Les préventionnistes du Service de sécurité incendie de la Ville profiteront de cette
occasion pour aller à la rencontre des citoyens afin de les sensibiliser notamment aux
dangers potentiels d’incendie liés aux feux de cuisson.
Ils tiendront un kiosque d’information à la Place Rosemère (401, boulevard du Curé-Labelle, à Rosemère) le vendredi 13 octobre, de 15 h à 20 h, et le samedi 14 octobre, de 10 h à 16 h, ainsi
qu’au magasin Canadian Tire (10, boulevard Bouthillier, à Rosemère) le dimanche 15 octobre, de 10 h à 16 h.
Si un incendie devait survenir à la maison, en trois minutes le feu et la fumée
pourraient rapidement piéger ses occupants. Les incendies de cuisine sont
majoritairement causés par des erreurs humaines en raison d’un manque de temps ou
d’espace, de la fatigue ou encore d’une distraction.
En moyenne, environ 16 000 incendies surviennent chaque année au Québec. Seulement 42 % des résidences incendiées sont munies d’un avertisseur de fumée fonctionnel.  Il ne suffit pas de tester le signal sonore d’un avertisseur de fumée. Il faut aussi tester sa capacité de détection de la fumée au moins une fois par année. Pour plus d’information, il faut se référer aux normes du fabricant.
Lors d’un début d’incendie, la meilleure chose à faire est d’évacuer l’endroit et d’appeler rapidement le 9-1-1.

&#8220;Étant moi-même citoyen de Rosemère, je peux vous dire que ce projet me tient particulièrement à coeur. J&#8217;aime ma ville et ses espaces verts, son leadership en matière environnementale et ses
nombreux milieux naturels protégés. Je suis fier de pouvoir y ériger un projet de l&#8217;envergure de
Rosenbloom, un projet taillé sur mesure pour les Rosemèrois et Rosemèroises&#8221;, de dire Mario
Dargis, président du Groupe Dargis.
Avec une construction de qualité, misant sur l&#8217;efficacité énergétique et la performance acoustique, la proximité des services et la tranquillité comme cadre, Rosenbloom représente un investissement sûr qui plait autant aux jeunes retraités qu&#8217;aux jeunes professionnels. À preuve, le bureau des ventes a vu défiler quantité d&#8217;acheteurs potentiels depuis son ouverture, signe d&#8217;un intérêt indéniable de la part de la clientèle.
Un projet attendu
Madeleine Leduc a reconnu que Rosenbloom répond aux besoins de ses citoyens qui souhaitent vendre leur propriété et demeurer à Rosemère: &#8220;Il y a des gens de Rosemère qui l&#8217;attendent ce projet-là, parce qu&#8217;ils sont rendus à des âges respectables comme le mien, et qu&#8217;ils voudraient bien s&#8217;éviter la pelouse le samedi!&#8221;
Un mode de vie simplifié, c&#8217;est précisément ce qu&#8217;offrira Rosenbloom. En plus de se voir libérés de la tonte de pelouse et du déneigement, tous deux pris en charge par la copropriété, les résidents de Rosenbloom pourront profiter d&#8217;une piscine, d&#8217;un spa, d&#8217;un sauna et d&#8217;une salle communautaire, le tout intégré à un pavillon central de services, point de rencontre où se détendre et socialiser. Les bâtiments seront munis d&#8217;ascenseurs, de gicleurs, de chutes à déchets et d&#8217;espaces intérieurs de stationnement. Tout a été conçu pour un maximum de confort et de sécurité.
Un emplacement idéal
Le constructeur s’apprête à construire 286 unités d&#8217;habitation sur le terrain de 37 500 mètres carrés qu&#8217;il a acquis au nord de l&#8217;autoroute 640. Limité au nord et à l&#8217;ouest par la rivière aux Chiens, au sud par un couvert végétal composé de milieux humides et d&#8217;arbres matures et à l&#8217;est par un ensemble résidentiel existant, le site possède des atouts naturels incontestables de par la présence de cette bande riveraine protégée riche en espèces végétales.
Bâtiments de quatre et six étages se succèderont de part et d&#8217;autre de la nouvelle voie publique, qui reliera les extrémités ouest des rues de Rosebourg et de Langloiserie. Par souci de respecter la privauté des résidents actuels, seize maisons jumelées viendront s&#8217;adosser au quartier existant et feront face aux bâtiments de quatre étages, sorte de zone tampon vers les bâtiments de six étages.
La firme Ruccolo + Faubert signe l&#8217;architecture de Rosenbloom, qui se définit par des volumes simples et des matériaux comme la brique rouge et la pierre reconstituée. Le choix d&#8217;une architecture classique et sobre vise à assurer l&#8217;intégration des nouvelles constructions au bâti et à offrir aux futurs acheteurs un ensemble résidentiel lié à l&#8217;essence de Rosemère, à son identité.
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Le projet Rosenbloom à Rosemère est commencé

La mairesse de Boisbriand, Marlene Cordato, anticipe un surplus de 1 018 000 M$ pour l’exercice financier 2017. Elle explique cet excédent par «une gestion rigoureuse des finances de la Ville, et ce, sans sacrifier la qualité de vie des Boisbriannais» . 
«Notre saine gestion des fonds publics a permis de rembourser 20 M$ de dette, tout en continuant d’investir dans le bien-être des résidants. Si nous n’avions qu’une chose à retenir de la situation financière, ce serait qu’elle n’a cessé de s’améliorer depuis les huit dernières années» , de mentionner Mme Cordato qui rappelle qu’en 2009, les travaux de l’échangeur 15/640 se chiffraient à 25 M$ et ceux de l’usine d’épuration des eaux à 34 M$. Aujourd’hui, les montants à débourser pour l’échangeur (18 311 600 $) et l’usine (13 215 500 $) représentent une dette de 31 527 100 $. Ainsi, c’est donc un montant de 27 472 925 $ qui a été remboursé, «et ce, en moins de 10 ans» , a tenu à préciser la mairesse de Boisbriand. 
«Je n’ai jamais abandonné ma priorité de contrôler l’endettement, poursuit-elle. Nous avons fait des choix, sans toutefois manquer à notre devoir de bien servir les citoyens. Depuis 2009, le taux d’endettement a diminué de façon constante, sans pour autant affecter la qualité de vie des citoyens.» 
En 2017, l’administration municipale aura aussi procédé à la mise à niveau des parcs de quartier, bonifié l’offre culturelle et introduit la gratuité pour la piscine du Complexe aquatique Saint-Eustache, «des gestes qui ont un impact direct sur le milieu de vie des citoyens» , insiste Marlene Cordato, rappelant qu’en 2017, une somme de 12,8 M$ a été investie, entre autres, dans les parcs et terrains de jeux, la réfection du boulevard de la Grande-Allée ainsi qu’au Service de sécurité incendie.

Surplus budgétaire de plus de 1 M$ à prévoir pour 2017

Les pompiers de Sainte-Thérèse à la rencontre des citoyens

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