logo journal nord-info
icon journal
Des finissants amassent près de 35 000 $ pour la Fondation Rouler pour la vie

Crédit photo Mathieu Joly – Les finissants en Gestion de commerces du collège Lionel-Groulx ont remis 17 527,13 $ à la Fondation Rouler pour la vie.

Des finissants amassent près de 35 000 $ pour la Fondation Rouler pour la vie

Publié le 19/12/2017

Les finissants en Gestion de commerces du collège Lionel-Groulx se sont donnés corps et âme à la cause de la Fondation Rouler pour la vie, en 
amassant la somme record de près de 35 000 $.

Dans le cadre du cours de Méthodes et outils de gestion, ils ont mis toutes leurs connaissances au profit d’activités de financement pour une bonne cause. En différentes équipes, les 63 étudiants ont participé à toutes les étapes du processus de gestion: planifier, organiser, diriger et contrôler leur activité de collecte de fonds. Certains ont organisé une soirée d’humour, un tournoi de quilles, une soirée de billard, hockey ou jeux de société; d’autres, un souper-spectacle, un party d’Halloween et un coquetel de la relève avec conférenciers-entrepreneurs invités.

Fondation Rouler pour la vie

Depuis 2014, la Fondation Rouler pour la vie veille à soutenir les personnes en difficulté à la suite d’un diagnostic de cancer, en offrant des bons d’épicerie et d’essence, le remboursement de médicaments et du soutien à domicile par l’entremise d’aides communautaires.

Un engagement étudiant payant

En rivalisant de créativité pour recueillir des dons sans engager aucun frais personnel, les finissants ont amassé un grand total de 33 936,75 $ duquel 17 527,13 $ ont été remis à la Fondation Rouler pour la vie. L’argent servira aux personnes, âgées de 18 à 30 ans, atteintes d’une maladie grave, afin de pouvoir subvenir à leurs besoins, jusqu’à concurrence de 500 $ par personne.

La différence de la somme globale sera réinvestie à l’intérieur du programme Gestion de commerces, pour des projets pédagogiques.

Les étudiants avaient carte blanche pour l’organisation de leur événement de financement, mais ne pouvaient compenser quelconque déficit avec l’argent de leurs poches. Ils étaient responsables de faire la promotion de leur activité, de la vente de billets, de la tenue du budget et du respect des échéanciers notamment.