Afin de démarrer le mois de l’éducation physique en force (mai), les élèves de l’école Gaston-Pilon se joindront aux élèves de l’école Gabrielle-Roy pour une grande marche dans le quartier adjacent aux deux écoles. Ils marcheront jusqu’au parc Chénier où aura lieu un rassemblement de motivation sportive. «Les enfants ont besoin qu’on les motive à laisser les consoles de jeux vidéo pour un ballon ou un vélo », explique le technicien en éducation spécialisée de l’école, M. Alexandre. On veut leur donner le goût de bouger et le défi Cubes énergie est l’occasion parfaite pour le faire.» Sylvain Jetté, directeur de l’école, ajoute que «selon les résultats d’une étude publiée dans la revue médicale Frontiers in Psychology, 12 minutes d’exercice physique par jour seraient efficaces pour augmenter l’attention et stimuler la mémoire. Deux éléments clés pour favoriser la réussite!».
De plus, la communauté de Boisbriand est invitée à participer à des soirées sportives afin de bouger en famille de 18 h 30 à 19 h 30: 11 mai, activité organisée par les élèves de la classe multi-sport; 18 mai, entraînement par intervalle; 25 mai, zumba. Les activités ont lieu dans la cour extérieure de l’école.
Le défi Cubes énergie 
Le défi Cubes énergie fait bouger des milliers d’enfants partout au Québec. Son objectif est d’inciter les enfants et leurs familles à adopter de saines habitudes de vie en consacrant plus de temps à l’activité physique. À l’école, les élèves accumuleront des cubes (1 cube = 15 minutes d’activité physique) pendant leurs cours d’éducation physique, les récréations, en classe et durant les activités spéciales. À la maison, les élèves continuent d’accumuler des cubes! Dans un carnet, ils doivent colorier un cube à chaque fois qu’ils font 15 minutes d’activité physique. Leurs frères, soeurs, parents et grands-parents accumulent aussi des cubes pour chaque 15 minutes où ils bougent avec l’élève. À la fin mai, une moyenne de cubes par élève est comptabilisée et un tirage est effectué dans chacune des régions du Québec. Plus la moyenne par élève est haute, plus l’école accumule des chances pour le tirage. Les prix à gagner? La Grande récompense Nestlé Pure Life, soit une fin de semaine d’activités les 17 et 18 juin à Montréal ou la visite du Véhicube, soit une journée d’animation, permettant aux élèves de découvrir le plaisir de bouger plus et de manger mieux.

Dans un courriel qu’il a fait parvenir, mercredi, à la présidente de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles (CSSMI), Paule Fortier, le président de la Corporation de l’Abbaye d’Oka et maire d’Oka, Pascal Quevillon, l’invite à réfléchir à la possibilité d’y déménager les bureaux de la Commission scolaire.
Le bail qui lie la CSSMI à Beauward, propriétaire de l’immeuble qu’elle occupe présentement, boulevard Arthur-Sauvé, à Saint-Eustache, vient à échéance dans quelques années. Selon Pascal Quevillon, qui cherche depuis quelque temps déjà les appuis financiers nécessaires qui lui permettraient de rénover l’abbaye d’Oka, ce déménagement s’avérerait donc profitable pour les deux parties.
«Je vous réitère mon offre afin que la CSSMI vienne s’y installer à la fin de votre bail actuel, et ce, pour la moitié des coûts, écrit M. Quevillon dans sa missive à l’intention de Mme Fortier. Il nous ferait un grand plaisir de vous accueillir dans notre municipalité et ainsi faire sauver plusieurs millions de dollars aux contribuables, sur une période de 10 ou 20 ans, comme bon vous semble.» 
<h3>De 1,2 M$ à 600 000 $</h3>
Le montant actuel du bail de la CSSMI, qui occupe deux étages complets d’un immeuble qui en compte six, s’élèverait, selon nos sources, à près de 1,2 million de dollars par année. À l’Abbaye d’Oka, on serait prêt à leur offrir la même superficie pour quelque 600 000 $ annuellement.
«Dans l’éventualité où la CSSMI évoquerait les travaux importants à réaliser à l’abbaye pour justifier un refus de s’y installer, d’ajouter Pascal Quevillon, même si elle devait payer deux millions de dollars pour la réalisation des travaux, les contribuables économiseraient encore des millions de dollars sur un bail de 10 ou 20 ans!» 
À la CSSMI, mise au fait de cette proposition, on s’est contenté de répondre que «l’analyse pour le renouvellement du bail en 2021 sera amorcée l’an prochain» , avant d’ajouter que «aucun autre commentaire ne sera émis sur la proposition du président de l’Abbaye d’Oka.» 
<h3>L’UPAC s’y est intéressé</h3>
Rappelons que quelques semaines avant la fin de l’année 2016, l’UPAC (Unité permanente anticorruption) avait analysé le bail signé entre la CSSMI et Beauward, propriété de Marc Bibeau, après que Lino Zambito, vedette de la commission Charbonneau, eut fait état de son intervention dans ce dossier dans son livre Le Témoin, publié en novembre 2016.
Au chapitre 14 de ce bouquin, en page 211, M. Zambito parle d’un appel qu’il dit avoir reçu de Marc Bibeau, «un matin de juin 2009» pour l’inviter à luncher. Il décrit celui qu’il a finalement rejoint vers 12 h 30 au restaurant Calvi du Centropolis de Laval, comme «le grand responsable du financement du Parti libéral du Québec (PLQ)» et comme un homme d’affaires actif dans les Basses-Laurentides.
«En plus d’être le principal actionnaire d’une grande entreprise de fournitures de poutres de béton [Schokbéton], écrit Lino Zambito, il [Marc Bibeau] possède également d’importants actifs immobiliers dont il loue les espaces. Il est notamment propriétaire de l’immeuble où loge la CSSMI.» 
Plus loin, Lino Zambito raconte en détail cette rencontre avec Marc Bibeau, dont voici un extrait.
«Il [Bibeau] m’informe d’entrée de jeu qu’il a un service à me demander. Il m’explique que les dirigeants de la CSSMI, qu’il souhaite voir renouveler leur bail pour dix ans, hésitent à le faire et songent à acquérir leur propre édifice. […] Il aimerait que je fasse jouer mes contacts. […] L’assemblée générale de la Commission scolaire avait lieu le 23 juin en soirée. La décision fut prise par résolution de renouveler le bail avec Bibeau. Le lendemain, jour de la St-Jean, j’appelle Marc Bibeau pour l’informer du renouvellement du bail. Merci, me dit-il. Si jamais je peux faire quelque chose pour toi, n’hésite pas.» 
Questionné à ce sujet par Le Devoir, Marc Bibeau avait alors répondu, par le biais de ses avocats, que ces allégations étaient «dénuées de tout fondement» et que les événements décrits par Lino Zambito «n’avaient jamais eu lieu» . 
À la CSSMI, on s’était alors défendu qu’il y ait eu quelconques pressions politiques afin de demeurer dans l’immeuble du boulevard Arthur-Sauvé et qu’il était par ailleurs plus avantageux, financièrement, d’y rester (voir autre texte en page 5).
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Le Syndicat de la relève agricole Laurentides-Outaouais (SRALO) s’est réuni en avril dernier, pour fêter la 3e édition de la journée provinciale de la relève. Une trentaine de jeunes se sont donné rendez-vous en milieu de matinée, pour visiter l’entreprise agricole Les Serres Stéphane Bertrand, à Mirabel. Puis, direction la cabane à sucre Les Deux Têtes de Cochon, pour se sucrer le bec! En plus de cette belle journée, Laurence Archambault, membre du SRALO, a remporté le concours photo provincial de la journée de la relève, organisée en partenariat avec Desjardins Entreprise.

La CSSMI approchée par l’Abbaye d’Oka pour y déménager

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Le chef du Vrai Blainville – Équipe Perreault et maire de Blainville, Richard Perreault, a confirmé le 26 avril dernier la nomination de deux candidats en vue de la prochaine campagne électorale. Ainsi, Stéphane Dufour, citoyen engagé dans sa communauté, défendra les couleurs du parti dans le district de la Côte-Saint-Louis, tentant de succéder au conseiller Alain Portelance qui en est à son troisième et dernier mandat. Aussi, la conseillère du quartier Chante-Bois, Nicole Ruel, sera de nouveau candidate. Richard Perreault était très fier de ces annonces.
Stéphane Dufour 
C’est un citoyen impliqué dans la Corporation des Roseaux-sur-le-Lac qui briguera les suffrages dans le district de la Côte-Saint-Louis, Stéphane Dufour veut mettre à contribution son leadership et ses talents de négociateur au service des citoyens. «Ces qualités me seront très utiles pour apporter à l’Équipe Perreault une énergie et une vision renouvelée. Je sais coordonner des projets et les mener à terme en travaillant de concert avec mes collègues. Je sais aussi ce que signifie gérer selon les priorités, des attributs essentiels pour quiconque aspire à exercer une fonction publique. Surtout, j’ai à cœur la satisfaction de mes concitoyens et je souhaite mettre à contribution des solutions et des réponses adaptées à leurs besoins», a mentionné le nouveau candidat.
De son côté, Richard Perreault s’est réjoui de l’arrivée de ce candidat qui correspond à la nouvelle génération de Blainvillois: «Engagé dans sa communauté et longtemps impliqué dans le baseball mineur à Blainville, Stéphane défend quotidiennement les intérêts de ses concitoyens en s’assurant de répondre à leurs besoins. Il représente très bien le Blainville d’aujourd’hui: jeune père de famille, impliqué, proche de son monde et très intéressé aux dossiers qui préoccupent les citoyens de son quartier.»
Professionnellement, Stéphane Dufour est chef de la division Interventions et projets spéciaux au Service de sécurité incendie de la Ville de Sainte-Thérèse. Richard Perreault a tenu à préciser que son élection ne créerait pas de problème d’éthique et que Stéphane Dufour a obtenu l’aval de son employeur.
Nicole Ruel 
La conseillère du district Chante-Bois, Nicole Ruel, était heureuse d’annoncer son retour. Elle s’est dite fière de son bilan, tant dans le quartier qu’à titre de présidente de la commission du développement durable et communautaire: «J’ai été heureuse de participer au virage vert entrepris par notre administration ces dernières années. Je suis fière que Blainville protège maintenant 40 % de son territoire constitué de milieux naturels. Au cours des dernières années, nous avons donné ou redonné aux Blainvillois des espaces naturels de très grande valeur. Je pense au boisé du Parc équestre, au boisé du Plan Bouchard, et au boisé des Lacs Fauvel qui sera inauguré cet été.» 
«J’invite donc les Blainvilloises et les Blainvillois à se joindre au Vrai Blainville – Équipe Perreault et à nous appuyer afin qu’ensemble, nous puissions assurer à Blainville cette qualité de vie qui fait notre renommée», a conclu le chef du Vrai Blainville – Équipe Perreault, Richard Perreault.

Défi des Cubes énergie: l’école Gabrielle-Roy bougera en mai