La rencontre se déroulera le mercredi 23 mai, à compter de 19 h, à la salle Anneplainoise, située au 5, rue des Entreprises, à Sainte-Anne-des-Plaines.
Cette rencontre, indique-t-on, se veut une opportunité pour soumettre idées, besoins et attentes afin de concrétiser la mission de la CORDEV et permettre l’élaboration d’un plan d’action justifié et réalisable.
«Nous avons très hâte d’entendre nos entrepreneurs, commerçants et membres s’exprimer sur la façon dont la CORDEV doit évoluer au cours des prochaines années. Nous avons plusieurs questionnements», ajoute Nathalie Gosselin, nouvelle présidente du conseil d’administration.
Comment voyons-nous la CORDEV dans trois ans? Quels sont les besoins et les attentes de nos membres auxquels nous devons répondre? À quoi devrions-nous allouer nos ressources? Quelles devraient être nos priorités? Quelle différence essayons-nous de faire? Voilà autant de questions qui sont déjà sur la table et auxquelles souhaitent répondre les membres du conseil d’administration.
Pour plus d’information, contactez Nathalie Gosselin au 514-513-4447 ou Éric Plasse, vice-président, au 450-478-1313, ou par courriel, à cordev.sadp@videotron.qc.ca.

«C’est avec plaisir qu’on peut vous dire que pour l’année 2011, il y a un surplus de 711 483 $. Ça faisait un certain temps que nous n’avions pas vu des surplus de cet ordre-là», a souligné la mairesse, en déposant, le mardi 1er mai, le rapport financier 2011.
Ce rapport indique que la Municipalité, à l’intérieur des réalisations 2011 de 52 164 402 $, a reçu plus de revenus que ce qu’elle avait prévu, pour une somme de 1 259 671 $. Même chose du côté dépenses avec une hausse de 548 188 $ par rapport à la prévision de ses activités financières de fonctionnement. «Malgré cette hausse, le conseil a décidé, cet automne, de rembourser le fonds de roulement pour une somme de 843 553 $», a-t-elle souligné.
Après avoir dégagé un surplus budgétaire deux années de suite, la mairesse croit que les Boisbriannais ont tout pour être fiers de leur ville. «Elle (la ville) est belle, vous profitez de bons services, en plus du fait que l’administration municipale est capable d’avoir une gestion équilibrée des finances. C’est grâce au travail d’équipe du conseil et des services municipaux», a-t-elle souligné.
La dette
Par rapport à la dette municipale, la mairesse a rappelé que deux projets majeurs représentent 35 % de celle-ci, soit l’usine d’épuration des eaux, à hauteur de 34 millions de dollars, et l’échangeur de la 640 et de la 15, pour une somme de 25 millions de dollars.
«Je peux vous dire que parmi les villes du Québec, même si certaines contribuent financièrement à l’aménagement de sorties d’autoroute, il n’y en a aucune qui paie une somme de 25 millions de dollars pour un échangeur», estime Mme Cordato. Selon elle, si les municipalités entourant Boisbriand avaient contribué à l’aménagement de l’échangeur, «le visage de la dette serait bien différent».
La dette municipale nette à long terme s’élève à tout près de 117 millions de dollars, une diminution de plus de deux millions de dollars. La proportion du budget servant au financement du service de la dette connaît également une légère baisse, passant de 28,29 %, à 27,04 % pour l’exercice financier se terminant le 31 décembre 2011. Ainsi, la dette représente 4,26 % de la richesse foncière uniformisée, bien que trois ans auparavant, elle correspondait à 5,30 %. Depuis, elle a toujours connu une diminution, ce qui, selon Mme Cordato, démontre une stabilisation, voire une amélioration de la situation.

Rapport financier 2011 à Boisbriand: un surplus de 711 483 $

Qu’à cela ne tienne, puisque le comité organisateur des fêtes du 125e anniversaire de la reconstruction de l’église a dévoilé ses intentions (par le biais d’un calendrier d’activités) afin de lui redonner, au final, ce beau coup d’éclat.
Sa priorité? La toiture qui laisse voir plusieurs signes d’infiltration à divers endroits. «Il s’agit d’une zone critique et urgente à réparer, explique André Lavoie, de la firme Les Architectes FABG. Il y a également le scellement des toitures hautes à restaurer et les murs de pierres où l’on a noté des infiltrations.» 
Pour mener ce projet à terme, le comité organisateur a misé sur plusieurs acteurs du milieu, réputés pour leur engagement social, et sur la population qui sera invitée à contribuer à sa restauration.
Avec comme thème 125 ans… Sauvons notre patrimoine: l’église Sainte-Thérèse-d’Avila, le comité aura comme tâche de trouver une somme de 60 000 $ au sein de la communauté pour l’additionner aux 140 000 $ offerts par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, par l’intermédiaire du Conseil du patrimoine religieux du Québec.
Activités
Le président de la campagne, Luc Daigle, a élaboré diverses stratégies de collectes de fonds afin d’inciter les citoyens à être participatifs dans la restauration de l’église.
Un kiosque de hot-dogs chez IGA Daigle, sis au 450, Blainville Est, à Sainte-Thérèse, sera tenu les 9 et 10 juin prochain, une loterie sera mise sur pied, un concert-surprise et des visites historiques seront prévus à l’automne (en collaboration avec Odyscène) et un grand concert, avec le chanteur Marc Hervieux, se tiendra à l’église, le 8 décembre prochain.
«Pour soutenir cette cause, les gens peuvent également acheter une feuille de tôle qui constituera la toiture de l’église, au coût de 250 $ chacune. Pour atteindre l’objectif, nous devrons vendre 240 feuilles», mentionne le président de la campagne, Luc Daigle.
Les coûts
Mentionnons que le toit nécessite une restauration au coût de 1,2 million de dollars.
La première phase devrait être amorcée vers le mois de juillet.
L’appui financier de la communauté sera primordial pour compléter les autres phases nécessaires à la restauration complète du toit de l’église.
On espère compléter le tout d’ici cinq ans.

125e anniversaire de l'église Sainte-Thérèse-d'Avila: il faut restaurer la toiture!

Le mercredi 23 mai: la CORDEV entreprend sa planification stratégique