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Publié le 03/12/2020

Nous en faisions mention à la une de ce journal, la semaine dernière, la banque alimentaire Moisson Laurentides vient de lancer, avec sa Grande Guignolée 2020, sa plus importante activité annuelle de financement et de collecte de denrées. À la demande de l’organisme, nous prenons la peine de vous rappeler que cette campagne se tient et se tiendra tout le mois de décembre et, jusqu’à la fin janvier, de façon virtuelle. C’est donc dire qu’en aucun cas la population ne sera directement sollicitée. Autrement dit, si vous arrivez à une intersection et qu’on agite l’habituelle tirelire de Moisson Laurentides, que l’on sonne une cloche ou qu’on joue de la trompette, détrompez-vous, vous n’aurez pas affaire à des bénévoles de Moisson Laurentides. La vigilance est donc de mise. Il y a différentes façons de contribuer à cette campagne organisée notre banque alimentaire, laquelle achemine des denrées à quelque 106 organismes qui, chaque mois, parviennent à nourrir 20 763 personnes, dont le tiers sont des enfants. Voyez comment vous pouvez contribuer en vous rendant au [www.moissonlaurentides.org]

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Administré par l’Agence du revenu du Canada et Revenu Québec, le Service d’aide en impôt est présentement à recruter des organismes communautaires et des bénévoles qui accepteraient d’offrir une aide bénévole à des citoyens dans le besoin, lorsque se présentera la période des impôts. Beaucoup de ces personnes éprouvent de la difficulté à s’acquitter de cette obligation et n’ont pas nécessairement les moyens d’avoir recours à des services professionnels. Vous pourriez donc les aider à obtenir les prestations et les crédits d’impôt auxquels elles ont droit. À noter que les organismes participants pourront offrir cette aide virtuellement, ou encore par téléphone, sinon en utilisant un système d’enveloppe adapté aux mesures sanitaires. Une formation en ligne est prévue. Pour en savoir davantage, il suffit de vous rendre au [revenuquebec.ca/benevoles]. L’an dernier, 144 000 personnes ont fait appel à ce service. En raison de la pandémie, on s’attend à ce que nombre soit à la hausse.