«Après la conquête anglaise (1763), la création d’une première paroisse religieuse (1789), à Sainte-Thérèse, la construction de son église (1807), l’introduction par le Parlement de Québec du régime municipal (1840) et l’érection du Séminaire de Sainte-Thérèse par le curé Ducharme (1846), prend naissance (1er juin 1849) la municipalité du village de Sainte-Thérèse. Des 155 habitations à sa constitution, c’est aujourd’hui près de 12 000 lieux de résidence ou d’entreprises et quelque 28 000 citoyens qui la composent», peut-on lire à ce sujet dans un texte publié dans l’édition de mars 2009 du Magazine Citoyen et intitulé Il faut bien souffler quelques chandelles. 
Afin de souligner cet anniversaire, la mairesse Sylvie Surprenant, de concert avec l’ensemble des membres élus du conseil municipal, a saisi l’opportunité pour proclamer à l’unisson «un très heureux 160e anniversaire à toutes les Térésiennes et tous les Térésiens». 
Ville d’arts, de culture et de savoir
Cent soixante ans plus tard, grâce à ses nombreuses institutions (Théâtre Lionel-Groulx, CLSC, collège Lionel-Groulx, CHSLD Drapeau-Deschambault et nombreux autres édifices publics au centre-ville) la ville de Sainte-Thérèse détient aujourd’hui le titre de pôle institutionnel des Basses-Laurentides. 
Au fil du temps, elle est aussi devenue ville d’arts, de culture et de savoir, nouvelle thématique récemment entérinée par le conseil municipal, conjuguant le passé à son avenir. «ville de traditions, de riche patrimoine, d’histoire et de fiers citoyens, Sainte-Thérèse, riche de ses 160 années de vie, fait le pari qu’elle demeurera toujours effervescente, moderne et inspirée de ses expériences passées», a indiqué le greffier Jean-Luc Berthiaume, poursuivant ainsi sa lecture du texte précédemment cité. 
«Le 1er juin 2009, la Ville de Sainte-Thérèse célèbre son 160e anniversaire de fondation (1849-2009). Une telle étape mérite que l’on s’y arrête quelques moments. Certes, ce passage ne sera pas souligné avec autant d’apparat que l’ont été les cérémonies du 150e, mais ces repères doivent nous permettre de nous arrêter, de nous souvenir et de réfléchir à notre avenir». 
Le texte lu par M. Berthiaume est disponible dans son intégralité sur le site Web de la Ville, au www.ville.sainte-therese.qc.ca, sous l’onglet Publications. Cliquez ensuite sur Magazine Citoyen, 24 mars 2009, page 12.

«Mme Boivin est une femme de défis, de conviction et d’intégrité, qui m&#8217;a démontré qu&#8217;elle sait faire bouger les choses et mener ses projets à terme. Elle sera un véritable atout à titre de conseillère municipale», a-t-il déclaré d’entrée de jeu. 
Tout comme celui qui l’a précédée, soit le candidat Alain Cassista, Mme Boivin a choisi de se présenter en mettant de l’avant sa famille. «Je suis d’abord et avant tout une épouse et une maman de deux beaux garçons, William, 5 ans, et Philippe, 2 ans. Ma famille est ce que j’ai de plus précieux et ma priorité numéro un. Elle est ma raison de vivre, ma plus grande fierté et mon plus grand bonheur», a-t-elle indiqué. 
Détentrice d’une maîtrise en géographie, Mme Boivin a rédigé son mémoire sur les possibilités facilement réalisables, selon elle, pour une entreprise agricole de développer des pratiques orientées vers le développement durable. Parallèlement, elle a aussi cumulé diverses compétences professionnelles. «Entre autres, au niveau de l’administration, j’ai travaillé plus de cinq ans pour la Banque Nationale du Canada et deux ans comme adjointe administrative. Aussi, près de 10 ans passés dans le milieu municipal, dont trois ans au poste de chargée de projet pour la Ville de Repentigny, m’ont permis d’acquérir de nombreuses compétences plus particulièrement dans le domaine des loisirs, des communications, de l’urbanisme, ainsi qu’en développement urbain et économique», a-t-elle énuméré. 
Depuis janvier 2008, Mme Boivin enseigne au cégep de Terrebonne. Elle est également vice-présidente du CAARUL (Conseil d&#8217;assainissement et d&#8217;aménagement du ruisseau Lacorne). 
«Momentum»
Résidante de Sainte-Anne-des-Plaines depuis près de 10 ans, Mme Boivin déplore toutefois le manque de rayonnement de la municipalité des dernières années. «La ville de Sainte-Anne-des-Plaines a changé. Je trouve qu’elle rayonne moins, que les infrastructures, tels les routes et les trottoirs, sont désuètes, les parcs sont peu aménagés, le développement économique de la Ville fait du sur place, les enfants ne sont pas en sécurité pour y circuler, les installations pour les ados ne sont pas ou peu présentes, que les investissements ne vont pas à la bonne place, bref, que l’ambiance, sous toutes ses facettes, est moins dynamique. Je me suis toujours dit que lorsqu’on est insatisfait du travail d’un autre, le meilleur moyen de régler le tout n’est pas de ruminer dans son salon, mais bien de faire le travail soi-même», a-t-elle déclaré. 
Quant à Guy Charbonneau, qui en est à sa deuxième course à la mairie, c’est avec assurance qu’il entrevoit les prochains mois. «Actuellement, on a le momentum et on va essayer de le garder et d’aller jusqu’au bout», a-t-il lancé. 
Le nom du sixième et dernier candidat du parti Vision Action devrait être dévoilé au cours des prochaines semaines.

Julie Boivin rejoint les rangs de l’équipe de Guy Charbonneau

«Je suis très fier de ma première expérience. Je remercie l’ensemble de nos bénévoles pour leur contribution», de dire le député. Réunis dans la salle principale du Centre culturel et communautaire, les participants ont eu droit à un déjeuner conventionnel. L’activité a commencé vers 8 h 30 et s’est terminée vers midi. 
Pour réussir cette activité, le comité organisateur a reçu l’aide de plusieurs organisations communautaires de la MRC de Thérèse-De Blainville. En effet, en plus de réunir plusieurs citoyens, le but de la démarche était d’amasser des fonds pour venir en aide aux associations du comté de Groulx. 
«L’ensemble des profits seront versés au Petit Peuple et au Resto Pop», explique M. Gauvreau, visiblement fier de son premier déjeuner du député. Par ailleurs, la Maison des mots des Basses-Laurentides profitait de l’activité pour vendre une soupe à l’alphabet, une idée originale proposée par le député de Groulx. 
«Ce dont je suis le plus fier, c’est que les gens des organismes puissent se parler. Avec cette activité, il y a un dialogue qui s’est créé. C’est ce qu’il y a de plus beau», se réjouit M. Gauvreau. 
Quelque peu timides à l’égard du succès remporté, les organisateurs n’avaient dès le départ ouvert que la moitié de la salle. En moins d’une demi-heure, devant l’affluence et le nombre de participants, le comité a décidé d’ouvrir l’ensemble de la salle. «Nous avons été très surpris par la participation des citoyens. Nous sommes vraiment très contents du succès de l’activité», exprime Jessie Poulette, attachée politique du député de Groulx. 
Vous avez manqué le premier Brunch du député de Groulx? Pas de problème. Sachez que le comité organisateur pense déjà à préparer le prochain. «Nous avons pris de l’expérience avec le premier brunch. L’année prochaine, ce sera encore mieux», promet René Gauvreau. Au total, il semblerait que les organisateurs aient vendu 1 400 billets, un résultat inespéré pour une première édition.

Sainte-Thérèse souffle ses 160 bougies