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Notes du calepin – Semaine du 17 février 2016

Notes du calepin – Semaine du 17 février 2016

Publié le 16/02/2016

Dans le cadre des soirées Contes et légendes du Patriote, il sera possible, ce samedi 20 février, de découvrir Joujou Turenne, une conteuse d’origine haïtienne. Aujourd’hui installée au Québec, Joujou Turenne est reconnue comme une humaniste et une artiste du verbe. Les mots, dit-on, courent dans sa bouche et jaillissent en cascades de poésie, de contes, de rythmes, de chants, de souffle. Celle-ci se dit inspirée par ses ancêtres africains, ses parents caribéens, les mille textures du Québec et des quatre coins du monde. Pour cette soirée Contes et légendes du Patriote, la conteuse a choisi deux récits poétiques. On pourra l’entendre à la Maison du citoyen, située au 184, rue Saint-Eustache, à Saint-Eustache, dès 19 h 30. Rappelons que ces soirées Contes et légendes du Patriote, qui se déroulent une fois par mois, sont l’occasion de découvrir des porteurs d’histoires provenant d’un peu partout dans la francophonie. Le coût d’entrée est de 15 $, incluant un léger goûter et des tirages. Il est possible de réserver sa place par courriel, à l’adresse contesdupatriote@gmail.com, ou encore visitez la page Facebook de l’événement au [www.facebook.com/contes.legendes.patriote].

 

Si vous lisez vos hebdos L’ÉVEIL et LA CONCORDE régulièrement, le nom de l’artiste peintre d’origine française Marion H. Gérard ne vous est certainement pas inconnu puisqu’il a été question d’elle dans plusieurs de nos reportages. Celle-ci a, par le passé, présenté ses toiles à Saint-Eustache, où elle réside, mais aussi à Montréal, à Toronto, en France, dont au Carrousel du Louvre, à Paris, en Espagne, en Belgique et en Tunisie. Ces derniers jours, Mme Marion a eu l’occasion de parler de sa nouvelle passion avec l’animateur Denis Lévesque dans le cadre de l’émission qui porte son nom et qui est diffusée à TVA et à LCN. Cette nouvelle passion, c’est la peinture subaquatique, à laquelle elle s’adonne depuis quelques années. Il s’agit de peindre à plusieurs dizaines de mètres sous l’eau et à immortaliser ce qu’elle voit, comme, par exemple, des épaves de bateaux ou en encore des paysages sous-marins. Ce qui n’est pas, on le devinera, donné à tout le monde, compte tenu non seulement du fait que l’on est sous l’eau, mais aussi de la technique de peindre sous l’eau. L’une des œuvres subaquatiques de cette adepte de la plongée sous-marine a d’ailleurs été acquise en 2015 par la Ville de Saint-Eustache pour sa collection permanente. Pour visionner cette entrevue fort intéressante, il suffit de se rendre au [http://mariongerard.com].