Mais pourquoi le cancer du sein?
«Parce que ma grand-mère a eu le cancer du sein», explique la jeune fille.
«Effectivement, ma mère a eu un diagnostic de cancer du sein à un stade très avancé à l’âge de 42 ans, continue la mère de Florence, Brigitte Bérard. Elle est l’une des miraculées puisqu’elle a reçu de la médication et non le placebo. Il a fallu cinq ans de chimiothérapie et l’ablation d’un sein, mais elle en est complètement guérie. Aujourd’hui, elle est âgée de presque 80 ans et elle est en parfaite santé.» 
Pour sa grand-mère
Pour Florence, témoin de cette histoire, c’est en l’honneur de sa grand-mère qu’elle s’est impliquée dans la campagne de financement «Oser le donner». En 2013, la jeune fille a ramassé 597 soutiens-gorge et l’année dernière, elle en avait plus de 2 200.
De plus, Florence reçoit de l’aide d’une survivante du cancer qui lui apporte quelques centaines de soutiens-gorge supplémentaires lors du grand ramassage.
«Nous avons des boîtes roses conçues pour la campagne de financement. Elles sont disponibles dans plusieurs endroits comme des épiceries, et dans les centres de dépannage de Saint-Janvier, Blainville, et Saint-Jérôme, explique la maman. Et jusqu’à maintenant, nous avons amassé 1 300 soutiens-gorge.»
Décompte
Alors que la campagne s’amorcera sous peu, Brigitte et Florence ont déjà commencé à compter un par un les soutiens-gorge qui leur ont été donnés.
«On fait le décompte et puis on les met dans de gros sacs en attendant le grand ramassage. On espère se rendre autour de 2 000», souhaite Brigitte Bérard.
Pour des dons à Florence, on peut joindre sa maman par courriel à brigitte_berard@hotmail.com.
Créée en 2008 par la station de radio Rouge FM, la campagne de financement «Osez le donner» s’échelonnera du 20 mai au 9 juin 2016. Pour chaque soutien-gorge, 1 $ est remis à la Fondation. Depuis 2008, plus de 1 million de dollars ont été versés à la Fondation du cancer du sein du Québec.

Campagne de financement annuelle «Oser le donner»: pour sa grand-mère: Florence, 12 ans, amasse des soutiens-gorge 

La mission de Montréal International est d’agir comme moteur économique du Grand Montréal et d’y attirer les investissements étrangers, les organisations internationales et les talents stratégiques. Madame Cordato dispose d’une solide expérience dans le domaine du développement économique, ayant notamment présidé la Société de développement économique de Thérèse-De Blainville (SODET). Elle apportera une expertise précieuse au conseil ainsi que le point de vue de la Couronne Nord de Montréal, une région qui connaît et connaîtra un des plus forts taux de croissance démographique et économique de la Grande région métropolitaine de Montréal.
Créé en 1996, Montréal International (MI) est issu d’un partenariat privé-public. Le conseil d’administration accueille donc des membres représentant le secteur privé et le secteur public. L’organisme à but non lucratif est financé par le secteur privé, les gouvernements du Canada et du Québec, la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et la Ville de Montréal.
Mme Cordato succède ainsi à Ramez Ayoub qui avait quitté ses fonctions après son élection à titre de député à la Chambre des communes du Canada.

Marlene Cordato siègera sur le conseil de Montréal International

UBUNTU
UBUNTU signifie«Je suis ce que je suis, grâce à ce que nous sommes». C’est un principe, une philosophie de vie qui vient des Zoulous et qui se veut une incitation réciproque d&#8217;un partage qui construit mutuellement les êtres.
Ainsi, c’est le 22 septembre que l’on pourra voir à ICI tv la toute première émission produite par Geneviève Young devant un public de 500 personnes et qui traitera de la création.
«Chaque émission aura sa thématique. Pour la première, je m’entretiendrai avec Louise Portal. Je veux avoir avec elle une discussion profonde sur la créativité, explique l’animatrice. Nous allons aussi avoir des jeunes de 16 et 17 ans du Collège Sainte-Anne qui sont allés sur les cinq continents et qui ont réalisé un reportage sur la thématique de notre première émission.»
Tous ensemble
Parce que la collaboration de tous est essentielle, une œuvre collective sera réalisée avec l’artiste Cindy Daoust et les participants qui assisteront à l’enregistrement de l’émission. Ces derniers recevront un petit morceau de bois qu’ils peindront selon leur goût. Une fois terminés, ils serviront au montage d’une œuvre circulaire de six pieds de circonférence qui sera installée comme élément de décor sur le plateau.
«À chaque tournage, nous aurons une œuvre différente», spécifie Mme Young.
Quant au magazine UBUNTU, il sera créé conjointement pendant les tournages et offert gratuitement au public.
«Les gens qui souhaitent écrire des articles en profondeur vont pouvoir le faire, explique l’animatrice et productrice, le mot d’ordre est profondeur, car c’est cette lignée-là que je souhaite emprunter. Nous allons avoir également des entrevues de fond avec nos partenaires.»
Il faut savoir qu’une équipe de 70 personnes collaborent à la réalisation de l’émission et du magazine.
«C’est la vente des billets qui paie une partie de la production télé ainsi que des partenaires qui aident à payer l’équipe. C’est un financement collaboratif.»
Sainte-Thérèse
La première émission sera enregistrée au Centre culturel et communautaire Sainte-Thérèse, le samedi 14 mai. Toutefois, dès 9 h, les spectateurs sont invités à participer à des ateliers le matin ainsi qu’à l’œuvre collective. Un dîner suivra, puis un spectacle de danseurs zoulous. Le tournage devant public débutera tout de suite après.
Les billets sont en vente au coût de 40 $. Par contre, l’émission affiche complet pour le 14 mai. Des billets sont en vente pour celle du 11 juin. On s’en procure via le site Internet [www.ubuntucreation.com/].