«Il m’apparaît important d’assurer mes concitoyens que pour une ville de notre taille, il serait normal de se limiter à deux mandats pour un maire. Après deux mandats, je crois qu’un chef est usé et fatigué et qu’il a donné ce qu’il avait de bon et de beau à sa ville», a‑t‑il opiné.
Satisfait, dit‑il, de la campagne qu’il a menée et du travail des membres de son équipe, M. Arseneau en dresse un bilan positif. «Il reste encore quelques heures de porte-à-porte, des appels téléphoniques à effectuer et organiser cette armée de bénévoles pour convaincre les gens d’aller voter, le dimanche 3 novembre. Nous avons fait une très belle campagne électorale, positive, avec du contenu et sans attaques débridées», a‑t‑il indiqué.
Par ailleurs, face aux propos tenus à son égard cette semaine par son adversaire politique Marc Laporte, M. Arseneau a été catégorique: il n’y répondra pas. «Les citoyens en ont assez des attaques vicieuses et sans fondement. Ce comportement est caractéristique d’une vieille mentalité politique», a‑t‑il laissé tomber.
Enfin, conseiller municipal à la Ville de Sainte-Thérèse depuis huit ans, M. Arseneau a tenu à rassurer les citoyens quant à ses compétences professionnelles à exercer le poste de maire. «J’ai occupé des postes au sein de la commission des loisirs, de la culture, du comité consultatif d’urbanisme et des travaux publics, j’ai été chef de la formation à la police de Montréal durant 11 années. De plus, je possède une maîtrise en administration publique pertinente à la direction de notre ville», a‑t‑il énuméré.