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Le nombre de cas grimpe à 33 417 au Québec

Le nombre de cas grimpe à 33 417 au Québec

Publié le 05/05/2020

En date d’aujourd’hui (mardi), le Québec compte pas moins de 33 417 cas de Québécois atteints de la COVID-19. Il s’agit d’une augmentation de 794 depuis hier.

Le bilan est aussi malheureux avec 118 décès supplémentaires comparé à lundi pour porter le total à 2 398 depuis le début de la crise.

Par ailleurs, 1 821 personnes sont hospitalisées (en hausse de 49), dont 218 aux soins intensifs (ce qui donne une augmentation neutre pour une deuxième journée consécutive).

Dans les Laurentides, le bilan fait maintenant état de 1 517 cas, pour un écart à la hausse de 60 depuis le bilan de lundi.

Dans la MRC de la Rivière-du-Nord, on en est rendu à 321 pour une hausse de 15 depuis 24 heures.

Du lest pour les aînés

Par ailleurs, après des semaines de confinement strict, les aînés pourront profiter de conditions plus avantageuses, alors que les autorités gouvernementales ont décidé de donner un peu de lest en regard des aînés vivant en résidence, des proches aidants et des contacts avec les familles dont un proche est en fin de vie.

Présente à la conférence de presse quotidienne en compagnie du premier ministre François Legault et du directeur national de la santé publique, Dr Horacio Arruda, la ministre des Aînés et de Proches aidants, Marguerite Blais, a expliqué les grandes lignes (le Dr Arruda est allé davantage en détails, par la suite) relativement aux proches aidants qui auront de nouveau accès (à compter du 11 mai) aux aînés dans les différents sites. Alors que les aînés en résidences auront droit, soulignera-t-elle, de sortir à certaines conditions.

Résumant les nouvelles dispositions, la ministre Blais a précisé qu’«assouplissement ne veut pas dire relâchement. Soyons prudents!».

«Pas humain»

Avant que Mme Blais annonce les nouvelles mesures, le premier ministre Legault s’était dit d’avis qu’il netrouvait pas ça «humain que pendant deux mois, une personne n’ait pas pu voir ses enfants. Ça n’a comme pas de bon sens (…)  Il ne faut pas protéger la santé physique au détriment de la santé mentale».

 

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