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Débordements de la rivière aux chiens une experte se prononce

Débordements de la rivière aux chiens une experte se prononce

Publié le 26/04/2017

Comme expliquait l’article «Débordements de la rivière aux chiens une experte se prononce» publié dans le Nord Info du 15 avril, 2017, l’experte hydrologue avait tenté d’expliquer le phénomène de cette rivière aux Chiens qui comme beaucoup de rivières peuvent en tout temps débordées de leurs lits et ce peu importe cette pensée magique humaine qui arrive à penser autrement. Même les compagnies d’assurances comprennent ce phénomène à risque qu’elles ne veulent plus assurer. Les propriétaires d’antan et aujourd’hui à la recherche de beaux sites sur le bord d’une rivière ou d’un fleuve prenaient à l’époque et prennent encore des risques à bâtir des résidences près des rivières et des fleuves et auraient intérêt à lire l’article précité de cette experte hydrologue. Selon son essaie,  l’étalement urbain près des rivières ont grandement augmenté ce risque que les crues d’eau ne puissent pas être absorbées aussi rapidement dues à un débordement. Ainsi les citoyens ont deux choix soit de comprendre la science ou de comprendre la nature des rivières et des fleuves dont la tâche est d’écouler l’eau vers les océans et ainsi maintenir le cycle hydraulique  dont nous bénéficions tous pour notre eau quotidien. Les barrages humaines ne sont pas un remède à cette étalement urbain et ni pour rationaliser un choix de bâtir près des rivières ou des fleuves mais un pansement temporaire ayant aussi un jour des conséquences comme nous constations aujourd’hui dans le monde où certains fleuves comme le Colorado et autres ne se rendent plus à l’océan. Le mer Aral est un autre exemple de la cupidité et de l’avidité humaine qui ne calcule que les coûts et bénéfices immédiate à court terme ou la gratification immédiate au lieu de penser pour les générations à suivre (ref. Le principe d’utilité de Jeremy Bentam et  Justice chapitre 2 de Michael J. Sandel ). Il est temps que les conseils des villes et les MRCs apprennent à dire non c’est non aux citoyens qui veulent bâtir près des rivières et des fleuves et ainsi éduquer leurs citoyens sur la nature des eaux et des risques d’inondation. Être furieux contre mère nature est un non sens typiquement moderne et où rien ne changera dans les lois de la nature.

Brian Szczepanik

Rosemère, Q.C.

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