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Littérature jeunesse: les préférés de <em>Lancemot</em>

Nous retrouvons ici Stéphane Legault, président du Regroupement des bibliothèques publiques de la région Laurentides-Laval-Lanaudière, flanqué de la mascotte Frisson du Club des aventuriers du livre, ainsi que du propriétaire de la Librairie Sainte-Thérèse, Luc Lavoie, et Lise Goyer, directrice des ventes chez Scholastic Canada.

Littérature jeunesse: les préférés de Lancemot

Publié le 26/10/2012

Le concours Lancemot est un prix décerné par les jeunes lecteurs de 7 à 14 ans, dans le cadre du Club des aventuriers du livre, un programme destiné aux bibliothèques publiques afin de promouvoir la boulimie littéraire.

Et cette année c’est le livre Enfin, te voilà, de l’auteure Mélanie Watt, qui remportait la palme, avec quelque 800 votes gagnants. L’histoire interpelle le jeune lecteur et son auteure, qui est aussi illustratrice, a également publié les séries Frisson l’écureuil et Chester, aux éditions Scholastic.

En seconde place venait le livre intitulé Vrai de vrai, Papi?, de l’auteure Émilie Rivard, illustré par Anne-Claire Delisle aux éditions Bayard. Le petit Louis tentera de faire revivre les personnages que son grand-père – en perte de mémoire – inventait autrefois, afin de lui redonner son sourire.

En troisième lieu venait le livre Prince Olivier et le dragon, de l’auteure Caroline Merola qui a illustré une quarantaine de livres, en plus de se faire auteure. Usant d’un subterfuge pour tromper le dragon et libérer ses sœurs, Olivier montrera aux jeunes lecteurs la voie des mots pour régler les conflits.

Le concours Lancemot existe depuis 1985 et il aura rejoint plus de 85 000 enfants qui ont ainsi dévoré plus d’un million de livres. Cette année, ce sont 1 712 lecteurs qui ont pris part au scrutin et les auteurs et illustrateurs se partagent une bourse de 1 000 $.

La remise avait lieu à la Librairie Sainte-Thérèse en compagnie du propriétaire Luc Lavoie, qui nous laissait savoir que le conflit étudiant fut désastreux pour les libraires, surtout lorsqu’on est à deux coins de rue du collège Lionel-Groulx.

Mais les jeunes lecteurs, eux, n’ont pas fait la grève et il suffit de voir les rayons remplis de nouveautés qui leur sont destinées pour constater toute la vigueur de la littérature jeunesse.