La Place des jeunes de Rosemère a été inaugurée, le 15 septembre, en présence d’élus municipaux de la Ville et de participants au projet, lequel a été terminé après trois mois d’attente et de travaux. En ce sens, des citoyens, dont plusieurs jeunes, skates et trottinettes à la main, ont pu essayer le planchodrome fraîchement installé à l’extrémité du parc Charbonneau. 
Les jeunes Rosemèrois étaient au rendez-vous, roulant et effectuant des figures avec leurs engins à roulettes. D’autres résidants étaient attroupés sous l’abri de l’aire de repos aménagé en cas d’intempérie ou pour se reposer à l’ombre. Sur place, il y avait de la nourriture servie et de la musique pour ajouter à l’ambiance festive qui régnait. 
Les convives étaient invités à entendre les allocutions de la mairesse de Rosemère, Madeleine Leduc, et du président de la Corporation de développement culturel et sportif de Rosemère (CDCSR), Fernand Proulx. Notons également la présence de Guylaine Richer, Marie-Andrée Bonneau et Normand Corriveau, conseillères et conseiller à la Ville de Rosemère. 
«Nous sommes très heureux d’ouvrir officiellement cette Place des jeunes, pour vous tous. Nos jeunes ont maintenant un espace extérieur bien à eux, sécuritaire et accessible, avec beaucoup de verdure, puisqu’il fait partie du parc Charbonneau. Il s’agit de notre parc central intergénérationnel et à vocation familiale à Rosemère» , de déclarer la mairesse. 
«Cet espace reflète les besoins et les goûts de notre jeunesse. En ce sens, nous avons invité de jeunes Rosemèrois à participer à son élaboration grâce à des consultations et à des groupes de discussion. La Place est donc conçue à l’image des citoyens qui la fréquenteront.» 
<h3>Une participation de la CDCSR</h3>
Fernand Proulx a ensuite pris la parole pour remercier les résidants présents à l’inauguration, pour vanter, du même souffle, le résultat qui découle du partenariat entre la CDCSR et la Ville de Rosemère. 
«Lors du dépôt du dossier, en décembre dernier, nous nous sommes empressés de donner notre accord pour participer au projet, à hauteur de 50 %. Sur 700 000 $, nous avons contribué avec une somme de 350 000 $. Il ne s’agit pas de notre première collaboration avec la Ville de Rosemère. Notre mission est de redonner à la communauté rosemèroise. Avec ce projet, nous redonnons aux jeunes de Rosemère» , de déclarer le président de la CDCSR
Au final, les jeunes et les adultes téméraires étaient conviés à des cours de skate sur place, jusqu’à 18 h, pour ensuite avoir l’occasion de participer à une compétition amicale. L’équipement et l’aide de formateurs étaient offerts pour aider les moins expérimentés et ceux qui désiraient tenter l’expérience de rouler sur le pavé neuf du nouvel endroit.

Un endroit où se reposer, rouler et se faire des amis

À l’approche de sa deuxième campagne électorale à titre de candidat à la mairie, le chef du Vrai Blainville – Équipe Perreault et maire de la Ville de Blainville, Richard Perreault, a tenu à rappeler les grandes lignes de son bilan administratif depuis 2013, un bilan qu’il qualifie «d’exceptionnel» . 
Richard Perreault estime en effet que sa formation politique, inspirée des suggestions recueillies des citoyens rencontrés lors du porte-à-porte, a réalisé la presque totalité de ses engagements de la précédente campagne. 
«Depuis 2013, dit-il, nous avons livré la marchandise. Nous avons su maintenir les taux de taxation à des niveaux qui respectent la capacité de payer des contribuables, nous avons amélioré notre qualité de vie et la qualité de nos services, tout en stabilisant notre endettement. Plus que jamais, Blainville se positionne comme ville de la famille au Québec et au Canada, mais aussi comme ville où il fait bon vieillir» , a déclaré le chef Richard Perreault, rappelant qu’il a dû jongler, au cours de ce mandat, avec un contexte difficile où le gouvernement du Québec a coupé dans les transferts aux municipalités et où les différentes tarifications et quotes-parts (collecte des ordures, transport en commun) ont augmenté. 
<h3>Qualité de vie et qualité des services</h3>
Pour Richard Perreault, il est clair que la qualité de vie et la qualité des services ont été bonifiées sous son administration. 
«Nos efforts ont porté fruit. Qu’il s’agisse de la bibliothèque Paul-Mercier, de la garde en caserne 24 h sur 24 h, de la protection de 40 % de notre territoire constitué de milieux naturels ou de la construction de nouveaux plateaux sportifs, nous avons toujours en tête la qualité de nos services aux familles» , a insisté le maire actuel, rappelant que l’aménagement des boisés des lacs Fauvel, du Plan Bouchard et du Parc équestre, la construction d’un stationnement pour les usagers blainvillois du train de banlieue, la poursuite des grands projets: Quartier de la Gare, Chambéry, Sortie 28, les aménagements dans les parcs, les améliorations à l’aréna, la diminution des pannes électriques récurrentes et un contrôle de l’endettement qui a permis de diminuer la dette de 3,8 M$ depuis 2013 font également partie des réalisations de son parti. 
«Nous n’avons jamais hésité à prendre des décisions difficiles dans l’intérêt général des Blainvilloises et des Blainvillois. Nous avons démontré notre compétence à bien gérer les fonds publics et ce qui nous importe, c’est la confiance exprimée par la population» , a indiqué M. Perreault, confiant d’être réélu le 5 novembre au même titre que les membres de son équipe du Vrai Blainville. 
<h3>Trois candidats recrues</h3>
Au total, en plus du maire Richard Perreault qui sollicite un deuxième mandat à titre de premier magistrat de la Ville, quatre femmes et six hommes brigueront les suffrages dans les dix quartiers de Blainville, dont trois recrues qui tenteront de se faire élire une première fois, soit Stéphane Dufour dans le district de la Côte-Saint-Louis, Jean-François Pinard dans Notre-Dame-de-l’Assomption et Stéphane Bertrand dans le district d’Alençon. Quant à Michèle Murray, conseillère élue sous la bannière du Parti de l’Action civique en 2003 et en 2005, elle fait un retour avec l’Équipe Perreault dans le district de la Renaissance. Les conseillers Liza Poulin (Fontainebleau), Serge Paquette (Saint-Rédempteur), Guy Frigon (du Plan-Bouchard), Nicole Ruel (Chante-Bois) et Marie-Claude Collin (du Blainvillier) sont tous de retour. 
«Nous sommes la seule équipe qui affiche complet depuis le printemps dernier. Encore, je reçois des CV de candidats potentiels qui cognent à notre porte pour faire partie de notre équipe. Lorsqu’on doit refuser de belles candidatures, c’est un signe d’une grande force d’attraction pour notre parti» , a conclu Richard Perreault qui invite la population à suivre la campagne en visitant le [<a href="http://vraiblainville.org" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" rel="noopener">http://vraiblainville.org</a>].

dit Richard Perreault

Médéric Cronier se présente en politique municipale à Boisbriand, dans le quartier Dion, pour représenter ses concitoyens et travailler à rendre son district meilleur et plus sécuritaire. Le candidat indépendant voit cette aventure électorale, telle une suite des choses, étant activement impliqué pour la communauté boisbriannaise, et ce, depuis des années. 
M. Cronier a lancé sa campagne avec une épluchette de blé d’Inde, organisée le samedi 9 septembre, pour y inviter ses concitoyens, amis et collaborateurs. Cette semaine, il entreprend ses séances de porte-à-porte, dans son quartier, pour «écouter les citoyens et prendre en note leurs préoccupations.» 
<h3>Des idées en tête</h3>
Le candidat, boisbriannais depuis maintenant 28 ans, a un programme chargé, mais simple et centré sur le citoyen. «Nous avons un parc, mais il n’a pas ce qu’il faut pour les familles et les enfants. Il y a beaucoup de vitesse sur la Côte Sud et la situation est dangereuse pour les résidants et les cyclistes. Je suis membre du conseil consultatif de Boisbriand depuis bientôt 4 ans. Je vois des dossiers passer et je veux améliorer les choses selon mes compétences» , de mentionner M. Cronier. Notons que ce dernier souhaite voir un conseiller résidant dans son district, ce qui n’est pas le cas présentement, selon ses dires. 
«Je veux faire connaître mon quartier. Il est méconnu et il a besoin d’un représentant solide. Nous n’avons pas eu de conseiller résidant dans notre quartier depuis près de 24 ans bientôt.» 
Médéric Cronier souhaite ainsi aider ses concitoyens à vivre dans un environnement meilleur, mais conclut, en souhaitant voir plus de «transparence» à la Ville de Boisbriand, de la part de l’administration en place, dirigée par la mairesse Marlene Cordato.