Les étudiantes et étudiants qui souhaitent vivre une expérience unique à Chambéry, en France, à l’été 2020 sont appelés à poser leurs candidatures avant le 24 février 2020. Cet échange est rendu possible grâce à la collaboration du réseau France-Québec. 
<blockquote class="western">«Grâce à l’amitié qui unit les villes de Chambéry et Blainville, nos jeunes âgés entre 18 et 29 ans peuvent voyager en France pour occuper un emploi d’été. Je les invite d’ailleurs à poser leur candidature afin de vivre une expérience inoubliable!», a déclaré le maire, Richard Perreault. </blockquote>
<blockquote class="western">Des souvenirs impérissables </blockquote>
<blockquote class="western">Jade Marquis et Camille Desbiens, les deux participantes de l’an dernier, ont eu la chance de découvrir la France et ses coutumes : «L’échange a été une occasion en or de s’immerger dans la culture française. Ma partie préférée? Faire du bénévolat pour les nombreux festivals de musique et de danse ayant eu lieu dans la ville, comme le festival africain Lafi-Bala, qui souligne le partenariat France-Burkina Faso», de mentionner Jade.</blockquote>
<blockquote class="western">Quant à Camille : «Mon séjour à Chambéry fut une des plus belles expériences de ma vie. Non seulement j&#8217;ai pu en apprendre plus sur la culture et le mode de vie de nos cousins français, mais j&#8217;ai aussi pu admirer les paysages à couper le souffle, créer des amitiés précieuses, participer à de nombreuses activités hors du commun. Bref, je suis extrêmement reconnaissante et je répéterai l&#8217;expérience n&#8217;importe quand! »</blockquote>
<blockquote class="western">Les candidates et candidats doivent s’inscrire avant le 24 février 2020. Renseignements : blainville.ca/emplois.</blockquote>

Sur le site du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec, on l’a classé au rayon des animaux importuns, au même titre que les moufettes, les ratons laveurs et même les renards, en raison de certains dommages qu’ils peuvent causer aux balles de paille et aux bottes de foin, en milieu agricole, et même à la peinture de votre voiture, quand un mâle bougon y aperçoit son reflet et le confond avec un rival. C’est sans compter les excréments qu’il laisse partout sur son passage.
Par contre, les amants de la nature sont heureux de son arrivée récente pour le simple plaisir de l’observation ornithologique, quand ce n’est pas pour ajouter une nouvelle espèce à leurs trophées de chasse. Les plus pragmatiques relèveront que le dindon sauvage rend aussi des services aux agriculteurs en dévorant des insectes et des plantes nuisibles.
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La résurgence de l’espèce
Quoi qu’il en soit, nous avons tout de même affaire à une espèce qui avait pratiquement disparu du nord des États-Unis, sous le feu nourri des chasseurs, au début du XXe siècle, avant d’être réintroduite dans son aire de répartition initiale. Au début des années 1970, sa population a pris une telle expansion que le dindon sauvage a entrepris de se déplacer, partant des états de New York et du Vermont pour s’établir en Ontario et au Québec, où il prolifère désormais.
Si on le retrouve en plus grande quantité en Montérégie, en Estrie, en Outaouais et au Centre-du-Québec, on l’observe de plus en plus chez nous, comme nous l’ont récemment fait remarquer des lecteurs de Lorraine, Blainville et Mirabel. À noter que ces oiseaux sont de bonne taille puisqu’un mâle peut atteindre 125 centimètres (4 pieds) et peser jusqu’à 9,5 kilos, ce qui en fait assurément un obstacle mobile dont il faut se méfier sur la route. Les femelles sont moins imposantes, mais peuvent tout de même atteindre 95 centimètres (trois pieds) et peser jusqu’à 5 kilos.
Un plan de gestion
L’apparition massive des dindons sauvages au Québec a donné lieu à l’élaboration d’un plan de gestion couvrant la période comprise entre 2016 et 2023. Ce plan, peut-on lire sur le site du ministère «permet d’établir des orientations et des balises afin de mettre en valeur cette espèce et d’assurer la viabilité des populations au cours des prochaines années dans les régions où le climat et les habitats leur sont favorables. Les quatre principaux enjeux de ce plan de gestion, soit la gestion du gibier, la pérennité de l’espèce, le développement de la chasse et la coexistence avec la faune, permettront de viser une pleine mise en valeur du dindon sauvage au Québec.»
Pour en apprendre davantage sur le sujet: [https://mffp.gouv.qc.ca/la-faune/plans-de-gestion/dindon-sauvage].

Dindon sauvage, Blainville, Mirabel, Lorraine, Laurentides

Les dindons sauvages: drôles d’oiseaux!

En fait, c’est pour le 12 janvier que la petite fille était normalement attendue, mais celle-ci s’est finalement pointé le bout du nez plus tôt que prévu et a donc poussé ses premiers cris le mercredi 1er janvier dernier, à 1 h 42.
Pour la maman, les choses se sont précipitées le lundi précédent, alors qu’elle avait rendez-vous avec son médecin. Celui-ci, observant une pression trop élevée chez sa patiente, lui a demandé de revenir en après-midi, vers 14 h, à l’Hôpital de Saint-Eustache avec ses effets en prévision d’un accouchement prématuré. Ce n’est que 36 heures plus tard, non sans peine, que la petite Lexie a finalement vu le jour. À sa naissance, l&#8217;enfant pesait 2,3 kg (5,13 lb) et mesurait 46 cm.
<h3>Un premier enfant pour le couple</h3>
«Cela a été intense, mais tout va bien pour le moment», devait mentionner, en entrevue téléphonique, la maman âgée de 38 ans. Par précaution, Mme Long est demeurée à l’unité des naissances de l’Hôpital de Saint-Eustache jusqu’au vendredi 3 janvier, avant d’être en mesure de pouvoir retourner à la maison où Lexie a retrouvé une «protectrice» nommée Kayla, une sympathique petite chienne chihuahua qui a bien accepté l’arrivée de la nouvelle venue.
Pour la mère, tout comme pour son conjoint, 35 ans, il s’agit d’un premier enfant dans la famille. Le couple a cependant dû attendre quatre ans avant de voir arriver Lexie après plusieurs essais infructueux d’insémination artificielle. Puis, sans crier gare, Mme Long est tombée enceinte tout à fait naturellement…
«C’est sûr que notre routine a changé. On n’a pas beaucoup dormi les premiers jours, mais là, tout est parfait», de raconter l’heureuse maman.
<h3>Et le premier bébé au Québec est…</h3>
Enfin, au niveau du Québec, c’est un garçon pesant 4,37 kg (9,6 lb) et nommé Henri Baillargeon qui est devenu le tout premier bébé de l’année 2020 à naître, et cela le mercredi 1er janvier, 32 secondes après minuit, à Hôpital de la Cité-de-la-Santé, à Laval.
Il s’agit du premier enfant d’un couple originaire de Laval, mais résidant à Blainville.

Échange estival inoubliable grâce à l’amitié qui unit Chambéry et Blainville