, en collaboration avec l’historien Éric Bédard, un livre sur l’histoire du Québec destiné aux familles, intitulé «Quand est-ce qu’on arrive?». Le deuxième tome du livre jeunesse est en route.
Consultez la programmation complète qui est disponible en version numérique sur le site Internet de la ville ou en version imprimée à la bibliothèque. Pour toutes questions relatives à la programmation, veuillez communiquer auprès de Laurianne Nestoruk, au Service des loisirs, culture et vie communautaire, par courriel à (lnestoruk@ville.bois-des-filion.qc.ca) ou par téléphone au 450 621-1460, poste 181.

Du 20 au 24 mars
Département d’arts visuels du Collège Lionel-Groulx (vernissage le 20 mars à 19 h).
Le centre d’exposition accueillera l’exposition Dérivation: détourner l’image figurative et l’objet usuel. On y propose des projets de peinture, sculpture et installation vidéo sous le signe d’une réflexion sur les multiples possibilités de transformation de l’image et de la matière.
Du 27 au 31 mars
Écoles primaires Plateau Saint-Louis (vernissage le 27 mars, 18 h 30) et Montessori International Blainville (vernissage le 28 mars à 18 h 30). Les élèves de 3e et 4e année de l’école Plateau Saint-Louis exposeront le fruit de leur travail avec l’artiste Sandra Michaud. L’école Montessori International Blainville présentera des oeuvres 2D et 3D sur des thèmes variés.
Du 3 au 7 avril
École secondaire Lucille-Teasdale (vernissage le 3 avril à 18 h 30). C’est en passant par l’art urbain et le geek art que les élèves de la 1re à la 5e secondaire exposent sous la thématique Lucille raconte, des histoires de l’art actuel.
Du 10 au 14 avril
Écoles primaires de l’Envolée (vernissage le 10 avril à 18 h 30) et Pierre-Elliott-Trudeau (vernissage le 11 avril à 18 h 30). L’école de l’Envolée exposera 600 oeuvres dans une myriade de techniques. Les élèves de 3e et 4e année de l’école Pierre-Elliott-Trudeau offrent une sélection de dessins, figurines et projets 3D.
Du 17 au 21 avril
Écoles primaires des Ramilles (vernissage le 17 avril à 18 h 30) et des Semailles (vernissage le 18 avril à 18 h 30). Gouache, pastel, découpage et collage sont à l’honneur pour les élèves de premier cycle de l&#8217;école des Ramilles. Les 300 élèves de l’école des Semailles présenteront des oeuvres 2D.
Du 24 au 28 avril
École secondaire Henri-Dunant (vernissage le 24 avril à 18 h 30). Les élèves de la 1ère à la 5e année du secondaire exposeront des oeuvres 2D et 3D réalisées dans leurs cours d’arts plastiques sous un même thème: le carton.
L’entrée est libre au centre d’exposition et les heures d’ouverture sont du mercredi au vendredi, de 13 h à 17 h; le samedi et le dimanche, de 10 h à 16 h.

Ma première galerie d’art: découvrez les artistes de demain à Blainville

Âgé de 69 ans, Yves Duteil a connu des ennuis de santé, il y a quelques années (on a dû l’opérer à cœur ouvert), ce qui avait quelque peu endormi ce désir de créer qui l’avait toujours animé. «J’ai été absent de tout, sauf de moi-même. Ce genre d’épreuve nous fait voir l’essentiel et, pour moi, ça signifie que je suis un artiste avant tout» , de dire celui qui a fait un détour par la politique (il a été maire de Précy-sur-Marne, de 1989 à 2014) avant de revenir à ce qui le définit le mieux: la chanson.
<h3>Le refus de baisser les bras</h3>
Et cet album en fait foi, avec douze titres regroupés sous le vocable Respect et qui participent à un message d’espoir, au moment où l’humanité s’obstine à écrire l’un des chapitres les plus sombres de son histoire. Plus que jamais, les rapports entre les peuples sont complexes, l’économie va mal, le choc des cultures et des religions fait grand fracas, autant de soucis auxquels s’ajoutent les bouleversements climatiques.
«Comme tout le monde, je regarde ce qui se passe et je suis perplexe. Le monde est dans une sorte de mutation et rien ne va dans le sens d’un progrès ou d’un apaisement. On ne peut pas parler de crise, parce que ça signifierait qu’elle puisse avoir une fin et que les choses reviennent à la normale. Je pense plutôt que rien ne redeviendra comme avant. Malgré tout ça, on n’a pas d’autre choix que de s’en sortir» , reprend Yves Duteil dont le refus de baisser les bras se manifeste dans l’exercice créateur.
«Chacun doit le faire à sa manière, à sa mesure. Chacun dans son domaine. Et le mien, c’est d’essayer d’insuffler de l’espérance» , soumet celui qui pense (et qui le chante) qu’on n’est jamais à l’abri du meilleur et que c’est de l’urgence la plus extrême que naît souvent la solution. «C’est pour ça qu’on s’est tous retrouvés dans la rue, le 11 janvier 2015. C’était une manière de montrer qu’on se tiendrait debout et qu’on n’abandonnerait pas, qu’on s’engageait à être des résistants, à nous armer d’amour» , dit-il en référence aux manifestations qui ont notamment suivi l’attentat à Charlie Hebdo.
Il y a donc ce genre de matière, dans le dernier opus d’Yves Duteil, mais on y glane aussi des moments de douce nostalgie, de l’attachement pour la famille, une ou deux déclarations d’amour, tout comme la certitude que les petits gestes peuvent aussi contribuer à l’équilibre de toute chose.
<h3>Parler au cœur</h3>
Dans la rythmique comme dans la manière de livrer les phrases, on reconnaît tout à fait le style Duteil, sans jamais avoir l’impression, cependant, d’avoir affaire à quelqu’un qui travaille à nous séduire par des tournures élégantes. Yves Duteil, au contraire, cherche encore, comme il l’a toujours fait, à nous dire quelque chose.
«J’ai appris à écrire des chansons. Je sais comment le faire. Mais l’important, pour moi, c’est toujours de savoir pourquoi je le fais, pourquoi j’ai envie de le faire. En même temps, si je veux que le contenu porte ses fruits, il faut que la chanson soit belle. Mais la poésie ne suffit pas. C’est pour ça que je dois toujours chercher le mot juste plutôt que le mot joli» , exprime celui qui travaille à la fois comme un artiste et un artisan qui manipule, dans ce cas précis, une matière aussi intangible qu’une idée, un sentiment, une émotion. «Ce qui est extraordinaire, c’est quand on arrive à parler au cœur avec ça» , dit-il en proposant sa propre définition de ce qu’est une bonne chanson.
Et des chansons qui parlent au cœur, il en a beaucoup, Yves Duteil, qui viendra vous les offrir en bouquet, tout au long de cette tournée québécoise dont la matière première est contenue dans son dernier album, sans oublier, bien sûr, ces classiques que constituent La langue de chez nous et Prendre un enfant.
Pour ce, l’artiste prendra quelque distance avec les arrangements somptueux de son album pour y aller de versions davantage acoustiques. Lui-même jouera de la guitare et du piano, en compagnie d’un violoncelliste, d’un percussionniste et d’un contrebassiste. «C’est le public qui m’invite, dit-il. C’est lui qui a souhaité que je vienne et qui l’a fait savoir aux organisateurs. Alors, j’accepte l’invitation et je lui souhaite aussi la bienvenue.» 
Yves Duteil montera sur la scène du Cabaret BMO Sainte-Thérèse, le dimanche 14 avril à 15 h. Information et billetterie: [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://odyscene.com" target="_blank" rel="noopener">http://odyscene.com</a>].

Bois-des-Filion: Dévoilement de la programmation de la nouvelle bibliothèque