Les questions posées aux deux invités seront principalement émises afin de répondre à leur définition de l’austérité. Plus précisément, il sera question de montrer concrètement de quelle manière l’austérité se déploie au quotidien dans la région des Laurentides. Les partisans pourront échanger avec les conférenciers. Le tout débutera à 19 h 30 et se conclura vers 21 heures.
Bien que le vocabulaire relié à l’austérité soit un terme très souvent abordé dans la grande sphère médiatique, ce sujet est rarement abordé en sol laurentien. Plusieurs pensent même que l’austérité ne les concernent pas, étant donné qu’ils ne vivent pas à Montréal. «On a pensé offrir du contenu exclusif aux Laurentides pour montrer tous les impacts de l’austérité», révèle l’animateur de la soirée, Simon Paré-Poupart.
À domicile
Pour une rare fois, la soirée-conférence se tiendra en sol laurentien. «En général, il faut se déplacer jusqu’à Montréal pour assister à ce genre de soirée. C&#8217;est pour inciter les gens à venir que nous offrons cette soirée gratuitement», concède l’animateur.
La soirée sera dotée d’une particularité bien spéciale. Les étudiants qui s&#8217;y présenteront accompagnés d&#8217;un parent courront la chance de remporter le livre Une escroquerie légalisée d’Alain Deneault. «Ce n’est pas facile, dans les partys de famille, de discuter de politique. Avec ce concours, nous avons essayé quelque chose, en souhaitant que ça incite les parents à venir assister à la soirée», accorde Simon Paré-Poupart.
Auteur et chercheur pour le Réseau pour la justice fiscale Québec (RJFQC), Alain Deneault a publié plusieurs ouvrages sur le thème de cette soirée consacrée à l&#8217;austérité, dont Paradis sous terre, ainsi que Paradis Fiscaux : la filière canadienne. L’ouvrage de 128 pages a par ailleurs suscité l’attention médiatique depuis sa parution au début de l’année.
Quant à Philippe Hurteau, il est chercheur à l’Institut de recherche et d’information socio-économique (IRIS), une firme indépendante qui a vu plusieurs de ses travaux être publiés dans les grands quotidiens.

L'austérité démystifiée au collège Lionel-Groulx

«Il s’agit d’une excellente occasion de bien reconnaître les éléments de sécurité des billets canadiens et américains, incluant la nouvelle série en polymère», explique-t-on sur le communiqué de presse acheminé à cet effet. 
On y ajoute que la présentation est entièrement adaptée aux besoins des commerçants. «Elle leur permet d’accroître leurs connaissances sur les mesures de protection et les ressources disponibles pour les aider à détecter la contrefaçon de monnaie.» La rencontre, d’environ 30 minutes, est offerte en français ou en anglais. L’équipe se déplace dans les entreprises afin d’offrir un service flexible et efficace. Du matériel informatif est remis afin de sensibiliser tous les employés de l’organisation. 
La formation a été conçue en collaboration avec l’Équipe d’intégrité financière de la GRC à Montréal, ainsi qu’avec la Banque du Canada (http://www.banqueducanada.ca/) et les Services secrets américains (http://www.secretservice.gov/). 
Les commerçants intéressés peuvent obtenir de plus amples renseignements au 1 800 771-5401 ou par courriel à cdiv.communications@rcmp-grc.gc.ca.

Fausse monnaie: formation gratuite aux commerçants par la GRC

Dans le cadre de cette compétition d’envergure internationale, le véhicule conçu par l’équipe de l’UdeS, composée de 10 étudiants en génie électrique et de 11 étudiants en génie mécanique, a obtenu un résultat d’efficacité énergétique de 731 km/kWh un score nettement supérieur à celui de leurs plus proches rivales, l’Oregon State University et la Duke University, qui ont respectivement obtenu des pointages de 414 km/kWh et de 406 km/kWh. Qui plus est, la marque précédente, établie en 2015, était de 449,9 km/kWh.
«C’est certain que nous étions tous extrêmement contents de remporter la compétition, a mentionné Vincent, mais il faut préciser que les autres équipes en lice y participaient sur une base volontaire alors qu’il s’agissait pour nous d’un projet de fin d’études. Nous étions donc obligés d’obtenir des résultats optimaux pour avoir une bonne note!»
Il est vrai que les étudiants ont planché sur leur véhicule pendant deux ans, sans relâche, pendant que les autres équipes y oeuvraient à temps perdu, mais cela n’a pas empêché des équipes européennes et asiatiques de s’intéresser aux exploits des étudiants québécois.
«C’est plus gros que ce que l’on pensait. On rayonne déjà un peu partout en Amérique, avoue d’emblée Vincent Choucrallah. Ça va plus loin que la simple compétition. Nous recevons une foule de courriels d’autres équipes qui veulent savoir comment nous avons procédé.»
Travail d’équipe
Bien sûr que ce premier prix remporté dans le Michigan sera bien en vue dans le curriculum vitae de celui qui a fait ses études primaires à l’école Terre-Soleil de Sainte-Thérèse, son secondaire à l’école Saint-Gabriel et son cégep au collège Lionel-Groulx, mais ce qui le serviront encore davantage dans le futur, ce sont les aptitudes qu’il a développées en participant à cette compétition.
«J’ai beaucoup appris au sujet des différentes méthodes de conception, mais aussi sur le travail d’équipe», dit Vincent qui a déjà décroché un premier emploi dans son domaine. À l’emploi d’ElephantPlay, une pme montréalaise qui fabrique des jeux pour les cours d’écoles, il s’épanouit comme concepteur de produits.
Soulignons que les programmes de génie de l’Université de Sherbrooke obligent ses étudiants à effectuer cinq stages en entreprise, ce qui a été suffisant pour convaincre Vincent Choucrallah d’y faire ses études universitaires. Notons également qu&#8217;en 2014, à Houston, l’UdeS avait aussi remporté le Shell Eco-marathon dans la catégorie urbain/batterie électrique avec le projet E-Volve.

L’austérité démystifiée au collège Lionel-Groulx