Cette initiative s’ajoute aux programmes existants de la Société de développement économique Thérèse-De Blainville (SODET). Comme le rappelle le maire Richard Perreault, « l’une des conditions du développement économique à Blainville, c’est d’abord des conditions propices à la venue de commerces, d’industries et d’entrepreneurs. Ce programme d’aide financière de 100 000 $ s’adresse aux jeunes entrepreneurs venus s’établir à Blainville ainsi qu’aux entreprises déjà établies et qui souhaitent se développer. Il prendra fin lorsque les sommes seront épuisées ».
À propos du programme 
Le Programme d’aide financière à l’entrepreneuriat de la Ville de Blainville vient en aide aux entreprises qui souhaitent se développer ou s’établir à Blainville. Concrètement, sur recommandation de la SODET, la Ville octroie l’aide financière par résolution du conseil et la verse directement à l’entreprise soutenue.
Pour en apprendre davantage au sujet de ce programme, il suffit de visiter le [sodet.com]

Blainville octroie une subvention au Poney-Club

«Grâce à l’excellent travail de nos policiers, a déclaré la ministre Thériault, le gouvernement du Québec a pu récupérer ces sommes. La lutte contre le crime ne connaît pas de répit et mobilise les ressources de nombreuses communautés. À mes yeux, leur retourner une partie des fonds amassés est dans l’ordre des choses.»
Ces sommes sont remises dans le cadre du Programme de partage des produits de la criminalité. En effet, les municipalités dont les corps de police ont participé à des opérations menant à la saisie de biens obtenus illégalement ont droit à une partie des sommes récupérées. Ainsi, dans la région des Laurentides, le travail des policiers permet aux autorités locales de récupérer 216,302 $ à Blainville, 13 683 $ à Mirabel, 37 075 $ à Saint-Eustache, 16 820 $ à Deux-Montagnes et 21,692 $ à Thérèse-De Blainville et               
«Le travail de nos policiers mérite toute notre admiration et notre respect. Grâce à leur travail, nos communautés peuvent vivre en sécurité. La lutte contre le crime est essentielle pour le bien de tous et je me réjouis de constater qu’une partie de ces fruits reviendra aux directement citoyens des Laurentides » a affirmé la ministre St-Pierre.
Près de 7 M$ retournés au Québec
Au Québec, quelque 6,9 millions de dollars seront ainsi retournés à des municipalités, à des communautés autochtones, à des corps de police et à des escouades régionales mixtes.
Rappelons qu’en vertu du même programme, 1,25 million de dollars sont remis chaque année à des organismes œuvrant en prévention de la criminalité auprès des jeunes par le ministère de la Sécurité publique et que la même somme est versée au Fonds d’aide aux victimes d’actes criminels par celui de la Justice.

Produits de la criminalité: dix municipalités se partagent 319 173 $ 

«Le projet d’entente pour installer les archives dans la Maison du Citoyen n’est pas viable pour la Société d’histoire. La Ville de Sainte-Thérèse accepte uniquement d’héberger les archives thérésiennes et non pas les archives des autres parties du territoire de l’ancienne seigneurie des Mille-Îles qui correspond au territoire défini dans la charte d’incorporation de la Société d’histoire», affirme M. Charron.
Il ajoute en outre que le maintien de cette exigence municipale obligerait alors la Société d’histoire à opérer deux services d’archives dans deux locaux différents, l’un dans la Maison du Citoyen et un autre ailleurs dans la région «afin d’accommoder ses chercheurs et de poursuivre son travail de mise à jour et de traitement des fonds d’archives.»
La Ville répond
Questionnée à savoir s’il était envisageable qu’elle revienne sur sa décision et accepte les archives des autres Villes de la MRC Thérèse-De Blainville, la Ville de Sainte-Thérèse n’a pas laissé présager cette possibilité.
«Il va sans dire que la Ville souhaitait prioriser l’entreposage d’archives thérésiennes dans cette voûte. Ce faisant, elle s’assurait de conclure une entente qui bénéficiait à l’ensemble de la population thérésienne. Il n’est pas dans la mission de la Ville de recevoir l’ensemble des archives pour les municipalités de la MRC de Thérèse-De Blainville ou des MRC environnantes», écrit-on dans une missive acheminée au journal.
On y ajoute que la Ville avait offert à la Société d’histoire l’aide d’une consultante-archiviste pour faire l’inventaire du contenu des archives, évaluer l&#8217;aménagement d’un système de rayonnage, la capacité de la voûte et une estimation des coûts pour cette opération.
«Sainte-Thérèse aurait payé les 5 500 $ que représentait le coût du rayonnage, auquel se seraient ajoutés les frais de déménagement. Le travail de la consultante-archiviste aurait permis d’identifier les archives pertinentes à notre municipalité», précise-t-on tout en indiquant que «cette offre de la Ville était assortie de conditions identiques à celles de l’accord conclu avec le Collège Lionel-Groulx pour l’entreposage du fonds du Séminaire de Sainte-Thérèse à la Maison du Citoyen.»
La Ville poursuit en affirmant être demeurée ouverte aux discussions avec l’organisme et qu’une rencontre avec les différentes parties avait d’ailleurs eu lieu au début du mois d’octobre. Lors de cette rencontre, la Ville avait bonifié son offre en incluant la diffusion et la mise en valeur des archives thérésiennes de la SHGMI sur le site Internet de la bibliothèque municipale.
Au moment d&#8217;écrire ces lignes, la Ville n’avait eu aucun retour de l’organisme au sujet de cette rencontre et n&#8217;avait pas non plus renouvelé avec celui-ci le protocole d&#8217;entente, échu depuis le 31 décembre. C&#8217;est d&#8217;ailleurs par le biais des médias qu&#8217;elle a appris que son offre avait été rejetée.
Rappelons que c’est à la demande de la Ville de Sainte-Thérèse de quitter les locaux du Centre J.-Olindo-Gratton au plus tard le 15 juillet, que la Société d’histoire et de généalogie des Mille-Îles s’était alors vu obligée de déménager ses 250 boîtes d’archives, ses bureaux, filières, photocopieur et scanneurs dans deux mini-entrepôts de Boisbriand, fermant ainsi son service régional d’archives qui opérait à Sainte-Thérèse depuis plus de 13 ans.

Société d'histoire: le service des archives déménagé au musée Joseph-Filion