logo journal nord-info
icon journal
featuredImage

Le 7 décembre, entre 11 h et 13 h, des manifestations ont eu lieu devant les installations du CISSS des Laurentides, par les professionnelles en soins de la FIQ, pour supporter leur comité de négociation locale qui a déposé le projet de convention collective locale à la direction juste avant.

GalleryImage1

Le 7 décembre, entre 11 h et 13 h, des manifestations ont eu lieu devant les installations du CISSS des Laurentides, par les professionnelles en soins de la FIQ, pour supporter leur comité de négociation locale qui a déposé le projet de convention collective locale à la direction juste avant.

GalleryImage2

Le 7 décembre, entre 11 h et 13 h, des manifestations ont eu lieu devant les installations du CISSS des Laurentides, par les professionnelles en soins de la FIQ, pour supporter leur comité de négociation locale qui a déposé le projet de convention collective locale à la direction juste avant.

GalleryImage3

Le 7 décembre, entre 11 h et 13 h, des manifestations ont eu lieu devant les installations du CISSS des Laurentides, par les professionnelles en soins de la FIQ, pour supporter leur comité de négociation locale qui a déposé le projet de convention collective locale à la direction juste avant.

Les professionnelles en soins veulent de meilleures conditions de vie au travail

Publié le 07/12/2017

Le Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides (FIQ – SPSL), a présenté aujourd’hui à la direction du CISSS des Laurentides ses demandes dans le cadre de la négociation de leur convention collective locale. Les professionnelles en soins veulent de meilleures conditions de vie au travail et plus de stabilité en emploi.

«Aujourd’hui, nous proposons des solutions à notre employeur. Des solutions pour améliorer le climat de travail et pour améliorer les soins aux patients. Les infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes sont surchargées. Le temps supplémentaire et le temps supplémentaire obligatoire sont omniprésents et rien n’est fait. Nous devons avoir plus de postes à temps complet pour stabiliser les équipes de travail. Nos membres sont mobilisées et veulent des résultats», a déclaré la présidente de FIQ – SPSL, Julie Daignault.

Les demandes déposées aujourd’hui découlent d’une vaste consultation effectuée auprès des 4 200 professionnelles en soins, du CISSS des Laurentides.

«Le congé annuel, la prise des congés fériés et l’obtention des divers congés sont ressortis comme des problématiques vécues actuellement par nos membres. Les membres souhaitent pouvoir aménager leur horaire pour répondre aux besoins de leur vie personnelle. Elles ont également mentionné que la garde et le temps supplémentaire apportaient sont lots de problèmes et elles désirent que ce fardeau qu’elles subissent soit reconnu», a mentionné Denis Provencher, vice-président relations de travail du FIQ – SPSL.

En appui à leur syndicat, plusieurs professionnelles en soins, des Laurentides, ont manifesté, le jeudi 7 décembre, entre 11 h et 13 h, devant leurs installations. Malgré l’immensité du territoire, soit 22 000 km carré, les membres sont sorties en grand nombre parce qu’elles comprennent l’importance de la mobilisation dans cette négociation.

«Les membres sont sorties massivement pour appuyer leur comité de négociation. Elles ont compris que c’est un moment important dans l’histoire du FIQ – SPSL puisqu’il n’y aura qu’une seule négociation pour leur convention collective locale. Le message était clair, elles sont mobilisées pour obtenir les meilleures conditions de travail et offrir la dispensation de soins sécuritaires et de qualité au CISSS des Laurentides», a conclu Matthieu Parker-Labonté, vice-président secteur sud et responsable de la mobilisation.