Le charme atemporel de la harpe
Le Comité culturel de Sainte-Thérèse promeut la musique classique dans le cadre de ses matinées Muffins au son, tenues dans le hall du Centre culturel du boulevard du Séminaire.
Le Comité culturel de Sainte-Thérèse promeut la musique classique dans le cadre de ses matinées Muffins au son, tenues dans le hall du Centre culturel du boulevard du Séminaire.
Prévue initialement sur trois albums, la série Magasin Général, que signent Régis Loisel et Jean-Louis Tripp, deux Français installés depuis quelques années à Montréal, se déroulera, pour notre plus grand bonheur il faut l’avouer, plutôt sur six albums. Car c’est qu’on s’y est attachés à ces habitants de Notre-Dame-des-Lacs, un village fictif québécois des années 1920. Après avoir fait connaissance avec les gens de ce village, entre autres Marie, la jeune veuve du magasin général, et Serge, ce «Français de France», installé chez Marie, les choses se sont légèrement corsées dans le troisième album alors que Serge a failli être chassé par les hommes du village, de retour des chantiers.
Ça commence drôlement à sentir les Jeux du Québec, dans la région des Laurentides. Avec raison, car le compte à rebours en vue de la 44e Finale, qui se tiendra du 27 février au 7 mars, simultanément à Blainville, Sainte-Thérèse et Rosemère, est sur le point de s’achever.
Voilà déjà deux ans que la Maison des jeunes de Saint-Janvier s’est dotée d’un local de musique où les adolescents peuvent non seulement se consacrer à la pratique de leur instrument, mais aussi combiner leurs talents afin d’aller encore plus loin dans leur démarche artistique. Bref, monter un orchestre.
Dans le cadre de son 20e anniversaire, l’association Blainville-Art présente, du jusqu’au 8 février, à la Galerie d'art de Blainville, une exposition intitulée: 20 ans, ça se fête! Parmi les œuvres exposées, celles d’anciens présidents de l’association, dont le fondateur Claude Théorêt, en plus de créations de membres qui ont marqué l’association de leur passage et de leur art.
Un art clownesque proche de la tradition, des costumes simples s’apparentant aux haillons, un dispositif scénique épuré et versatile et des tonnes de créativité, voilà ce qu’avait à nous offrir le Théâtre de l’Aubergine en présentant son spectacle Staccato.
Pour son cinquième spectacle solo, Massicotte No 5, l’humoriste du même nom a choisi de tester son produit, entre autres devant le public térésien.
La Soirée Mort de rire du 12 janvier dernier confirmait un engouement certain des amateurs d’humour à la recherche de nouveaux talents, alors que l’on remplissait la petite salle de l’église Sacré-Cœur pour se bidonner un bon coup.
Hermann, de son vrai nom Hermann Huppen, est très certainement l’un des grands dessinateurs de sa génération. Il a signé, comme dessinateur, mais aussi comme scénariste dans certains cas, des séries devenues des classiques de la bande dessinée, les Bernard Prince, Comanche, Jeremiah et Les Tours de Bois-Maury, sans oublier, depuis 1991, plusieurs one-shots, c’est-à-dire des récits d’un seul ou deux albums. À ce titre, mentionnons seulement, en 1995, Sarajevo-Tango, un album engagé né de son indignation à propos du siège de Sarajevo.
C’était la sixième Soirée-bénéfice du Théâtre Lionel-Groulx en autant d’années, mercredi dernier, alors que l’équipe de la directrice Manon Fortin fracassait son objectif en amassant la rondelette somme de 34 000 $, qui ira au développement de la relève artistique de la région.