Gautier Njokjou travaille actuellement au gouvernement du Québec, au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale après avoir passé neuf ans, de 2010 à 2019, à celui de la Culture et des Communications. Préalablement, il a œuvré en Suisse de 2004 à 2008 après avoir quitté son Cameroun natal. Il est aussi bénévole au sein du comité de la Sécurité civile de Blainville et représentant des parents à l’école Chante-Bois.
« Il a fallu me convaincre. Ce n’est pas m’impliquer qui cause problème, mais la politique, ça fait peur ! J’ai aussi une vie occupée. J’ai donc commencé ma réflexion en me posant ce genre de questions. Sauf que je crois qu’il ne faut pas juste chialer. Il faut être capable de proposer! », a d’abord affirmé M. Njokou qui dit avoir vu la Ville de Blainville changer énormément au cours des neuf dernières années, l’une des raisons qui l’ont d’ailleurs poussé à accepter de joindre l’équipe de Florent Gravel lorsque ce dernier l’a approché.
« Blainville est rendue à une étape où il faut repenser le vivre ensemble, où il faut penser à ce qui est important pour la vie future de Blainville. La Blainville de 2030 doit être pensée aujourd’hui ! M. Gravel m’offre l’opportunité de contribuer à cette réflexion. »
Un atout important
Pour Florent Gravel, Gautier Njokou représente « un atout important » pour sa formation politique de par ses idées et la diversité culturelle qu’il représente.
« Nous sommes rendus à une étape où ce ne sont pas uniquement les Québécois de souche qui doivent gérer la Ville de Blainville, a indiqué M. Gravel. Gautier s’est impliqué dans sa communauté dès son arrivée à Blainville. Il est un homme qui est prêt à s’investir pour aider le système à fonctionner. »
En écoutant les parents de son quartier et ses voisins, le parc des Mélèzes, de même que le déneigement dans le quartier Notre-Dame-de-l’Assomption sont des dossiers auxquels s’attardera M. Njokou, advenant son élection le 7 novembre. Comme son chef, il souhaite aussi intégrer davantage l’aspect culturel dans sa communauté.
« C’est ce qui contribue au vivre ensemble : d’avoir une histoire commune, d’avoir une vision commune et de créer ce sentiment d’appartenance. J’aime profondément Blainville, mais il faut repenser la Ville. Ça commence dans le voisinage, le quartier, la municipalité. Une société se construit à la base. Quand la base est solide, le haut va tenir! »
Pour contribuer à la campagne de Mouvement Blainville : info@mouvementblainville.org.
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