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«Nos aînés méritent mieux!» – Louise Chabot

«Nos aînés méritent mieux!» – Louise Chabot

Publié le 24/08/2021

La candidate du Bloc Québécois dans Thérèse-De Blainville, Mme Louise Chabot, tient rappele l’engagement du Bloc Québécois d’augmenter la pension de la Sécurité de la vieillesse (PSV) de 110 $ par mois pour tous les aînés de 65 ans et plus. Elle dénonce également ce qu’elle appelle «l’inaction du gouvernement Trudeau» envers les personnes aînées durant la pandémie, alors que plusieurs se sont retrouvés dans une situation précaire.
Une injustice envers les aînés de 65 à 74 ans
Lors de la présentation de son premier budget en deux ans, le gouvernement libéral a annoncé une augmentation de la pension de la Sécurité de la vieillesse de 10 % pour juillet 2022 pour les personnes de 75 ans et plus. «En plus du Bloc Québécois, de nombreux groupes sont montés au créneau pour dénoncer cette injustice qui crée deux classes d’aînés. La réaction a été unanime : c’est de la discrimination. Il n’y a aucune étude, aucune logique qui justifie cette décision. C’est une injustice envers les 65 à 74 ans, il n’y a pas d’autres mots pour décrire cela», déclare la candidate.
Au printemps dernier, le Bloc Québécois a fait adopter une motion pour demander une hausse de la pension de vieillesse de 110$ par mois, pour toutes les personnes aînées, dès 65 ans. «Notre motion a été adoptée à la Chambre des communes. Tous les partis ont voté pour, à l’exception des libéraux. Nous allons continuer de faire valoir notre position, car c’est la bonne. Nos aînés n’ont pas à faire les frais des jeux politiques des libéraux», souligne Mme Chabot.
Les aînés «ignorés» par le gouvernement fédéral
«Les aînés ont été les grands oubliés de la pandémie. C’est incompréhensible que le gouvernement n’ait pas agi pour aider les aînés de façon durable et permanente. On sait que plusieurs d’entre eux vivent dans une situation financière précaire, qui a été exacerbée par la pandémie. Le coût de plusieurs biens et services a augmenté, le panier d’épicerie coûte plus cher. Environ 20 % de nos aînés ont des revenus de moins de 20 000 $ par année, ce qui signifie qu’ils dépendent entièrement des prestations gouvernementales. Ils ont droit à la tranquillité d’esprit et à une qualité de vie décente», de conclure Mme Chabot.