« Nous sommes très déçus de perdre un candidat de la qualité de Benoit Trottier, mais nous comprenons très bien les raisons qui motivent sa décision », d&#8217;indiquer le candidat à la mairie, Jean Comtois. « Et malgré cette situation imprévue, mon appui envers l&#8217;équipe Comtois demeure entier », d&#8217;ajouter Benoit Trottier.
Patrick Archambault se présente
Patrick Archambault réside à Lorraine depuis maintenant treize ans avec son épouse et leurs deux enfants. Le candidat est entraîneur de l’équipe de hockey mineur de Lorraine-Rosemère depuis dix ans et de soccer avec l’équipe Adrénaline depuis sept ans. Diplômé de HEC Montréal en administration, en gestion d’entreprises et gestion financière, il occupe le poste de vice-président, ventes et marketing dans une entreprise qui offre des solutions de manutention aux entreprises œuvrant dans le transport intermodal et les transports routiers ou maritimes. « Personne très dynamique qui carbure aux défis », M. Archambault participe également à l’organisation et à la supervision d’évènements caritatifs qui ont notamment permis de verser plus de 100 000 $ à l’organisme Rêves d’enfants. On le retrouve également à la Fondation des Canadiens pour l’enfance.
« Mon intérêt pour la politique et mon amour pour ma ville me poussent à vouloir faire avancer encore plus notre municipalité afin que tout comme moi, de jeunes familles trouvent à Lorraine un endroit de prédilection pour s’épanouir en toute quiétude et surtout, retrouvent le cachet qui m&#8217;a séduit lors de mon arrivée il y a treize ans » de souligner Patrick Archambault, tout en précisant qu’il est un candidat qui ne peut se satisfaire lui non-plus du statu quo ou de la continuité.
Cette dernière candidature complète l’équipe Comtois en vue du prochain scrutin municipal du 5 novembre. « Je suis tellement fier de pouvoir compter sur une telle équipe qui est non seulement enracinée et engagée dans notre communauté, mais également motivée à faire bouger les choses. Patrick Archambault, Diane D. Lavallée, Lyne Rémillard, Martine Guilbault, Pierre Barrette, et Jocelyn Proulx forment mon dream team » d&#8217;ajouter fièrement le candidat à la mairie.
Notons qu’au cours des prochains jours, les membres de l’équipe iront à la rencontre des citoyens de Lorraine pour ensuite mettre la touche finale à son programme qui sera dévoilé très prochainement.

Selon des témoins, le membre du personnel du centre qui s’est adressé aux personnes présentes pour leur expliquer la situation leur aurait tout simplement dit qu’ils ne seraient pas reçus, que la priorité acquise ne pourrait être reconnue lors d’une prochaine visite et qu’il ne servait à rien de revenir le lendemain ou le surlendemain, «que ce ne serait pas mieux car nous manquons de personnel» . On leur a finalement suggéré de se diriger vers le centre hospitalier le plus proche.
Ils ont été nombreux à dénoncer cette situation, en communiquant avec le journal, notamment. Parmi les plaignants, Paul Desrosiers est allé jusqu’à écrire une lettre à l’intention du ministre de la Santé, Gaétan Barrette, dans laquelle il soulève de nombreux questionnements.
Dans cette missive, M. Desrosiers demande, entre autres, au ministre Barrette pourquoi le centre de prélèvement n’est pas équipé d’une génératrice d’urgence, mais surtout, pour quelles raisons on n’y accepte pas les rendez-vous.
«Au début du centre de prélèvements du CLSC à Sainte-Thérèse, on donnait des rendez-vous et cela fonctionnait très bien, avec une attente minimale et très peu d’insatisfaction. Les professionnels des CISSS fonctionnent, sauf exceptions, avec des rendez-vous. Pourquoi pas pour un prélèvement sanguin? » , se questionne ce Thérésien qui s’est aussi dit surpris d’entendre un membre du personnel du centre de prélèvement conseiller aux gens de se rendre à l’hôpital de Saint-Jérôme ou de Saint-Eustache.
«Je ne suis pas allé ni à l’un, ni à l’autre des endroits désignés. J’irai demain dans un centre privé qui m’a donné rendez-vous. Parce que j’en ai les moyens, et que je suis désabusé, je participerai à la médecine à deux vitesses. Est-ce que c’est ce que vous souhaitez, la promotion du privé? » , questionne à nouveau Paul Desrosiers.
Mis au fait des préoccupations émises, le CISSS des Laurentides, par la voix de sa porte-parole, Myriam Sabourin, a d’abord tenu à présenter ses excuses aux citoyens concernés.
«Cette situation a effectivement engendré de l’attente inhabituelle et nous tenons à nous excuser pour les inconvénients causés aux personnes présentes» .
En réponses aux questions soulevées par Paul Desrosiers, Mme Sabourin a ajouté qu’il est vrai qu’il manque actuellement de personnel de remplacement au centre de prélèvement de Sainte-Thérèse et que, a-t-elle précisé, «des efforts sont mis afin d’en recruter pour assurer le service à la population» . 
Quant à la décision de cesser la prise de rendez-vous, Mme Sabourin a d’abord précisé qu’elle revenait au CISSS de Laval qui, depuis avril dernier, dans le cadre du projet OPTILAB, gère le centre de prélèvement de Sainte-Thérèse.
«La Direction OPTILAB Laval, Laurentides, Lanaudière évalue actuellement différentes stratégies qui permettraient de réduire l’attente dans les centres de prélèvement. La prise de rendez-vous est une alternative qui est présentement analysée» . 
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Les patients renvoyés chez eux

Le président d’honneur, M. Ramez Ayoub, député fédéral de la circonscription de Thérèse-De Blainville, se dit fier de prendre part à cet événement. «L’équipe du Resto Pop fait vraiment une différence dans notre communauté. À titre de président d’honneur, je suis très heureux de prendre part à cet événement le 20 septembre prochain! J’invite d’ailleurs toute la population à prendre part à cette première édition qui permettra d’amasser des fonds pour le Resto Pop.» 
<h3>Aider l’organisme</h3>
Le Resto Pop Thérèse-De Blainville est un organisme à but non lucratif ayant pour mission de soulager la pauvreté en offrant des repas complets et équilibrés à prix modique à la communauté vivant une situation financière difficile et en permettant à 50 enfants démunis ciblés par le milieu scolaire de recevoir gratuitement un dîner à tous les jours de classe. De plus, des programmes de réinsertion sociale permettent à des gens de tous âges de développer des compétences et d’acquérir de l’autonomie menant vers l’employabilité, la réhabilitation ou le retour aux études.
«Depuis la création de l’organisme, nous avons servi plus de 670 000 repas, dont 140 000 gratuitement, pour des gens et des enfants défavorisés. Chaque année, c’est environ 55 000 repas qui sont servis au Resto Pop, dans la communauté. Nous avons 70 bénévoles et 5 000 heures de bénévolat par année» , d’énumérer Christine Vachon, directrice générale de l’organisation.
Selon Mme Vachon, le Resto Pop est plus qu’un restaurant. C’est un port d’attache et un lieu ouvert, chaleureux, inclusif et accueillant, où toute la population est invitée à prendre un bon repas tout en contribuant de cette façon à la mission de l’organisme.
Notons, au final, que le Mangeons Don aura lieu le 20 septembre 2017, de 17 h à 19 h, au Fogo Euro-Lounge, 20820, chemin de la Côte Nord, Boisbriand. Le coût du billet est de 50 $ en prévente jusqu’au 15 septembre et de 65 $ à la porte.
Pour plus d’informations concernant l’événement ou pour faire un don pour acheter des billets, il suffit de contacter l’organisme au <a title="Écrire à info@restopop.org" href="mailto:info@restopop.org">info@restopop.org</a> ou au 450 434-0101.
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Patrick Archambault fait le saut avec l’équipe Comtois