Rappelons que le 3 février dernier, l&#8217;escouade Marteau, maintenant intégrée à la nouvelle unité permanente anticorruption (UPAC), avait arrêté sept personnes relativement à cette affaire, soit Sylvie Saint-Jean, Lino Zambito, Giuseppe Zambito, Rosaire Fontaine, Claude Brière, France Michaud et Gaétan Morin. Elles ont comparu pour répondre à des accusations de fraudes, de complot, d&#8217;extorsion et d&#8217;abus de confiance par un fonctionnaire public. 
L&#8217;enquête a permis de démontrer que, depuis plusieurs années, un système avait été mis en place afin de favoriser certaines firmes pour le partage de contrats municipaux lucratifs. Ce système visait aussi à fournir des avantages à certains anciens élus de la ville de Boisbriand en échange de décisions favorables dans l&#8217;octroi de contrats. 
L&#8217;UPAC rappelle aux citoyens l&#8217;importance d&#8217;appeler le 1 888 444-1701 pour transmettre toute information relativement à des actes illicites ou gestes d&#8217;intimidation en matière de corruption ou de collusion. 
Mentionnons que l&#8217;escouade Marteau agit au sein de la nouvelle Unité permanente anticorruption qui a pour principal mandat de détecter et de réprimer, de façon concertée, les diverses infractions associées à la corruption, à la collusion et à la fraude dans l&#8217;adjudication et la réalisation des contrats publics. 
(Source: CNW Telbec/ )

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Cette ancienne commissaire de la CSSMI n’a désormais qu’un seul mot en bouche: demander au Canada la peine capitale pour les meurtres crapuleux. 
Ce qui veut dire? «Je veux le certificat de décès de celui qui a tué ma fille», martèle-t-elle. Le ton est sans équivoque pour la frêle mère de famille qui a deux autres enfants. 
L’homme en question, un ressortissant tanzanien de 31 ans répondant au nom de Selehe Rashid Ottman, a été accusé de meurtre au second degré, le mercredi 9 mars, au palais de justice de Montréal. 
Selon ce qui a été écrit, il s’agirait du conjoint de sa fille. 
«C’est entièrement faux, ce n’était pas le conjoint de ma fille. Elle était là, ce soir-là, pour célébrer la semaine de relâche avec ses amis et n’entretenait pas de liaison avec lui», affirme-t-elle, catégorique. «Cet homme a tranché la gorge de ma fille et l’a poignardée à quatre reprises», dit-elle, le visage altéré par une douleur incommensurable. 
Selon cette dernière, l’arme du crime, le couteau, était le seul objet contondant dans l’appartement. «Tous les autres couteaux étaient en plastique», dit-elle.
Brillante étudiante, Elena poursuivait sa scolarité en droit international à l’Université Athens, en Grèce, et devait obtenir son diplôme le 11 août prochain. 
Une pétition pour restaurer la peine capitale a été lancée la journée de l’entrevue. Elle est disponible sur Google. Il suffit de taper dans le moteur de recherche : demande au gouvernement canadien de réinstaurer la peine capitale. De plus, la Fondation Brenda Elena De Oliveira verra le jour sur Facebook, à la fin du mois d’avril. Le but de cette fondation, destinée principalement aux jeunes filles, est de lancer le débat sur le milieu carcéral.

La peine capitale pour le présumé meurtrier de sa fille

Plusieurs centaines de personnes se sont déplacées pour venir assister à ce défilé de mode exclusivement consacré aux chapeaux, le tout dans une ambiance enjouée, agréable et surtout très dynamique.
«C’est vraiment une belle première expérience. Nous en avons eu l’idée et, ce qu’il faut souligner, c’est que la communauté d’affaires de la région a très bien répondu à l’invitation», de confier Josée Lapointe, créatrice des chapeaux.
Au total, plus d’une trentaine de chapeaux ont été présentés au public. On y retrouvait des chapeaux pour tous les goûts, les styles et les occasions, allant de la sortie à la plage aux grandes occasions, comme une sortie en amoureux. «Je trouve ça coquin, une femme avec un chapeau. Je trouve que c’est un accessoire très beau et qui a beaucoup de classe», de mentionner la créatrice et designer.
Les chapeaux signés Etniopal ont un petit quelque chose de particulier. Premièrement, ceux de Josée Lapointe se démarquent par leur personnalité et leurs couleurs, empreinte de modernité et d’audace. Rien à voir avec un chapeau conventionnel. Juste à l’œil, on reconnaît la qualité du travail et l’ingéniosité des petites mains qui ont confectionné l’objet. «J’ai toujours aimé les chapeaux. Quand j’étais toute petite, j’aimais en porter. J’ai gardé cette passion toute ma vie», explique la créatrice et femme d’affaires.
Etniopal connaît une belle croissance depuis sa naissance, tellement que la créatrice a ouvert sa première boutique, où ses créations sont présentées. Attention: vous aimez les chapeaux, mais vous ne pensez pas être en mesure de trouver un tel accessoire qui vous fera à merveille? Erreur: les créations Etniopal font des chapeaux sur mesure, selon la tête de la personne, en respectant ses goûts.
Les profits du défilé, un montant de 10 100 $, ont été remis à la Fondation Florès qui soutient des personnes vivant avec une déficience intellectuelle, un trouble envahissant du développement ou un trouble grave de santé mentale et favorise la compréhension et la sensibilisation du public aux besoins de ces personnes.

Robert Poirier arrêté