La Ville de Sainte-Thérèse a adopté son budget 2018 lors d’une séance publique spéciale qui s’est tenue le 4 décembre dernier. Se chiffrant à 53 876 700 $, le budget 2018 représente une augmentation de 995 400 $, soit 1,9 % de plus qu’en 2017. 
L’augmentation du compte de taxes moyen pour une majorité de propriétaires de maisons unifamiliales et de condominiums sera de 1,8 %, soit 46 $ en 2018, peut-on lire dans un communiqué émis par la municipalité. 
Parmi les facteurs à considérer dans le présent budget, la Ville identifie: l’augmentation de certaines quotes-parts versées par la Ville aux organismes partenaires; la poursuite de l’implantation de la garde en caserne 24 heures sur 24; le service de la dette; l’implantation de la collecte des matières organiques; les dépenses fluctuant selon le taux de l’inflation. 
<h3>Hausse du service de la dette </h3>
En raison du financement «d’importants projets» réalisés par la Ville de Sainte-Thérèse, le remboursement du service de la dette se chiffrera à 8 453 700 $ en 2018, comparativement à 8 021 700 $ en 2017. La Ville explique que des investissements sont nécessaires à l’amélioration globale de la Ville, dont certains découlent de nouvelles obligations gouvernementales en matière de sécurité publique et d’hygiène du milieu. 
Afin d’atténuer les impacts fiscaux de ces investissements, la Ville dit rechercher activement des programmes de subventions auxquels ses projets sont admissibles, et indique que le financement et le refinancement des diverses dettes de la Ville continuent de se faire à des taux avantageux. 
On ajoute que le contexte économique municipal se transforme d’année en année, mais que la Ville de Sainte-Thérèse s’efforce de trouver des solutions novatrices pour continuer d’offrir des services de qualité à la population, tout en respectant sa capacité de payer. 
Le discours du budget 2018 et le Programme triennal des dépenses en immobilisations 2018, 2019 et 2020 sont en ligne au [<a href="http://www.sainte-therese.ca" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">http://www.sainte-therese.ca</a>].

Notons d’abord que cette exposition sera à l’affiche du 1er décembre 2017 au 28 janvier 2018 à la salle d’animation de la bibliothèque. Le maire de Rosemère, Eric Westram, était heureux, visiblement, de voir les collections exposées dans la salle. «Pour la première fois, nous unissons culture et sport dans une seule et même activité. Cette exposition s’inscrit dans la vaste programmation culturelle que nous offrons aux Rosemèrois, et nous sommes heureux de leur présenter une activité qui sort de l’ordinaire et qui vient rejoindre deux publics différents. Il s’agit d’autant plus d’une activité gratuite et accessible à toute la famille avec l’approche du temps des fêtes.» 
<h3>Une carrière exceptionnelle</h3>
Le président d’honneur prenait la parole devant les élus municipaux, les résidants, les membres des médias et sportifs. Il discutait de ses exploits en tant qu’ancien joueur de hockey. Derrière lui, une télévision montrait les buts de la victoire comptés en match final de la coupe Stanley, et ce, depuis 1950. Le géant des Islanders a fait scintiller la lumière deux fois pour permettre à son équipe de mettre la main sur le précieux trophée. Il a d’ailleurs accompli de grandes choses. Il a réussi à compter plus de 50 buts, et ce, lors de plusieurs saisons consécutives. Un exploit dont il est fier. Notons que même Wayne Gretzky, le plus grand, n’a pas pu l’imiter.
«C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai accepté la présidence d’honneur de l’exposition, car le hockey et la coupe Stanley occupent une place de choix dans l’histoire du Québec. Nous sommes passionnés de hockey et je considère qu’une telle exposition est une belle façon de rendre hommage à notre sport national. Bravo à la Ville pour cette initiative!» souligne-t-il, en se permettant de glisser quelques blagues lors de son allocution.
<h3>Entre sport et culture</h3>
L’exposition relate l’évolution du trophée, son histoire, celle de lord Stanley, ainsi que les règles officielles pour avoir un jour son nom inscrit sur cet objet si convoité par les joueurs de la Ligue nationale de hockey. Tout au long de l’exposition, les visiteurs pourront écouter des capsules audio qui reprennent des questions posées par des fans et répondues par le célèbre Ron Fournier. Dans l’ensemble, près de 30 artéfacts seront présentés de même qu’une réplique de la coupe Stanley.
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Une exposition lancée par le légendaire Mike Bossy

Advenant qu’on aille de l’avant, en juin prochain, avec la proposition de la Commission diocésaine sur la Mission et l’action pastorale qui consiste à fusionner les paroisses et fermer des églises (voir autre texte), le paysage religieux des Basses-Laurentides serait alors grandement affecté.
Dans la zone de Saint-Eustache, selon l’hypothèse émise, on passerait de 5 paroisses (dont une anglophone) desservant 130 000 personnes, à 2 paroisses. Celles-ci ne comprendraient que 3 églises [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://ou lieux de culte" target="_blank" rel="noopener">http://ou lieux de culte</a>] comparativement aux 12 actuelles.
Les églises L’Annonciation à Oka et Saint-Benoît à Mirabel seraient conservées. On se débarrasserait toutefois de l’église de la paroisse Holy Family à Deux-Montagnes, des églises Saint-Janvier et Saint-Augustin à Mirabel et de l’église Christ-Roi à Saint-Eustache.
Quant aux églises Saint-Esprit à Saint-Eustache et Sainte-Marthe-sur-le-Lac, elles seraient transformées en lieux de formation ou de rencontres.
<h3>Sainte-Thérèse</h3>
Dans la zone de Sainte-Thérèse, de trois paroisses, on diminuerait à une seule en ne conservant que deux lieux de culte, soit l’église Notre-Dame-de-l’Assomption à Blainville et Sainte-Thérèse-d’Avila. C’est donc dire que selon le plan de match imaginé par la Commission diocésaine, les églises Cœur-Immaculé-de-Marie de Sainte-Thérèse et Saint-Rédempteur à Blainville disparaîtraient du portrait.
<h3>Terrebonne</h3>
En ce qui a trait aux municipalités de Bois-des-Filion, Rosemère et Sainte-Anne-des-Plaines, situées dans la zone de Terrebonne du Diocèse de Saint-Jérôme, elles verraient leur nombre de lieux de culte passer de neuf à quatre. On conserverait les églises Sainte-Françoise-Cabrini à Rosemère, Sainte-Anne-des-Plaines et Saint-Maurice à Bois-des-Filion. De sept paroisses dans cette zone, on passerait à trois.
<h3>Pas d’argent pour les rénovations</h3>
Plusieurs des églises identifiées comme étant appelées à disparaître par la Commission diocésaine ont un urgent besoin de rénovations, mais manque de moyens.
«Il nous est impossible d’amasser une somme suffisante à des rénovations qui s’élèvent à des centaines de milliers de dollars juste avec la dîme» , a indiqué Mgr Martin Tremblay, vicaire général au Diocèse de Saint-Jérôme.
Il a expliqué que c’est le Conseil du patrimoine religieux du Québec, fondé après l’abolition, dans les années 1980, de la répartition [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://processus qui faisait en sorte, à l’époque, que tous les contribuables résidant à proximité d’une église participaient financièrement à sa construction" target="_blank" rel="noopener">http://processus qui faisait en sorte, à l’époque, que tous les contribuables résidant à proximité d’une église participaient financièrement à sa construction</a>], qui est aujourd’hui chargé de déterminer si une telle église est éligible ou non à une subvention pour rénovations. Elles ne le sont pas toutes…
«Le Conseil du patrimoine religieux analyse chacune des demandes, a relaté Mgr Tremblay. Certaines églises ne peuvent recevoir de subventions parce qu’elles ont été mal entretenues par exemple, ou qu’elles ont été restaurées malhabilement en oubliant de conserver leur cachet d’époque.» 
Soulignons que depuis 1995, le ministère de la Culture et des Communications du Québec a versé quelque 300 M$ au Conseil du patrimoine religieux en vertu de la mesure d’aide à la restauration du patrimoine religieux. Avec la participation financière des partenaires, quelque 435 M$ ont été investis jusqu’à maintenant pour préserver les biens les plus importants du patrimoine religieux du Québec.
L’identité des églises qui seront démolies ou vendues, dépendamment de leur état, sera confirmée officiellement en juin prochain.
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Hausse de 1,8 % du compte de taxes moyen

Hausse du service de la dette