Après avoir choisi de s’établir dans la ville de Sainte-Thérèse il y a 5 ans maintenant, TVBL se relocalise cette fois-ci dans des locaux répondant davantage à ses besoins : une superficie semblable, mais un studio qui doublera sa grandeur actuelle. Une régie plus vaste permettra à l’équipe de recevoir des techniciens bénévoles désireux d’en apprendre plus sur les rouages de la production télévisuelle.
Avec un aiguilleur en haute définition, sa console de son et ses moniteurs, TVBL pourra offrir une expérience hors du commun à tous les citoyens désirant s’impliquer dans leur télé régionale.
L’ouverture officielle des nouveaux bureaux de TVBL se fera cet automne en grandes pompes! Entre-temps, vous pourrez venir nous saluer dès le début juillet au 33 rue Blainville Ouest, bureau 101.

TVBL relocalisée au centre-ville de Sainte-Thérèse

Classée au 31e rang en 2013 et au 21e rang en 2014, Blainville vient de faire un bond impressionnant de 16 places pour atteindre la 5e position des villes où il fait le mieux vivre au pays, selon le classement annuel du magazine MoneySense. Sur le plan provincial, Blainville arrive deuxième et n’est devancée que par Boucherville, qui a pris la tête du classement. Au total, 209 villes canadiennes ont été évaluées dans 34 catégories, à l’aide de données provenant de Statistique Canada.
 
« De voir notre ville se hisser dans le peloton de tête du classement est un immense honneur, et de savoir que cette nouvelle fait les manchettes à travers le pays est très gratifiant. Cela confirme à quel point Blainville est un modèle  pour sa qualité de vie au Québec, mais aussi à plus large échelle. Il faut dire qu’elle compte de nombreux attraits, dont une offre de service diversifiée dans les domaines des loisirs, du sport, de la culture, etc. », a indiqué le maire de Blainville, Richard Perreault, par voie de communiqué.
 
Blainville, meilleure ville québécoise où élever des enfants
 
Par ailleurs, le magazine MoneySense publie des classements selon des catégories plus précises, notamment le meilleur endroit où élever des enfants. Blainville conserve cette année son titre de meilleure ville québécoise où élever des enfants et fait aussi très bonne figure à l’échelle canadienne, en décrochant la 6e place, derrière des villes albertaines et ontariennes. Comptant une forte proportion de ménages avec enfants et un pourcentage élevé de jeunes de moins de 15 ans, elle est une ville par excellence pour les familles.
 
« Ce classement témoigne de nos efforts des dernières années pour faire de Blainville une ville où il fait bon vivre. La population peut être très fière de sa ville, et clamer haut et fort qu’elle appartient à une Blainville inspirante », a conclu le maire Perreault.

Blainville en 5e place du palmarès des villes où il fait le mieux vivre au Canada

Quatre-vingts personnes ont pris part au rassemblement dans le décor enchanteur du vignoble Les Vents d&#8217;Ange, à Saint-Joseph-du-Lac, propriété d’André Lauzon. Petites bouchées du terroir, vins du vignoble et blagues de l’humoriste ont fait de ce 5 à 7 un succès.
Des parents d’enfants cardiaques ont également fait des témoignages émouvants, comme celui de la Mirabelloise Lyne Riopel, la mère du jeune Samuel Gauthier. Ce dernier a subi une opération à cœur ouvert à 9 mois. «Je remercie la Fondation En Cœur d’être présente pour les parents», a-t-elle dit avec émotion.
«Quand on a appris que notre fille était atteinte de problèmes cardiaques, on a tous les deux mis nos emplois de côté pour s’occuper d’elle. Et des milliers de parents vivent cela», a ajouté avec émoi Samuel Busque, membre du groupe Noir Silence, alors qu’il expliquait comment il a vécu ces bouleversements. Avec André Lauzon, il a interprété la chanson Les petits cœurs, de Manuel Brault.
Le montant amassé a enchanté la directrice générale de la Fondation, Sylvie Gérin-Lajoie. «Avec les 20 000 $ amassés ce soir, nous pourrons offrir 2 000 nuitées au Manoir Ronald McDonald, aux familles», a-t-elle dit. En plus des nuitées au Manoir Ronald McDonald, la Fondation assume également les frais de stationnement de l’hôpital, pour les parents. Soulignons que la Fondation évalue à 880 le nombre annuel de cas d’enfants malades du cœur qui viennent grossir le nombre de familles en détresse.
Pour la docteure Anne Fournier, cofondatrice de la Fondation et cardiologue pédiatrique, la rencontre a été remplie d’espoir. «Ce soir, j’ai revu deux anciens patients que nous avons traités en cardiologie à l’Hôpital Sainte-Justine, il y a une trentaine d’années. Deux jeunes qui exercent aujourd’hui un bon métier. Revoir des patients qui réussissent, c’est le nec plus ultra. Ça justifie ce pour quoi je me lève le matin», explique celle qui dirige aussi la Clinique mobile de cardiologie pédiatrique qui sillonne le Québec.
Et celui qui a instigué la nouvelle section des Basses-Laurentides est l’un d’eux. Thierry Lefebvre, de Mirabel, est notaire et ancien membre du conseil d’administration de la Chambre de commerce et d’industrie de Mirabel. Dès sa naissance, les médecins lui ont découvert une anomalie au cœur.
Aujourd’hui parent de deux jeunes enfants, il a décidé de redonner au suivant. «J’ai été impliqué au sein de la Chambre pendant 10 ans, et en quittant, j’ai ressenti le besoin de contribuer en mettant à profit mes contacts pour une bonne cause», d’expliquer ce dernier.
Soulignons finalement que la section des Basses-Laurentides sera similaire aux comités de Québec, d’Estrie et du Centre-du-Québec. L’organisme des Basses-Laurentides compte faire une ou deux activités par année en vue d’amasser des fonds et continuer de faire battre des cœurs.

Avec l’humoriste Philippe Bond: une soirée-bénéfice de 20 000 $ pour les enfants cardiaques