logo journal nord-info
icon journal
Louise Chabot veut parler d’indépendance pour le Québec

Louise Chabot, candidate du Bloc québécois dans Thérèse-De Blainville, a officiellement déposé son acte de candidature à Élections Canada.

Louise Chabot veut parler d’indépendance pour le Québec

Publié le 01/10/2019

Active sur le terrain, Louise Chabot, candidate du Bloc québécois dans Thérèse-De Blainville, a officiellement déposé son acte de candidature à Élections Canada. Engagée dans une multitude de causes depuis le début de sa carrière, elle souhaite parler d’indépendance en plus de défendre les intérêts du Québec à Ottawa.

«Je travaillerai avec conviction pour notre cause, soit celle de participer étroitement à l’émancipation et au développement de notre peuple, le peuple québécois!», stipule la candidate du Bloc québécois dans Thérèse-De Blainville.

Louise Chabot défendra les enjeux fédéraux qui touchent les citoyennes et les citoyens de Thérèse-De Blainville tout au long de la campagne électorale. Parmi ceux-ci, on retrouve celui du développement des logements sociaux et communautaires.

«Le développement des logements sociaux et communautaires abordables et sécuritaires est un enjeu pour les Basses-Laurentides. Au Québec, 457 340 ménages qui habitent un logement consacrent plus que la norme canadienne, estimée à 30 % du revenu familial. 195 635 y consacrent même plus de 50 %. C’est énorme! Et dans la circonscription, on compte 5 290 ménages qui y consacrent plus de 30 %», témoigne Louise Chabot.

Selon la candidate, la stratégie nationale sur le logement du Canada, lancée en novembre 2017, est un autre exemple de situation qui ne considère pas l’unicité du Québec et de son programme Accès-Logis.

«Pour le Bloc québécois, cette situation n’a aucun sens. C’est pourquoi, je crois que le Québec serait mieux servi en étant seul responsable du logement social et abordable. Nous exigeons, entre autres, un réinvestissement progressif jusqu’à l’atteinte de 1% des revenus annuels du fédéral et des transferts d’argent sans condition par Ottawa pour ne pas entraver le fonctionnement des programmes québécois mieux adaptés à la réalité», termine Louise Chabot.