«Pour côtoyer M. Poirier depuis plusieurs années, je sais le CISSS toujours entre bonnes mains. Au nom des membres du conseil d’administration et du comité de direction, je tiens à lui offrir toutes mes félicitations. Cela signifie que nous bénéficierons à nouveau de son expertise en gouvernance, de son leadership qui a fait ses preuves ainsi que de son engagement envers notre CISSS. M. Poirier est de plus pourvu de belles valeurs humaines, ce qui est un atout dans un milieu comme le nôtre.» 
Le mandat de M. Poirier, renouvelé depuis le 30 septembre dernier, aura une durée de trois ans. Membre du conseil d’administration de l’organisation depuis 2015, soit depuis le tout début de la mise en place des CISSS et des CIUSSS à travers le Québec, André Poirier a su acquérir au fil du temps une excellente connaissance du CISSS des Laurentides et des besoins de la population de la région.

«Après toute une vie passée à aider et soutenir leurs proches, nos ainés méritent davantage de soutien et une meilleure qualité de vie. Nous promettons d’en prendre soin et d’en faire davantage pour eux, car chacun d’eux le méritent bien», a affirmé Marie Claude Fournier.
«Nos ainés sont ce que nous avons de plus précieux et nous devons les soutenir comme il se doit et leur donner des meilleurs soins et plus d’attention. J’ai beaucoup discuté avec eux et nous avons la responsabilité de leur rendre la vie agréable», a déclaré Maikel Mikhael.
«L’apport qu’ils ont dans la société est non négligeable et plusieurs s’investissent dans notre communauté ainsi qu’auprès de leurs petits-enfants. Pour aider nos ainés à améliorer leur vie de tous les jours, c’est important d’être là pour eux», s’est exclamé Sylvie Fréchette.
Visite de centralee d’appels
Pour joindre les paroles aux gestes, les candidats sont allés sur le terrain pour constater les importants défis quotidiens vécus par nos ainés lors de visites de Centrale d’appels pour l’ensemble du territoire des Laurentides et de Lanaudière, situé dans les Basses-Laurentides. Ces visites aux différents centres de répartition des appels d’urgence leur aura permis de comprendre encore davantage les besoins de nos ainés et de parler avec quelques-uns des répartiteurs d’appels d’urgence aux premières lignes des services d’intervention d’urgence auprès des aînés et de la population en général. Pour des raisons de sécurité et de confidentialité, ces centres ne sont pas identifiés.
Tout au long de la campagne, nos trois candidats ont constaté que les valeurs du Parti Conservateur correspondent très bien à ce que recherchent nos ainés.
&#8211; Un accès à des soins de santé de qualité, peu importe leur capacité de payer;
&#8211; Des délais d’attente aux services de santé au minimum possible;
&#8211; Une qualité de vie améliorée et des services de santé universels;
&#8211; Des soins à domicile plus efficaces et disponibles;
&#8211; Le droit légitime de pouvoir demeurer chez eux, dans leur maison ou leur logement;
&#8211; Des incitatifs fiscaux pour les aidants de nos ainés.
Le Parti Conservateur, tout comme les ainés l’ont fait toute leur vie, préfère vivre selon ses moyens tout en protégeant la qualité de vie des ainés. Car elles et ils le méritent plus que tout et qu’ils devraient avoir un accès raisonnable à des soins de santé opportuns et de qualité, peu importe leur capacité de payer.

Les aînés de la région sont une priorité pour les candidats conservateurs

Rappelons que le projet de loi no 40 modifiant principalement la Loi sur l’instruction publique relativement à l’organisation et à la gouvernance scolaire prévoit doter le réseau scolaire québécois d’une gouvernance moderne, efficace et plus près des besoins des élèves.
Ce projet de loi permettra notamment de réduire la bureaucratie et de dégager des économies d’environ 45 millions de dollars sur quatre ans; de dépolitiser la gouvernance scolaire; de donner davantage d’autonomie aux écoles et de rapprocher la prise de décision de celles et ceux qui connaissent les élèves par leur nom; d’assurer une gestion optimale des ressources qui sont investies dans le réseau scolaire public.
Fin des commissions scolaires
Le projet de loi prévoit une décentralisation importante de la prise de décision vers les écoles. Il prévoit également l’abolition des élections scolaires et la fin des commissions scolaires telles qu’on les connaît actuellement pour les transformer en centres de services scolaires (CSS), qui fourniront des services essentiellement administratifs aux écoles situées sur leur territoire.
«Le projet de loi que nous présentons aujourd’hui est fidèle aux engagements que nous avons pris. Nous modernisons la gouvernance scolaire en nous inspirant des meilleures pratiques. En un an, nous avons fait plus, beaucoup plus pour notre réseau scolaire. Il est maintenant temps de faire mieux et de doter notre réseau d’une gouvernance digne du 21e siècle. Après des années d’attente, nous remettons enfin les écoles entre les mains de nos communautés», a déclaré le ministre Jean-François Roberge.
De son côté, Lucie Lecours, députée de Les Plaines, a ajouté : «En appuyant la réforme de la gouvernance scolaire, on remet les décisions qui concernent les élèves dans les mains de ceux qui les connaissent le mieux, c’est-à-dire le personnel scolaire. C’est ajouter une merveilleuse touche d’humanisation à notre système scolaire, tout en s’assurant d’une gouvernance qui soit moderne, efficace et à la proximité des élèves. Jumelé à l’opération Grand rattrapage, on ne pourra qu’être fier de notre système scolaire québécois et des résultats qu’il produira.»

CISSS des Laurentides: Un mandat renouvelé à la présidence du C.A. pour André Poirier