«C’est à la demande de nombreux citoyens de mon quartier que je fais un retour en politique municipale sous le thème De retour pour vous!», a affirmé Gilles Sauriol.
Rappelons que ce dernier a occupé le poste de conseiller du district 2 pendant quinze ans, soit de 1998 à 2013. «Je suis très attaché à mon quartier, j’aime rencontrer les gens et surtout travailler dans leur intérêt. Durant mes mandats, je me suis toujours assuré que les gens de mon quartier reçoivent leur juste part pour chaque dollar payé en taxes.»
À l’écoute des citoyens
«Mon objectif est toujours le même, poursuit-il, si je suis élu j’ai l’intention d’être dévoué et très accessible. Je mettrai toute mon énergie à m’occuper des familles ainsi que de la qualité de vie de notre quartier, comme je l’ai fait dans le passé.»  
Entouré de sa famille et appuyé par de nombreux bénévoles, Gilles Sauriol est très heureux de faire son retour en politique. «Au cours des prochaines semaines, c’est avec plaisir que je rencontrerai les gens de mon quartier. Beaucoup m’ont déjà manifesté leur appui et j’ai la ferme conviction d’être élu le 5 novembre prochain et de me mettre au travail» a conclu Gilles Sauriol.

La ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la région des Laurentides, Christine St-Pierre, en a fait l’annonce aujourd’hui, au nom du ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et ministre de la Famille, Sébastien Proulx.
Cette aide financière provient du Programme de soutien aux centres régionaux d’entraînement multisports, doté d’une enveloppe totale de 1,5 million de dollars et dont la gestion est assurée par l’Institut national du sport du Québec.
Rappelons qu’une aide financière de plus de 5,6 millions de dollars a été attribuée à l’Institut pour l’année 2017-2018. Cette aide s’inscrit dans la mise en œuvre de la Politique de l’activité physique, du sport et du loisir Au Québec, on bouge!, dont deux orientations visent directement l’Institut, soit: «Faciliter le cheminement des athlètes vers le haut niveau» et «Promouvoir le sport de haut niveau et faire connaître les athlètes québécois de l’élite internationale».
Athlètes et entraîneurs
«Nous souhaitons continuer d’offrir à nos athlètes le meilleur environnement et l’encadrement nécessaire pour qu’ils puissent atteindre les plus hauts niveaux. Au Québec, nous avons une relève solide et des athlètes accomplis qui désirent continuer de se perfectionner. Par cet investissement au Conseil de développement de l’excellence sportive des Laurentides, notre gouvernement contribue à mettre en place les conditions pour y parvenir», a déclaré la ministre Christine St-Pierre.
De son côté, le ministre Sébastien Proulx, a affirmé: «Il est important pour nous de soutenir nos athlètes ainsi que nos entraîneures et entraîneurs, car nous croyons en eux et nous reconnaissons les efforts considérables qu’ils déploient pour donner le meilleur d’eux-mêmes. Ces athlètes sont des champions et de véritables modèles de persévérance pour les jeunes. Le développement du sport de haut niveau est d’ailleurs un des éléments importants de la politique Au Québec, on bouge!, notamment pour continuer à améliorer la place du Québec sur les scènes sportives canadienne et internationale.»
Pour sa part, François Cantin, président du Conseil de développement Excellence sportive des Laurentides, a indiqué: «L’engagement financier pris par le gouvernement du Québec permettra à un plus grand nombre d’athlètes des Laurentides de poursuivre leur progression vers l’excellence tout en demeurant dans la région. Accompagnant déjà plus de 1 200 athlètes des Laurentides, cet investissement permettra à notre organisme de se doter d’outils additionnels et d’embaucher des professionnels supplémentaires dans le domaine médico-sportif.»
L’Institut national
L’Institut national du sport du Québec est un organisme à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la réalisation du projet d’excellence des athlètes et des entraîneurs et entraîneures de haut niveau, dans une perspective de développement global de la personne, en vue de favoriser l’atteinte de performances optimales sur les scènes canadienne et internationale.

Région des Laurentides: Un montant de 140 000 $ pour le développement de l’excellence sportive

«Sans compter, d’ajouter M. Hébert, les 50 000 $ que Mme Cordato a dépensé pour redécorer son bureau! La mairesse jette l’argent des contribuables par les fenêtres!».
À ceux et celles qui lui diront qu’il n’avait qu’à intervenir, à titre de conseiller municipal, Denis Hébert leur répondra en adressant un autre reproche à Marlene Cordato, celui de «gérer la Ville en monocratie, au mépris des citoyens et citoyennes», dit-il.
«Elle [Marlene Cordato] ne donne pas toute l’information, fait des séances de consultation bidon et refuse le dialogue lors des séances du conseil municipal. À ses yeux, le seul citoyen qui a le droit de parole est celui qui pense comme elle et son parti!»
Il ajoute que Mme Cordato «se pète les bretelles» avec le surplus budgétaire qu’elle a annoncé, mais que ce surplus aurait été le même «avec n’importe qui assis dans la chaise de maire», en raison du fort développement économique qu’a connu Boisbriand au cours des dernières années.
Transparence
S’il est élu maire, le 5 novembre, celui qui dit «faire de la politique sans être politicien», promet aux citoyens de Boisbriand qu’il agira en toute transparence.
«Je suis un gars d’opinion. J’aime les choses claires. Quand je prends une décision, je la prends de façon éclairée, tout le temps! Mme Cordato est très bonne à donner de l’information, mais pas toute l’information, ce qui donne un mauvais portrait de la situation. Je déplore qu’il y ait actuellement de la désinformation auprès de la population qui ne se fait pas dire toutes les choses.»
Il y a de cela près d’un an, Denis Hébert avait choisi de quitter l’équipe de Marlene Cordato et de siéger comme conseiller indépendant. L’entente qu’avait alors signée Boisbriand avec Saint-Eustache pour l’utilisation, par ses citoyens, de la piscine du Complexe aquatique l’avait alors convaincu de faire cavalier seul.
«Je ne m’opposais pas à la piscine, ce que je disais, c’est que c’était prématuré de prendre une entente de cinq ans, sans possibilité de sortir, sans avoir en main les chiffres et les demandes du service d’urbanisme.»
Il reprochait aussi à Mme Cordato, dans ce même dossier, d’avoir signé un contrat de gré à gré avec la Ville de Saint-Eustache, «sans avoir préalablement placé d’appels d’offres auprès d’autres villes». 
«Ce sont des choses comme celles-là qui font que ce n’est pas transparent! On ne peut pas prendre l’argent des citoyens et l’investir de cette façon-là sans prendre la décision de façon éclairée. On est là pour le bien des citoyens. Il faut que les choses soient claires.» 
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Élections Boisbriand: Gilles Sauriol de retour en politique municipale