Étudiant à l&#8217;Université Concordia en économie et physique, bilingue, rédacteur occasionnel au Prince Arthur Herald, Jean-Philippe Fournier se dit troublé par l’état actuel du Québec, que ce soit au niveau économique, des finances publiques ou du système d&#8217;éducation: «L’Équipe Adrien Pouliot-Parti conservateur du Québec représente la seule vraie alternative aux vieux partis, responsables du marasme actuel. Autant en santé qu&#8217;en éducation et en finances publiques, notre programme apporte enfin des solutions nouvelles et concrètes.»
Ainsi, dans le domaine de la santé, on y trouve une ouverture vers la mixité telle que pratiquée dans les pays scandinaves. En éducation, le parti compte redonner le pouvoir aux directions d’école afin que chaque institution puisse répondre plus adéquatement aux besoins concrets de sa communauté. En ce qui concerne les finances publiques, le parti pense qu’il faut revoir la taille de l’État et le retirer de certains services non essentiels. Au niveau de la gouvernance, il pense que l&#8217;on doit réduire le nombre de députés et revoir à la baisse le montant d’argent public investi dans leur fonds de pension.
On peut en savoir plus sur le programme d’Équipe Adrien Pouliot-Parti conservateur du Québec à l&#8217;adresse suivante: www.particonservateurquebec.org.

Parti conservateur du Québec: Jean-Philippe Fournier dans Blainville

«C’est quelqu’un qui peut faire la différence. En politique, ça prend des gens convaincus en qui la population peut avoir confiance», a-t-elle déclaré avant de céder la parole au nouveau candidat.
Ce saut en politique, Claude Surprenant aura mis 20 ans avant de le faire. «On m’a d’abord demandé de me présenter comme maire de Saint-Hyacinthe, il y a 20 ans, mais je me considérais trop jeune», raconte-t-il. Plus récemment, lors des élections municipales de novembre 2013, M. Surprenant, maintenant un résidant de la région, dit avoir sérieusement réfléchi à la mairie de Blainville. Il s’est cependant abstenu, visant davantage une députation provinciale. L’annonce du départ d’Hélène Daneaut, combiné à l’aval du chef de la CAQ, François Legault, auront été pour lui l’occasion de concrétiser ses ambitions.
Priorités pour Groulx
L’engagement politique de M. Surprenant dans Groulx s’articulera autour de quatre axes: contenir toute hausse tarifaire à un niveau égal ou inférieur à l’inflation; aménager des voies réservées au transport collectif et au covoiturage sur l’autoroute 15; augmenter les ressources en santé. La quatrième priorité de M. Surprenant concerne son implication communautaire. «Je compte assurer un soutien constant aux organismes qui jouent un rôle crucial auprès des démunis, des personnes vivant seules et des aînés», a-t-il précisé.
Déterminé, dit-il, à mieux comprendre l’écosystème du monde communautaire, M. Surprenant compte aller à la rencontre des gens, de maison en maison, dans les centres, places publiques et institutions. Il entend également poursuivre sa mission auprès des jeunes. «Les jeunes auront toute la place qui leur revient dans mon engagement politique. Je souhaite humblement agir à titre de modèle pour les jeunes, dans l’esprit de leur inculquer l’engagement envers la collectivité, dans le respect des autres et des institutions démocratiques, tout en tentant aussi de leur transmettre les valeurs de l’esprit entrepreneurial», a-t-il conclu.

CAQ: Hélène Daneault salue l’arrivée du candidat Claude Surprenant

«Ma candidature est aussi motivée par de nombreux citoyens qui souhaitent du vrai changement qui tient compte de leurs besoins et soucis réels. Les électeurs des Basses-Laurentides ont trop souffert de cette absence de reconnaissance», a‑t‑il déclaré.
Deux priorités sont au centre de sa campagne: l’indépendance du Québec (le Québec doit, dit‑il, récupérer sa capacité à faire ses lois, à gérer ses impôts et à faire ses propres ententes) et tenter de rétablir les problèmes structuraux et administratifs qui affectent la région des Basses-Laurentides, desquels résulte un sous-financement récurrent dans plusieurs domaines. «Le Parti québécois ne voit pas la problématique des Basses-Laurentides comme étant déficitaire. Et ce n’est pas en nous parachutant quelqu’un de l’extérieur [Martine Desjardins] que les problèmes vont se régler», opine‑t‑il.
M. Marginean croit que sa connaissance du milieu local et régional, son implication tant personnelle que professionnelle depuis plus de 35 ans, ses compétences professionnelles de gestionnaire, pédagogue et intervenant lui serviront avantageusement durant la campagne. Il entend notamment profiter de ce moment pour aborder les problématiques liées à la croissance démographique et au sous-financement chronique per capita en matière de santé, de service de garde et d’éducation, en plus des insuffisances de représentation, ajoute‑t‑il, dans les structures du Montréal métropolitain, comme la CMM et l’AMT, entre autres. «Nous sommes un tout petit parti qui vise toutefois tout un travail de prise en charge», a‑t‑il fait valoir.
Marginean compte aussi mettre de l’avant le Plan Rive‑Nord élaboré par son parti.

Option nationale: Alain Marginean mise sur sa compétence régionale