logo journal nord-info
icon journal
Vicki Emard: <em>«On</em><em> a discuté des vraies affaires»</em>

Vicki Emard: «On a discuté des vraies affaires»

Publié le 02/04/2014

La candidate libérale du comté de Groulx, Vicki Emard, se dit fière de son bilan et assure qu’elle ne ralentira pas ses efforts pour gagner la confiance de ses électeurs.

«J’ai mené une campagne positive axée sur les vraies préoccupations des gens de la circonscription de Groulx. Beaucoup de porte-à-porte, des rencontres avec de nombreux groupes communautaires et des leaders économiques du milieu. Au PLQ, nous présentons des engagements en matière d’économie, d’emploi, de santé et d’éducation. C’est de ça que les gens veulent entendre parler», affirme Vicki Emard.

«Un gouvernement libéral aura pour objectif premier de relancer l’économie du Québec, reprend-elle. En matière de santé, nous répondrons aux services de première ligne, nous établirons, dans notre comté, une super-clinique ouverte 7 jours afin d’améliorer l’accès aux soins pour nos familles. Nosus ferons l’ajout de super infirmières pour répondre efficacement et rapidement aux besoins des familles.»

Mme Emard promet également qu’un gouvernement libéral prendra soin des jeunes et moins jeunes. D’une part, on s’engage à lutter contre le décrochage scolaire et l’intimidation. D’autre part, on premet d’aider les familles du Québec à amasser la mise de fonds nécessaire à l’achat de leur première maison, et les personnes âgées à préserver leur autonomie et à demeurer propriétaires.

Se présentant comme une femme d’expérience, d’action et combative Vicki Emard s’engage à représenter les gens de son comté, par sa présence, son écoute et son empathie, «La recherche et l’application des solutions en collaboration avec les élus municipaux, les gens et organismes du milieu, c’est ça s’occuper des vraies affaires», poursuit la candidate libérale.

Celle-ci, après avoir mené une campagne de terrain, propose le constat suivant: «Les citoyens ont été nombreux à me témoigner leur mécontentement quant à la gestion des 18 derniers mois du gouvernement péquiste. Si on ne veut pas de référendum, de stratégies malhonnêtes et de division, le 7 avril prochain, il faut voter pour le seul parti qui s’occupe des vraies affaires : le Parti libéral du Québec.»